Oratoire des Brées (Saffré)
La Résistance de 1939 à 1945 dans le Pays de Châteaubriant
Guide
Pratique Accueil Loisirs 2008 :
A voir à proximité, l’oratoire, souvenir de la ferme des Brées, la bouillée d’ajoncs et le Chêne à
Chaumeil. Sentier d’interprétation .
GP 2009 : idem .
Le Maquis de Saffré.
Bien connu depuis la Guerre, il cacha beaucoup de résistants. Enfoncez-vous à l’intérieur des terres
par les petites routes pour découvrir l’oratoire des Brées et la pieta, un endroit au charme surprenant, plus loin le monument du maquis au Pas du Houx inauguré par le Général de Gaulle le 11 juin 1950. Beaucoup
de solennité règne dans ces lieux.
Le Petit Futé de Loire-Atlantique 1995 p76
Editions Flohic 1999
p 834 Oratoire du maquis de Saffré (1944)
Ferme des Brées (Maquis de Saffré).
Au lendemain du débarquement des Alliés en Normandie, le 6 juin 1944, la Résistance décide de
constituer un maquis.
C’est la vaste forêt de Saffré qui est choisie. Le 18 juin 1944, ce maquis compte environ 350 jeunes gens venus de la commune et de ses environs,
ainsi que des Nantais. Ils préparent notamment une piste destinée aux parachutage d’armes et de vivres. Les Anglais leur en livrent environ une tonne.
Le commandement
Allemand décide d’attaquer le maquis, et, le 28 juin au petit matin, l’offensive est déclenchée.
Après une résistance courageuse contre plusieurs
milliers d’Allemands et de miliciens venus de Nantes, les maquisards parviennent à se replier au prix de lourdes pertes. Treize d’entre eux sont finalement tués ou blessés sur place, 27 sont fusillés le 29 juin à
la Bouvardière, deux sont executés par les miliciens le 13 juillet et vingt neuf personnes arrêtées et déportées ne reviendront pas des camps de la mort. Selon leurs propres sources, les occupants subissent des pertes
s’élevant à cent quatre-vingts morts et environ deux cents blessés.
A la ferme des Brées, incendiée pendant l’attaque, cet oratoire est aménagé
dans les dépendances et rappelle la violence de cette bataille.
Oratoire : Chapelle de dimensions
restreintes
(larousse.fr)
Cet oratoire
est aménagé dans les dépendances de la ferme des Brées, quartier général du Maquis de Saffré, assiégé par les nazis le 28 Juin 1944.
Tourisme-nozay.fr
Pietà : Sens Peinture ou sculpture sur laquelle la Vierge est représentée avec le corps du Christ
sur les genoux [Religion].
La Pietà, ou Vierge de Pitié, est un thème artistique de l'iconographie de la peinture chrétienne représentant la Vierge Marie
en Mater dolorosa (expression latine), mère pleurant son enfant qu'elle tient sur ses genoux, en l'occurrence Christ descendu mort de la Croix avant sa mise au tombeau, événement placé avant sa Résurrection, précédant
son Ascension. La scène de la Déploration du Christ est quant à elle traitée de manière plus ample et représente, en plus du Christ et de sa Mère, les autres personnages qui étaient auparavant au pied
de la Croix.
Oratoire du maquis de Saffré (1944). Le 6 juin 1944, la résistance décide
d'établir un maquis dans la forêt de Saffré. Ce maquis compte environ 350 jeunes, le 18 juin 1944, qui sont mal ou peu armés et qui attendent un parachutage allié. Les Allemands décident d'attaquer le maquis le 28 juin
1944. Devant la supériorité des Allemands, les maquisards sont obligés de se replier laissant derrière eux de lourdes pertes : 13 tués sur place, 27 fusillés le 29 juin 1944 à la Bouvardière, deux sont
exécutés par les miliciens le 13 juillet 1944 et 29 personnes sont arrêtées et déportées. Côté allemand, on dénombre 180 morts et environ 200 blessés. Le PC du maquis est dans la ferme des
Brées, incendiée par les allemands, et laissée en l'état après guerre. La grange, qui fait face au corps de ferme, est convertie en oratoire.
http://lafrancedesclochers.xooit.com/t212-Saffre-44390.htm
Le maquis de Saffré comprenait donc à ce moment environ 310 hommes, à savoir: une compagnie
de 160 hommes à la ferme des Brées, P.C. du maquis, une compagnie de 110 hommes au Pas du Houx, La Volante (20 hommes), l’état-major, l’intendance, et des aviateurs récupérés, soit encore une vingtaine
d'hommes ainsi que cinq officiers parachutistes qui ont rejoint le maquis.
En fait le maquis de Saffré, installé dans une forêt de moins de 500 ha au Nord de Saffré,
se compose de 130 hommes armés et 170 hommes désarmés et attend toujours en vain un parachutage d'armes. Et le 28 juin 1944 au petit matin à 5h45 précisément, 1.500 SS et quelques 600 miliciens Français débarquent
des camions avec des canons légers et commencent l'assaut de la ferme des Brées à partir des Gouvaloux. pendant que le commandant Yacco et les officiers présents représentant la D.M.R qui l'accompagnait depuis la chute du
maquis de Saint-Marcel, suivent l'ordre, donné par le commandant Willk, dit Olivier, d'évacuation et de dispersion des autres camps du maquis.
Pendant que les maquisards de
la ferme des Brées soutenus par leur camarades résistent pendant plus de deux heures aux assaillants, qui tirent au canon de 37, plusieurs centaines de maquisards passent en silence dans un sentier qui longe la ferme à 400 mètres
de là en direction du Nord. Les 13 hommes qui se sont sacrifiés, trouveront tout de même le moyen de tuer 180 Allemands assaillants et d'en blesser environ 200 avant d'avoir épuisé leurs munitions. Quatre des défenseurs
sont morts. Les autres plus ou moins blessés sont achevés à coups de gourdins et de bottes.
Ww2-derniersecret.com
En attendant le moment d’intervenir, les jeunes maquisards font de l’éducation physique et du maniement d’armes, et préparent le terrain
de parachutage dans la plaine des Gouvalous, à proximité de la ferme des Brées : arbres abattus, fossés comblés, terrain nivelé. La piste fait 1800 mètres, le parachutage est attendu pour le 28 juin 1944.
Journal-la-mee.fr
Nuit du 16 au 17 juin 1944. Regroupement
d’une centaine d’hommes dans la forêt de Saffré en vue d’un parachutage destiné à armer la résistance locale. Les hommes sont chargés d’aménager le terrain dit « des Gouvallous »
et de s’exercer au maniement des armes (en nombre très insuffisant)
18 juin 1944. Attaque du maquis de St Marcel (Morbihan) par les Allemands : 30 Français tués,
60 blessés, 15 prisonniers, 300 à 500 Allemands tués
Les échappés du Maquis de St Marcel se retrouveront pour partie au Maquis de Saffré.
A Saffré, le terrain des Gouvalous est défriché, les fossés sont comblés, la piste d’atterrissage mesure 1800 mètres mais le parachutage est retardé
en raison des conditions atmosphériques défavorables.
22 juin 1944, le groupe de Teillay est attaqué par les Allemands qui n’osent cependant pas s’aventurer
en forêt. Décision est prise de regrouper les hommes dans la forêt de Saffré. Le transfert s’effectue les 23 et 24 juin dans un camion du minotier LEBEC de Nort sur Erdre.
Le maquis de Saffré comprend environ 310 hommes : une compagnie de 160 hommes à la ferme des Brées, P.C. du maquis, une compagnie de 110 hommes au Pas du Houx, La Volante (20 hommes), l’état-major, l’intendance,
et des aviateurs récupérés, 20 hommes.
L’attaque du Maquis de Saffré
Le 28 juin
1944, vers 5 heures du matin, plus de 2.000 Allemands et miliciens équipés d’armes automatiques et de canons légers tentent d’encercler la forêt de Saffré mais n’y parviennent pas tout-à-fait : la
limite nord reste ouverte car une partie des assaillants s’est perdue dans le dédale des petites routes.
Du côté du maquis, 60 hommes seulement sont armés.
Les victimes du Maquis de Saffré
En plus des 13 maquisards tués sur place, on compte : 27 fusillés à
la Bouvardière à Saint-Herblain, le 29 juin 1944 , 2 fusillés à la prison Lafayette le 13 juillet 1944 , 18 personnes arrêtées par la milice et la Gestapo, seront arrêtées peu après, en raison de
leurs liens réels ou supposés avec le maquis de Saffré
Au total 60 victimes.
Chateaubriant.org
Le Maquis de saffré Entre le 20 et 27 juin 1944, les maquisards aménagent la prairie des Gouvallous en terrain
de parachutage. En raison des conditions atmosphériques défavorables, le parachutage est retardé.
Le 27 juin 1944, le Maquis de Saffré comprend environ 310 hommes,
répartis comme suit : une compagnie de 160 hommes aux Brées, P.C. du Maquis, une compagnie de 110 hommes au Pas du Houx, la Volante 20 hommes, l'état-major et l'intendance 20 hommes.
Le mercredi 28 juin 1944, vers 5 heures du matin, la forêt de Saffré est encerclée par plus de 2000 Allemands et miliciens équipés d'armes automatiques et de canons légers. Du côté du Maquis,
60 hommes seulement sont armés.
Prévenus par les guetteurs, de l'arrivée des Allemands, les chefs ont ordonné la position de combat à ceux qui sont armés,
et le repli immédiat aux autres.
Un convoi Allemand qui devait prendre position an Nord-Est de la forêt, s'égara et pris un chemin inverse, un autre convoi qui se dirigeait
vers le Nord-Ouest de la forêt, demanda à un fermier la route pour aller à la forêt, celui-ci indiqua la direction opposée. La forêt n'ayant pas été complètement cernée, surtout au Nord,cela
permis à environ 200 résistants de s'enfuir.
Malgré la résistance des postes de garde, l'issue est fatale. Après 2 heures de combats, les Allemands sont
maîtres du terrain.
Treize maquisards sont tués au combats, vingt-sept seront fusillés au Château de la Bouvardière à Saint-Herblain, deux seront
exécutés à la prison Lafayette à Nantes, vingt-et-un décèderont en camp de concentration, neuf seront tués dans les combats de la libération, portant le nombr total des victimes du Maquis à soixante-douze.
Le jeudi 29 juin 1944, peu avant minuit, des avions survolent la forêt de Saffré, au bout des parachutent, des caisses d'armes, des munitions et des vivres tombent du ciel. . .
Larousse.fr
Le 27 juin 1944, le Maquis de Saffré comprend environ 310 résistants répartis
comme suit : une compagnie de 160 hommes aux Brées, Poste de Commandement du Maquis, une compagnie de 110 hommes au Pas du Houx, la Volante composée de 20 hommes, et l'état major, l'intendance, les aviateurs récupérés
constituant également 20 hommes.
Le 28 juin 1944, la forêt de Saffré est encerclée par plus de 2 000 soldats allemands et miliciens équipés d'armes
automatiques et de canons légers. De côté du Maquis, seulement 60 hommes sont armés. Malgré la résistance des postes de garde, l'issue est fatale. Après 2 heures de combat, les Allemands sont maîtres
du terrain. 13 maquisards furent tués au combat, 27 ont été fusillés à la Bouvardière à St Herblain. 29 personnes arrêtées par la Milice et la Gestapo seront déportées dans les camps
et n'en reviendront pas.
Monument accessible au public tous les jours.
Pays-chateaubriant.fr
Monument du Maquis de Saffré (Saffré) La Résistance
de 1939 à 1945 dans le Pays de Châteaubriant
Guide Pratique Accueil Loisirs 2008
p 14 (Lieux de mémoire)
Le maquis de Saffré (Saffré)
Sculpture monumentale signée des Seiz Breur en hommage au combat héroïque des maquisards (28 juin 1944).
A voir à proximité, l’oratoire,
souvenir de la ferme des Brées, la bouillée d’ajoncs et le Chêne à Chaumeil. Sentier d’interprétation .
GP 2009 : idem .
Siloë 2002 :
p 174. Au lendemain du débarquement des Alliés, le 6 juin 1944, les maquisards de Saffré
décident de préparer une piste dans la forêt de la commune pour le parachutage d’armes et de vivres. L’offensive allemande entraina la mort et la déportation des Résistants.
Edifié en 1950, le monument du Maquis de Saffré porte le souvenir des événements. A côté les tombes de treize maquisards.
Guide
Accueil du Pays des trois Rivières (2002) p 7. Haut lieu du souvenir de la Seconde Guerre Mondiale, le mémorial du Maquis de Saffré témoigne de l’épisode douloureux du 28 juin 1944 où, vers 5h00 du matin, la
forêt de Saffré est encerclée par plus de 2000 Allemands et miliciens.
Face à eux les 60 hommes du maquis ne peuvent résister à cette attaque.
On dénombre ainsi 13 maquisards tués, 27 fusillés à St Herblain et 29 personnes arrêtées par la milice et la Gestapo pour être déportées
dans les camps et qui n’en reviendront pas. Le Monument du Pas du Houx est érigé en hommage aux héros du Maquis de Saffré.
Editions Flohic 1999
p 834 Monument du Maquis de Saffré (1950) Granit
D’une
hauteur de huit mètres, ce monument, construit grâce à la collecte d’un comité local, représente la France, enchaînée sur la croix de Lorraine, délivrée par les maquisards qui la débarrassent
de ses chaînes, l’arment d’une épée et d’un bouclier et la coiffe d’un casque; à ses pieds gît un maquisard.
Il contient la dépouille
d’un jeune Nantais, le plus jeune des maquisards, Robert Geffrraud, dix-sept ans, pupille de la nation.
Ce monument, érigé pour maintenir le souvenir du sacrifice des
résistants face aux nazis, est inauguré par le général de Gaulle le 11juin 1950, en présence du général Audibert, chef de la Résistance dans l’Ouest.
A côté, treize tombes à la simple croix de bois sont érigées dès le 29 juin par les Saffréens pour ensevelir les résistants tombés au combat.
Le drame de Saffré : Après le 6 juin 1944, la résistance constitue un maquis dans la forêt de Saffré près
de Nozay.
Mais le 29 juin, les 350 jeunes gens qui le composent sont attaqués par les Allemands : 13 résistants sont tués et 35 sont faits prisonniers, dont 29 seront
fusillés. Une stèle a été inaugurée le 11 juin 1950.
Guide Gallimard 1992 p 339.
L’attaque par la Gestapo et des miliciens fut préparée à Nantes. Les assaillants se composaient de SS de Rennes et d’Angers. …
Mille allemands au moins furent employés pour ce coup de surprise et transportés par des voitures et des camions. …
C’est en plusieurs
colonnes qu’ils se rendirent sur les 3 h du matin, en la forêt de Saffré.
Fort heureusement, une des colonnes qui se dirigeait vers la gare de Saffré-Nort s’égara,
ce qui permit la retraite de nombreux jeunes gens.
On a parlé de 200 morts Allemands et de 170 blessés. Au soir du 29 juin, trop tard, onze avions anglais survolèrent
la forêt de Saffré et le butin fut pour les Allemands. Dès le soir du 29 juin après un simulacre de jugement 27 maquisards de Saffré durent monter en camions (à Nantes) pour être conduits sur un terrain d’exécution.
Ainsi moururent pour la France 27 jeunes dont l’âge variait entre 19 et 24 ans.
Annales de Nantes et du Pays Nantais 1964 p18.
L'attaque du Maquis de Saffré, le mercredi 28 Juin 1944, vers 5 heures du matin, la forêt de Saffré est encerclée par plus de 2000
allemands et miliciens équipés d'armes automatiques et de canons légers. Du côté du Maquis, 60 hommes seulement sont armés. Prévenus par les guetteurs, de l'arrivée des Allemands, les chefs ont ordonné
la position de combat à ceux qui sont armés, et le repli immédiat aux autres.
Un convoi Allemand qui devait prendre position au Nord-Est de la forêt, s'égara
et pris un chemin inverse, un autre convoi qui se dirigeait vers le Nord-Ouest de la forêt, demanda à un fermier la route pour aller à la forêt, celui-ci indiqua la direction opposée. La forêt n'ayant pas été
complètement cernée, surtout au Nord, cela permit à environ 200 résistants de s'enfuir.
Malgré la résistance des postes de garde, l'issue est fatale.
Après 2 heures de combat, les Allemands sont maîtres du terrain.
Le jeudi 29 Juin 1944, peu avant minuit, des avions survolent la forêt de Saffré, au bout des
parachutes, des caisses d'armes, des munitions et des vivres tombent du ciel...Les Victimes du Maquis de Saffré, 13 maquisards sont tués au combat, 27 seront fusillés au Château de la Bouvardière à Saint-Herblain, 2
seront exécutés à la prison Lafayette à Nantes, 21 décèderont en camp de concentration, 9 seront tués dans les combats de la libération, portant le nombre total des Victimes du Maquis de Saffré
à 72.
Webunited.info
Le maquis
de Saffré comprend environ 310 hommes : une compagnie de 160 hommes à la ferme des Brées, P.C. du maquis, une compagnie de 110 hommes au Pas du Houx, La Volante (20 hommes), l’état-major, l’intendance, et des aviateurs
récupérés, 20 hommes.
Le 28 juin 1944, vers 5 heures du matin, plus de 2.000 Allemands et miliciens équipés d’armes automatiques et de canons légers
tentent d’encercler la forêt de Saffré mais n’y parviennent pas tout-à-fait : la limite nord reste ouverte car une partie des assaillants s’est perdue dans le dédale des petites routes.
Du côté du maquis, 60 hommes seulement sont armés.
http://www.chateaubriant.org/540-Livre-Ceux-des-Maquis-Teillay
Menhir de Coisbrac (Nozay)
cultes anciens et christianisation
Guide Gallimard 1992 :
p 48 Histoire de la Bretagne (La Préhistoire)
Entre 3000 et 1800 av. J.C., la chasse et la cueillette cèdent la place à l’agriculture
et à l’élevage. La civilisation mégalithique apparaît.
Ses populations, organisées à l’abri de camps fortifiés, donnent naissance
à l’art des pierres levées, qui s’accompagne d’un extraordinaire culte des morts.
De très nombreux menhirs, dont certains pèsent 100 tonnes,
des cairns qui peuvent atteindre 70 m de longueur et des dolmens constitués de dalles de 20 t, sont érigés sur l’ensemble de la région.
La fin de cette
période se traduit par une ouverture sur le monde, le long de la vallée de la Loire ou par la mer.
Bretagne
Loire-Atlantique 1999 :
p163
Qu’il s’agisse du menhir de Coisbrac, des traces laissées par l’industrie
minière, d’une forteresse gauloise, de sépultures ou de bijoux, nombreux sont les indices témoignant d’une très ancienne occupation humaine sur le site de Nozay.
Vue Est du Menhir
Ce beau menhir de quartz blanc mesurant 2m80 de hauteur se dresse au milieu
de la lande sur un promontoire de schiste contourné par le ruisseau de la Villatte.
Classé monument historique, il témoigne de l’occupation du site par l’homme
dès la période néolithique.
Cependant, comme celui de la Drouetterie à Vay, ce menhir se trouve dans un secteur où le mégalithisme est plus diffus
par rapport au littoral et au pourtour de la Brière
Plus diffus par rapport au littoral ou au pourtour
de la Brière, les menhirs présents dans la région témoignent d’une occupation humaine dès le Néolithique.
Tourisme-nozay.fr
Le Néolithique («âge de la pierre nouvelle») se caractérise surtout par un changement économique
radical, la chasse et la cueillette cèdent la place à l’agriculture et à l’élevage, et la civilisation mégalithique apparaît.
Loire-atlantique.fr
En témoigne ce gros bloc de de 2m80, classé Monument Historique, dressé au milieu de la lande sur
un promontoire de schiste.
De quelle roche était fait le menhir de Coisbrac (schiste, granit, quartz, ou grès) ?
Les dolmens sont des sépultures collectives
Les menhirs (pierres dressées) sont
plus énigmatiques car leur environnement est rarement fouillé : isolés, ils sont interprétés comme des bornes repères ou des monuments commémoratifs
Ces puissantes constructions ont nécessité une population nombreuse, fortement hiérarchisée et organisée, la connaissance des matériaux et la maîtrise de la manipulation des charges lourdes.
Loire-atlantique.fr
Elles témoignent d'une
vie spirituelle très développée, dans laquelle les pierres dressées, mêlées au monde des vivants, pouvaient jouer un rôle important.
Avec des conditions climatiques plus favorables, des agriculteurs et des éleveurs rompent, peu à peu, l’équilibre entre les chasseurs et leur territoire, en déboisant
pour créer des pâturages et des champs.
Loire-atlantique.fr
Ses populations, organisées à l’abri de camps fortifiés, donnent naissance à l’art des pierres levées,
qui s’accompagne d’un extraordinaire culte des morts.
http://gebete29.wordpress.com/2011/03/18/histoire-de-la-bretagne-prehistoire/
Ces puissantes constructions
ont nécessité une population nombreuse, fortement hiérarchisée et organisée, la connaissance des matériaux et la maîtrise de la manipulation des charges lourdes
http://www.loire-atlantique.fr/jcms/cg_19202/du-neolithique-au-chalcolithique
Fontaine St Pierre (Nozay) cultes anciens et christianisation
Les fontaines Les fontaines étaient souvent à l’origine de l’installation des premières communautés (St Pierre à Nozay, St Clair à
Puceul). Certaines d’entre elles avaient des vertus curatives : l’eau de St Germain à Vay était réputée pour guérir fièvres et maladies de peau, celle de St Clair à Puceul les maladies des yeux.
Tourisme-nozay.fr
BL 1999 : p163 La première communauté chrétienne
serait due à la présence d’un ermite. Quoiqu’il en soit, la localité existe en 1076 et est citée dans le cartulaire de St Florent.
la fontaine Saint-Pierre.
C'est près de cette fontaine qu'au VIème siècle un ermite est venu évangéliser Nozay. Elle est surmontée par une statue de Saint Pierre aux Liens du XIXème, patron de la paroisse de Nozay. Au 1er août,
les mamans venaient y baigner leurs petits enfants et l'on adressait des prières à Saint Pierre ;
infobretagne.com
Le lavoir attenant, tout en schiste, est alimenté par la fontaine Chaque quartier avait son ou ses lavoirs, et une quinzaine de lavandières étaient
continuellement employées à Nozay. Le linge était apporté dans un baluchon, une cuvette ou une brouette avec du bois qui servait à faire bouillir l'eau dans de grandes chaudières posées sur des petits murets.
Le linge était plongé dans l'eau bouillante et était lavé au savon de Marseille. Lorsque certains lavoirs étaient vidés, les enfants se précipitaient au fond pour ramasser les pièces de monnaie tombées
des poches lors des lavages.
Nozay44
La
fontaine Saint Pierre existerait depuis le VIIIe siècle, quand un ermite est venu évangéliser Nozay. Elle est surmontée par une statue de Saint Pierre-aux-liens du XIXe siècle, patron de la paroisse de Nozay. Le linteau en
anse de panier est orné de fines sculptures . La tradition rapporte que les années de sécheresse, on venait de très loin pour puiser de l’eau à cette fontaine. La fontaine Saint Joseph, située sur l’île
au milieu de l’étang, daterait du XVIe siècle.
Nozay44
On attribua donc souvent des pouvoirs de guérison à ces fontaines. Ce qui explique que les sources qui apportent mystérieusement le liquide salvateur ont été sacralisées dès les
époques les plus anciennes. Avec le christianisme, les fontaines se parent de statues de saints et de croix. A Nozay, la fontaine Saint Pierre, près du vieux bourg a été à l'origine de la création de la ville au VIème
siècle. Le lavoir attenant témoigne de l'animation continue de ce lieu jusqu'au milieu du XXème siècle..
Nozay-44
Histoire de la fontaine St Pierre Les fontaines étaient souvent à l’origine de l’installation des premières communautés
(St Pierre à Nozay, St Clair à Puceul).
Les eaux de certaines de ces fontaines avaient des vertus curatives (celles de St Clair à Puceul étaient réputées
soigner les maladies des Yeux)
C’est près de la fontaine St pierre à Nozay qu’un ermite est venu au 6ème siècle évangéliser Nozay.
La source est aujourd’hui enfermée dans une tourelle fermée par une porte de bois en ogive.
L’ensemble
est surmonté d’une statue du 19ème siècle représentant le saint patron de la commune de Nozay : St Pierre aux liens.
Un lavoir proche est alimenté
par cette fontaine.
Le 1er Août, les mamans venaient à cette fontaine baigner leurs petits enfants, et l’on adressait des prières à St Pierre.
Fontainesdefrance.info
Christianisée au
7ème siècle par un ermite, la fontaine St Pierre alimentait en eau le dernier lavoir de Nozay.
Jardin public à proximité. Aire de jeux pour enfants
Tourisme-nozay.fr
Les Bretons arrivent d’Angleterre
accompagnés de moines, certainement plus pour leurs besoins que dans une volonté de diffusion de leur religion. Mais, ils durent sans conteste participer à l’évangélisation sur place. En effet, si le christianisme fait
son apparition au IIIè siècle et est prêché dès lors, les paysans y résistent en grande majorité jusqu’au VIè siècle. On date d’ailleurs à peu près de ce moment l’évangélisation
de Nozay.
Un ermite à Nozay ! D’après la tradition orale, un ermite venu des bords de la Loire se serait installé à cette période près d’une
source pour prêcher les évangiles. Une première communauté chrétienne se forme aux abords de la fontaine qui est placée sous la protection de Saint Pierre-aux-Liens. Par la suite, une chapelle aurait été
fondée à l’abri des zones marécageuses. Nous sommes là face à l’origine de l’enclos du Vieux Bourg
Asphan.fr
C'est au VIème siècle qu'un ermite se serait fixé sur le territoire de Nozay, auprès de la fontaine Saint-Pierre, afin
d'évangéliser le pays.
Lafrancedesclochers
la chapelle Saint-Germain (XIII-XVème siècle), située au boulevard Saint-Germain
L'eau de la fontaine avait jadis la réputation de guérir
les enfants des coliques, des fièvres et des maladies de la peau.
site infobretagne.com
Fontaine St Clair (Puceul) cultes anciens et christianisation
Les fontaines Les fontaines étaient souvent à l’origine de l’installation des premières
communautés (St Pierre à Nozay, St Clair à Puceul). Certaines d’entre elles avaient des vertus curatives : l’eau de St Germain à Vay était réputée pour guérir fièvres et maladies de
peau, celle de St Clair à Puceul les maladies des yeux.
Tourisme-nozay.fr
Située au Sud de Nozay, la commune Puceul se situe en Loire-Atlantique et se rattache à la communauté de commune de la région de Nozay. Historiquement, l’origine du nom provient du latin puteus
qui signifierait le petit puits. Ce nom est une référence à la fontaine Saint-Clair présente dans la commune qui aurait des vertus de guérison (notamment pour les maladies des yeux).
Pulceo.com
Les fontaines étaient souvent à l’origine de
l’installation des premières communautés (St Pierre à Nozay, St Clair à Puceul). Les eaux de certaines de ces fontaines avaient des vertus curatives (celles de St Clairà Puceul étaient réputées
soigner les maladies des Yeux)
Fontainesdefrance.info
Fontaines SAINT CLAIR Puceul
Christianisée par le 1er évêque de Nantes au 1er siècle (?), l’eau de la fontaine St Clair est réputée
pour guérir les maladies des yeux
Panneau d’interprétation Jardin de plantes aromatiques
Sentier de randonnée Tourisme-nozay.fr
Histoire de la fontaine St Clair
Puceul serait la traduction de petit puits en latin. La paroisse existe dès le 12ème siècle, et se serait constituée près d’une source renommée. Au 1er siècle
( ?) , l’ancien culte druidique est christianisé sous le vocable de St Clair, 1er évêque de Nantes.
En venant boire à la fontaine, il aurait laissé,
au cœur de la pierre, l’empreinte du sabot de son cheval.
La fontaine st clair que l’on peut
voir aujourd’hui date du 19ème siècle, elle est située à la Bourdinière.
Dans le jardin d’herbes médicinales, proches de la source
sacrée, on retrouve la mémoire des plantes de légende et l’énergie des cultes anciens.
Les processions persistent jusque dans les années 1980, on vient s’y laver les yeux et le visage, on y amène aussi les enfants qui présentent un retard à marcher. A l’automne, une semaine après la
St Clair, a lieu la bénédiction des semences de blé.
Pour l’assomption, le 15 août et à l’occasion des communions solennelles, la statue de
la vierge est portée en procession : les villageois partent de l’église St Martin précédés des croix et des bannières. Avant le retour à l’église, le prêtre prononce son homélie
du haut du monticule surplombant la fontaine. Aujourd’hui, les processions ont disparu. Toutefois certains souhaitent renouer avec la tradition et offrent une fleur à la fontaine.
Fontainesdefrance.info
Puceul vient du latin "Puteus" (le puits).
La paroisse
de Puceul existe dès le XIIème siècle. Elle se serait constituée près d'une source renommée (la fontaine saint Clair) où saint Clair, premier évêque de Nantes, se serait arrêté pour
faire boire son cheval et une pierre aurait longtemps gardé la marque d'un sabot.
Patrimoine la fontaine Saint-Clair (XIXème siècle), située à La Bourdinière
;
Infobretagne.fr
Puceul, traduction
de petit puits en latin, s’est constitué autour d’une source renommée : La Fontaine Saint-Clair dont les eaux étaient réputées pour soigner les maladies des yeux.
cc-nozay.fr
Au 3ème siècle, Nantes est christianisée et son premier
évêque, Saint Clair participe activement à la conversion de toute l'Armorique.
http://www.guide-site-touristique.com/nantes.php
Christianisée vers le IIIe siècle, la source est le lieu d’une légende. St Clair,
le premier évêque de Nantes, s’y serait arrêté pour faire boire son cheval. Une pierre aurait longtemps gardé la trace de son sabot. Son eau est réputée pour guérir certaines maladies des yeux.
La fontaine actuelle n’est construite qu’au XIXe siècle avec, dressée sur un monticule de pierre, une statue de pierre blanche surplombant une autre statue, plus petite.
Toutes deux représentent St Clair.
Flohic 1999.
Au 3ème siècle, Nantes est christianisée et son premier évêque, Saint Clair participe activement à la conversion de toute l'Armorique. Ce n'est cependant qu'après la reconnaissance du christianisme
par Constantin que cessent les persécutions et qu'un premier édifice religieux est construit.
http://www.guide-site-touristique.com/nantes.php
SAINT-CLAIR est regardé comme le premier évêque de Nantes.
On croit qu'il vivait vers l'an
280, sous l'empereur Probus, et qu'il mourut à Reguini, dans le diocèse de Vannes.
http://www.infobretagne.com/nantes-eveques.htm
Liste des évêques du diocèse de Nantes
•vers 280 : saint Clair, premier évêque de Nantes
http://fr.mobile.wikipedia.org/wiki/Liste_des_%C3%A9v%C3%AAques_de_Nantes
Le premier évêque de Nantes, St Clair, arriva de Rome au IIIè siècle avec, dit-on,
un clou de la croix de St Pierre. Cette précieuse relique fut vraisemblablement abritée à cette époque dans un oratoire, que St Clair aurait alors dédiée à St Pierre et à St Paul. Il ne s'agissait pas
alors d'une cathédrale au sens propre.
La première véritable cathédrale date du VIè siècle. Sa construction fut entreprise par l'évêque
Evhémérus II autour du premier édifice de St Clair, puis achevée (et somptueusement décorée par son successeur St Félix (540-582), qui la consacra.
http://nantescathedrale.free.fr/historique.htm
disciple
de saint Pierre et premier apôtre de Bretagne ou, selon le martyrologe romain, au IVe siècle...
"Le diocèse de Nantes fut fondé par Saint Clair, premier évêque
de Nantes au IIIe siècle arrivé par la Loire, qui joua un rôle important dans l'évangélisation de la Haute-Bretagne." (Une histoire riche - Eglise catholique en Loire Atlantique)
A Nantes, au IVe siècle, saint Clair, vénéré comme le premier évêque de la cité.
http://nominis.cef.fr/contenus/saint/9939/Saint-Clair.html
Mgr Richard a remis en lumière, dans ses notices sur les Saints de l'Eglise de Nantes, l'éphéméride
que le Grand Chantre de la cathédrale notait, à l'Ordinaire de 1263, sous la date du 10 octobre : « Fête du bienheureux Clair, évêque et confesseur. Ce saint fut le premier évêque de l'Eglise de Nantes, qui,
envoyé par le Pontife romain à cette même Eglise, apporta avec lui le clou que saint Pierre avait à la main droite durant son martyre, et que nous avons en grande vénération ».
Voilà, à peu de choses près, tout ce que nous savons sur saint Clair. Les anciens bréviaires manuscrits, échos d'une tradition constante, ajoutent qu'après avoir établi son siége
à Nantes, bâti en l'honneur des Apôtres saint Pierre et saint Paul un oratoire dont la cathédrale actuelle occupe l'emplacement et déposé dans cet oratoire le clou qui perça la main du pécheur de Galilée,
saint Clair, accompagné de son diacre Déodat, évangélisa les contrées qui sont devenues depuis les diocèses de Vannes et de Rennes.
Mais l'inexactitude de certaines dates et de quelques détails n'en laisse pas moins subsister la certitude que saint Clair a semé les vérités évangéliques
dans toute la haute Bretagne. L'Eglise de Vannes est aussi affirmative sur ce point que celle de Nantes. Non seulement Réguiny (commune du canton de Rohan, entre Pontivy et Josselin) montre le tombeau et la fontaine de saint Clair ; le village de Kerbellec
(mot à mot : la maison du prêtre) est encore indiqué comme le lieu où il résida, et les paroisses des environs, dédiées aux Apôtres Pierre et Paul, comme la cathédrale de Nantes et l'église
de Réguiny, s'honorent de devoir leur fondation au même missionnaire. …
N. Aurélien de Courson, qui ne parait pas avoir étudié, au moins à
fond, la biographie de saint Clair et l'époque de sa mission, a donné, du tombeau de notre évêque, cette description sommaire : « Le tombeau de saint Clair, l'apôtre du pays nantais, se voit dans une petite chapelle,
dite de saint Clair, près de l'église paroissiale de Réguiny (dans le cimetière)..... Sa statue, en costume d'évêque, avec la mitre et la crosse, est couchée sur une pierre plate supportée par quatre petits
piliers polygonaux, qui reposent sur un socle peu élevé ». … (Robert Oheix - 1876)
http://www.infobretagne.com/eveque-saint-clair.htm
La tradition veut que saint Clair, premier évêque de Nantes, meure à Réguiny
le 10 octobre 96. L'église placée sous son vocable contient son tombeau, et ses reliques sont vénérées par les fidèles. Le tombeau de saint Clair se compose d'une pierre plate, supportée par quatre petits piliers
polygonaux qui reposent sur un socle en pierre peu élevé. Cette pierre est ornée d'un bas-relief représentant le saint en costume d'évêque avec la mitre et la crosse.
Tombeau de saint Clair Adresse : Église Saint-Clair, Reguiny, France Classement Classé MH : 1925
http://fr.topic-topos.com/tombeau-de-saint-clair-reguiny
Le village de Réguiny appartient à l'arrondissement de Pontivy et au canton de Rohan.
Menhir de la Drouetterie (Vay)
cultes anciens et christianisation
Bretagne Loire-Atlantique 1999 : p166
Placé sur la route de l’étain, le site de Vay est occupé par l’homme dès la période néolithique ainsi qu’en témoigne la présence du menhir de la Pierre
qui tourne, autrement appelé grain de sable de Gargantua, sur le terrain de la commune.
Egalement appelé
menhir de la pierre qui tourne, ce mégalithe semble marquer un ancien lieu de rassemblement, peut-être de culte.
Comme d’autres menhirs, celui-ci est récupéré
par le clergé catholique, qui le christianise en plantant une croix à son sommet. Celle-ci a aujourd’hui disparu.
Vers l’an mille, après les invasions franques
et les incursions des Normands, un hameau s’établit à proximité, à Bourruen, alors appelé Botruen ( signifiant tertre rouge en Breton) et marquant l’implantation des Bretons.
Pour accéder au menhir, suivre la direction de la Grigonnais et tourner à gauche lorsque la pancarte l’indique.
Flohic 1999
Haut de 2,70 m, monument classé (en 1928), d’origine néolithique (donc datant de plus de 4.000 ans).
Une croix plantée sur son sommet lui donne une vocation religieuse.
Site officiel de Vay (vay.fr)
Le menhir de la Drouetterie, aussi appelé « menhir de la pierre qui tourne » datant du Néolithique est un monument historique classé depuis le 5 novembre 1928. Il
est situé dans un bosquet au sud de la commune sur la route de La Grigonnais.
Il était autrefois nommé « le grain de sable de Gargantua »
Wikipedia
Ce terme a été construit à
partir du breton maen, « pierre », et hir, « longue ».
Wikipedia.org (menhir en loire-atlantique)
Un menhir est une pierre dressée, plantée verticalement.
Il constitue l'une des formes caractéristique du
mégalithisme en Europe au Néolithique jusqu'à la fin du Chalcolithique. La plupart ont été érigés en Europe entre 4500 et 2500 ans avant notre ère.
La culture populaire a souvent associé les menhirs aux Celtes, la vérité étant tout autre puisque les menhirs existaient plusieurs milliers d'années avant l'arrivée des Celtes en Europe. Wikipedia.org
Menhir veut dire en breton ” pierre longue “. Men/maen = pierre, et hir = long.
Alorthographe.unblog.fr
A l'inverse
des dolmens, les menhirs demeurent des monuments mégalithiques dont la signification profonde n'est pas identifiée.
La plupart des préhistoriens s'accordent pour leur
reconnaître une fonction cultuelle.
Les menhirs sont de longues pierres dressées, de hauteur variable, allant de quelques centimètres à 20 mètres.
Nicole.rolin.pagesperso-orange.fr
Le
Grand menhir brisé d'Er Grah, ou Men ar hroëc'h qui signifie « Pierre de la Fée » en Breton, situé sur le territoire de la commune de Locmariaquer, dans le Morbihan, est un menhir de dimensions exceptionnelles, le plus
grand d'Europe : 18,5 m de hauteur lorsqu'il était dressé, 3 m de largeur, masse estimée à 280 t.
Le Grand menhir brisé d'Er Grah, à Locmariaquer
(Morbihan), le plus grand du monde, érigé vers le milieu du Ve millénaire av. J.‑C.
Ce menhir, dont l'érection remonterait au milieu du Ve millénaire
av. J.‑C. est aujourd’hui à terre et brisé en quatre morceaux,
wikipedia.org