Extraits Bibliographie du Pays de Nozay

Bibliographie du Patrimoine de la région de Nozay.

Bibliographie par Thèmes

Patrimoine religieux

Châteaux et Manoirs

Agriculture, Industrie, Voie de Communication

Patrimoine de Pays, Commémorations

Environnement, Sites Naturels

Patrimoine religieux

 

Chapelle St Germain (Vay)  Les marches de Bretagne au Moyen-Age

 

Guide Pratique Accueil Loisirs Pays de châteaubriant 2008  :

p 11 Patrimoine religieux :

Appareillage de schiste, encadrement en grès ferrugineux et dallage en pierre de Nozay . Chœur du 12ème siècle . Baie romane . Superbes fresques (1995).

Eglise ouverte de fin juin à fin septembre (Gratuit) . Le samedi 14h00-19h00, le dimanche 10h00-19h00 .

Hors saison, clé disponible en mairie aux heures d’ouverture (tél : 02 40 79 47 18) .

GP 2009 : idem .

 

Siloë 2002 :

p 196, 197

Prieuré St Germain : fondé par l’abbaye de St Gildas des Bois. Adossé à la chapelle, il donna naissance au village.

Caractéristique de l’architecture locale, la chapelle arbore des encadrements de porte en grès ferrugineux. Son dallage est en pierre de Nozay.

Neuf scènes peintes se déroulent sur les murs de cette chapelle dédiée à St Germain.

Les images prennent place dans des médaillons.

Le mur sud conte l’histoire chrétienne du lieu et le mur nord la vie du saint :

Une scène de chasse seigneuriale alors qu’il était gouverneur d’Auxerre vers 400.

Son baptème

Le saint apaisant la tempête lors d’un voyage en Angleterre.

St Germain était considéré comme le guérisseur des enfants. La chapelle fut longtemps un lieu de pèlerinage très fréquenté.

Les femmes trempaient les langes des enfants dans l’eau de sa fontaine qui avait la réputation de guérir coliques, fièvres et maladies de la peau.

Où prendre la clé, clé en mairie.

 

Bretagne Loire-Atlantique 1999 :

p166

Bel édifice sans transept construit entre le 13ème et 15ème siècle, la chapelle St Germain a conservé son charme rustique.

La fontaine voisine était réputée miraculeuse et soigner les enfants de la colique, des fièvres ou encore des maladies de la peau. …

La chapelle, autrefois entourée d’un cimetière, a conservé son chœur roman mais aussi un reliquaire contenant les reliques de St Germain et sa cloche, échappée aux fontes de la Révolution.

Le prieuré, dont le bâtiment existe toujours, abritait un unique moine bénédictin à la fin de l’Ancien Régime.

 

 

Dépendant du prieuré St Germain installé sur Vay par les moines bénédictins de l’abbaye de St Gildas des bois pour soulager les lépreux, cette chapelle sans transept a gardé son chœur roman.

Les encadrements de grès ferrugineux indiquent, en effet, un monument élevé dans les mêmes temps que ceux de Béré et Melleraye, soit vers le XIIIème siècle.

Cependant le reste de l’édifice est gothique.

Autour de la Chapelle et de sa fontaine s’établit autrefois un pèlerinage très fréquenté.

(Vay et son histoire religieuse 1990 Culture et Traditions de Vay)

 

Cette chapelle accueille de superbes fresques , réalisées par le centre de la fresque de Blain, représentant sur un mur St Germain l’Auxerrois et sa vie chrétienne et sur l’autre l’arrivée des moines bénédictins à Vay

 

 

Enclos du Vieux Bourg (Nozay)  Epoque gothique et Renaissance

 

Guide Pratique Accueil Loisirs 2009  ;

p 11 (patrimoine religieux) :

 Ancien enclos paroissial d’architecture médiévale en schiste . Une cure du 16ème siècle, une église des 12ème,15ème et 19ème siècles. Peintures murales du 16ème siècle. Charpente du 15ème en forme de vaisseau renversé . Visite guidée (2€, enfant : 1€) (1 heure) . Ouverture du 14 juin au 20 septembre les mercredi, vendredi, samedi, dimanche de 15h00 à 19h00 . Autres créneaux sur réservation . 2( rue du Vieux-bourg 44170 Nozay (Tél : 02 40 79 34 29) .

 

Guide Pratique Accueil Loisirs 2008 :

p25 Rare exemple d’architecture religieuse médiévale, il comprend l’ancienne cure et l’église classée Monument Historique depuis 1989.

Le transept nord est de style gothique flamboyant et la charpente du 15ème siècle est en forme de vaisseau renversé .

L’église du 12ème, 15ème et 19ème siècle possède des peintures murales de la Renaissance .

 

Siloë 2002 :

p 174 Vieille église et prieuré St Saturnin, classés monuments historiques.

Eglise de style roman, en forme de croix latine.

Transept nord, refait à l’époque gothique, comportant une porte des morts, par laquelle devait passer le défunt pour arriver dans l’Au-delà .

Héritée d’une tradition païenne et caractéristique de la Haute Bretagne, elle est ornée de sculptures taillées dans le schiste.

 

Bretagne Loire-Atlantique 1999 :

p164 Son transept nord est de style gothique flamboyant et la charpente du XVème siècle est en forme de coque de bateau renversée.

 

 

L’église telle que nous la voyons aujourd’hui date pour la plus grande partie du début du XIIème. Elle est de style gothique dépouillé, hormis le transept nord qui est gothique flamboyant.

Les murs sont en petit appareil de quartz, schiste et grès roussin. Les fenêtres de plein cintre ont généralement un entourage de pierres de Nozay, sauf une petite fenêtre en grès roussin qui subsiste au transept sud. Cet ensemble architectural, y compris le vieux presbytère, est unique dans le Nord du département. Il nous montre l’habileté et le savoir faire des anciens carriers et tailleurs de pierres nozéens. Le prieuré Saint-Saturnin, dont les moines ont bâti l'église, existait depuis 1145 (voir ci-dessous). En 1870, la dernière messe est célébrée et le mobilier dispersé. L’église est abandonnée, puis vendue par fraction à des particuliers pour être entrepôts ou étable. Le prieuré devient maison d’habitation. En février 1979, l’ASPHAN est créée et se donne pour première tâche de sauvegarder et restaurer ce qui reste du monument.

Lafrancedesclochers

 

Ancien enclos paroissial d’architecture médiévale en schiste comprenant une cure du XVIème siècle et une église du XIIème, XVème et XIXème siècles. Classée Monument Historique depuis 1989, l’église possède des peintures murales de la Renaissance. Son transept nord est de style gothique flamboyant et la charpente du XVème siècle est en forme de coque de bateau renversée.

Site OT région de Nozay

 

De style gothique flamboyant (XVème), le transept nord surprend au milieu de l'austérité du gothique dépouillé. Il est sans lien avec le reste de l'église, si ce n'est par l'arc qui le raccorde à la croisée des transepts en transition entre le plein cintre et l'ogive. Il était dédié à Saint-Michel. Cette chapelle avait été crée par Jeanne du Moulin, propriétaire du manoir de la Touche en 1437.

Dans le transept nord se trouvent des peintures murales du XVIème. A gauche se trouve la représentation du martyre de Saint Etienne. Les bourreaux ont chacun perdu une jambe. Ils sont en pourpoint et chapeau caractéristique du XVIème. Leurs visages sont grotesques. Ils lapident le Saint. Les pierres sont entreposées dans un petit panier rond au pied du bourreau. Le Saint au centre est agenouillé en prière. Il est en habits ecclésiastiques. Son visage est rond et bonhomme. A droite, c’est le martyre de Saint Blaise. Le saint est vêtu d’une sorte de pagne et porte sa mitre d’évêque. Il a les mains liées derrière le dos. A sa droite, le bourreau le déchire avec un peigne de fer. Il a aussi le visage grotesque. Il porte un pourpoint à larges manches, serré à la taille et des bas rayés. Il semblerait que le personnage du haut soit également un Saint Etienne.

Lafrancedesclochers

 

Ancien rendez-vous de chasse de la famille de Rieux, puis des Laval, les garennes de la Ville-au-Chef étaient aussi célèbres que celles de Clisson. Jean de Laval, seigneur de Châteaubriant, gouverneur de Bretagne, en fait une maison de plaisance, au temps de Françoise de Foix, maîtresse de François Ier.

La cour y séjourne en 1532 pendant un mois, de grandes chasses à courre et des fêtes diverses y sont données.

Toutes les Gentilhommières de la périphérie sont alors occupées par les courtisanes et les courtisans.

Editions Flohic (1999)

 

Eglise St Victor (La Grigonnais)  Architecture du 17e au 19e siècle

 

Eglise St Victor (1859-1876) (pierre de Nozay et tuffeau) De style néogothique, cette église en forme de croix latine possède des harpes de murs et des entourages d’ouvertures en tuffeau. Du fait de l’absence initiale de cloches, les offices étaient annoncés par une clochette que l’on agitait à la main. Le 9 juin 1876, le conseil paroissial décide la construction du clocher. La cloche, appelée communément la grosse cloche, a pour nom Victoire. Elle pèse 660 kilogrammes et a pour parrains les soldats de La Grigonnais morts pendant la Première Guerre mondiale.

Statues (1879) (plâtre polychrome) (église St Victor)

Posées sur les boiseries de chêne du cœur de style néogothique, ces statues sont au nombre de 28 et représentent notamment St Vincent de Paul, Saint Rogatien et Donatien, Charlemagne, Sainte Jeanne de Chantal, Ste Rose de Lima et Ste Cécile.

Chaire (1880) (établissements Barranger et établissements Barbier) (bois de chêne)

De style néogothique, cette chaire à prêcher est ornée de seize statues en bois (?) polychrome, réalisées par les établissements Barbier de Nantes.

Elles représentent les apôtres et les évangélistes, ainsi que saint Thaddée, qui apporta à Edesse le saint suaire.

Sous l’abat-voix, une colombe symbolise le Saint-Esprit.

Vitraux (1890) (Maître verrier; Meuret) (500 X 95 cm)

Ces six vitraux remplacent les vitraux initiaux en verre ordinaire.

Ils représentent 42 épisodes de l’Ancien Testament et notamment : Judith tenant la tête d’Holopherne; la vision d’Ezéchiel; Esther devant Assuérus; Daniel; Tobie et l’ange. Cette iconographie reprend des thèmes directement liés à la libération d’Israël par le roi perse Cyrus.

Christ en croix (1946) (sculpteur : Henri Wagner) (bois, 120 X 105 cm)

Sculpté par Henri Wagner de Nozay, pour la famille Malo de la Grigonnais, ce christ était initialement placé sur un calvaire. Les intempéries l’ayant abîmé, il a été réparé et abrité dans l’église. Henri Wagner est le petit neveu du compositeur Richard Wagner.

Autel (1957) (sculpteur : Jean-Paul Fréour) (bois polychrome) (église st Victor)

Orné de statues en bois polychrome sculptées par J.-P. Fréour, cet autel est le troisième de l’église depuis sa construction. Les statues représentent les patrons des cinq frairies de la Grigonnais, parmi lesquels saint Victor, patron de la paroisse et ermite de Campbon, saint Ruelin, patron de la frairie de Licouët et évêque de Tréguier, et saint Bily, patron de la frairie de Carheil, martyrisé par les Normands lors de la première moitié du Xe siècle.

La statue de saint Ruelin a été réalisé d’après un tableau de 1761, conservé à Bolérè (Côtes d’Armor).

Éditions Flohic 1999

 

l'église Saint-Victor (1859-1876). Le clocher date de 1876. La peinture intitulée "Saint Jérôme", œuvre du peintre Agnès de Thuill, date de 1878.  Les 28 statues, posées sur les boiseries du chœur, datent de 1879. Les statues représentent notamment saint Rogatien, saint Donatien, saint Vincent de Paul, saint Charlemagne, sainte Rose de Lima, … La chaire, œuvre de Barranger et Barbier, date de 1880. La chaire est ornée de 16 statues en bois. Les vitraux, œuvre du maître-verrier Meuret, datent de 1890. Les vitraux représentent  42 épisodes de l'Ancien Testament. Le Christ-en-Croix, œuvre du sculpteur sur bois Henri Wagner de Nozay pour la famille Malo de La Grigonnais, date de 1946. L'autel en bois polychrome, œuvre du sculpteur Jean Paul Fréour, date de 1957. Les statues de l'autel représentent les patrons des cinq frairies de La Grigonnais : saint Victor (patron de la paroisse et ermite de Campbon), saint Ruellin (patron de la frairie de Licouët et évêque de Tréguier), saint Bily (patron de la frairie de Carheil),… ;

infobretagne.com

 

L'édifice a un clocher-porche en façade, surmonté d'une flèche en ardoises et a une haute nef et des transepts. Elle aurait été édifiée sur un ancien sanctuaire, peut-être une ancienne chapelle. 

La Grigonnais est un ancien village de la commune de Vay. En 1859, l'abbé Mérel entreprend la construction d'un édifice religieux. Une partie du territoire desservie par ce sanctuaire devient alors la paroisse de Saint-Victor de La Grigonnais. Le territoire de La Grigonnais est érigé en commune en 1959 sous l'impulsion d'Auguste Pasgrimaud qui en devient le premier maire.

Lafrancedesclochers

 

De style néo-gothique, cette église abrite une chaire et une galerie de 28 statuettes de saints, classées à l’Inventaire des Monuments Historiques. Les six vitraux de la nef  évoquent 42 scènes de l’Ancien Testament. Le maître autel est orné de cinq statues représentant les saints patrons de la paroisse.

Visite   Sur autorisation de la cure Tel 02 40 79 43 43   Accompagnée par Robert Verger (34 route de l’Océan La Grigonnais face à l’église).

Site OT région de Nozay

 

statue, 28 : saint Grégoire II, saint Grégoire VI, saint Jean Chrysostome, saint Clair de Nantes, saint Félix de Nantes, saint François de Sales, saint Vincent de Paul, saint Isidore de Madrid, saint François d' Assise, sainte Jeanne de Valois, bienheureuse Françoise d' Amboise, sainte Clotilde, sainte Thérèse d' Avila, sainte Germaine de Pibrac, sainte Geneviève de Paris, sainte Elisabeth de Hongrie, sainte Chantal, sainte Rose de Lima, saint Donatien, saint Rogatien, saint Eloi de Noyon, saint Henri, saint Stanislas Kostka, saint Charlemagne, saint Dominique de Guzman, saint Bernard de Clairvaux, saint Martin de Tours, saint Augustin d' Hippone, saint Basile le Grand ; siècle  1er quart 19e siècle  protection MH  1962/06/28 : classé au titre objet.

culture-gouv.fr

 

 

Chapelle Louis Guerry (Nozay)  Architecture du 17e au 19e siècle

 

Elément du patrimoine de pays, cette chapelle abrite depuis 1809 la sépulture de Louis Guerry, notaire de profession qui a choisi de reposer à proximité de l’ancienne route de Nantes à Rennes.

Site OT région de Nozay

 

Dans cette petite chapelle, se fit enterrer en 1809 un ancien notaire de Nozay, Louis Guéry. C’était un personnage important lors de la révolution, il participa à la rédaction du cahier des doléances. La dalle d’ardoise porte encore ses noms et qualités. Il était allié aux Ripaud et Martin, et il a joué un grand rôle dans la seigneurie de Saffré.

Par testament, il demanda de mettre 5 louis d’or en sa bière, puis d’être transporté en cet enfeu par cinq personnes ayant pour prénom Louis ! Deux belles statues en bois : Sainte Anne et la Vierge veillaient sur lui. Elles ont été recueillies par feu M. Paul Bouteiller pour être sauvegardées .

Nozay 44

 

Cette chapelle abritait plusieurs statues dont celle de la Vierge à l’Enfant et deux saints ruraux, Saint Maimboeuf et Saint Fiacre. En 1806, il décide de restaurer l’édifice. Le 21 novembre 1809, Louis Guerry décède et est enterré dans sa chapelle. Son épitaphe est encore visible. La commune de Nozay a voulu lui rendre hommage en baptisant la voie qui relie le bas de la côte de Mocquesouris à la route de Puceul « Rue de la Chapelle Guéry ».

Site Asphan

 

Chapelle funéraire qui reçut en 1809 le corps de Louis Guérry. Louis Guérry naît à Nozay le 19 décembre 1745 dans une famille de petits marchands.

En 1777, il acquiert sa propre charge de notaire à Saffré. Il a trente-deux ans.

Le 12 mai 1778, il épouse dans l’église de Saffré Julienne Pineau, fille d’un notaire et procureur et aussi veuve de Maître Braheix, également notaire.

Il a 33 ans, elle frise la cinquantaine.

Il réside à Saffré jusqu’à l’année sombre de 1793, année de la Révolution la plus chaude dans la région.

Vingt-six ans de travail classique où le notaire se trouve mêlé à la vie de toutes les couches sociales.

Au fil des ans, le nombre des affaires traitées augmentent et son crédit aussi. En moins de dix ans, louis a élargi sa sphère d’influence : il cumule les charges et couvre plusieurs juridictions. Louis  Guerry est bien introduit dans les familles dont les noms comptent au pays.

Ces familles avaient occupé et occupaient encore parfois des charges administratives plus ou moins annoblissantes : sénéchal, juge, procureur, avocat, notaire, receveur des devoirs.

En 1793 Louis Guerry fait fonction d’officier public de la commune, personnalité qui ne peut que pencher du côté de la République proclamée trois mois auparavant. En mars, après Vay, Nozay est assailli et envahi par des bandes de royalistes qui font passer un mauvais moment aux patriotes de la commune. Les officiers publics, représentants locaux du pouvoir républicain, sont pris à parti et maltraités.

A la suite de ces événements Louis Guerry gagne Nantes, ville tenue par les Bleus, où il est sûr de trouver bon accueil et protection.

Il s’installe dans une ville déchirée et excitée avec sa femme. Cinq mois plus tard, julienne Pineau décède à l’âge de 64 ans.

Le 30 janvier 1794, il prend pour femme Marie-Angélique Ripaud (36 ans). Il a 48 ans passés. Il s’installe comme « notaire public patenté de 2e classe ».

Mais à partir de 1802, Louis  Guerry regarde à nouveau vers Saffré et Nozay (il est veuf depuis 1796). De retour au pays, le notaire n’eut pas de peine à poursuivre son activité. Dans les dernières années il avait pris de l’âge. Malade et quelque peu infirme, il sortait moins que jadis.

Depuis son retour au pays, il ne s’affichait plus comme catholique au point qu’il refusera obstinément les services du curé qui le sachant malade était venu lui offrir à domicile les « secours de la religion ».

Par quel mystère décide-t-il de faire déposer ses vieux os dans la chapelle située entre les terres de Beauvais et celles des hochedé de Belair ?

Petit édifice érigé en bordure du chemin vers Nantes qui jouxtait les prés dits « de la bonne vierge ».

Cet oratoire-sans doute du XVIIe siècle- était sous le vocable de N.-D. de toutes-Aides.

Une statue de la Vierge à l’Enfant y trônait en place centrale ; à ses côtés deux saints ruraux : Saint Maimboeuf et St Fiacre.

Il semble qu’en 1806 il entreprenne de restaurer- peut-être de reconstruire - l’édifice avec l’idée bien précise de s’y faire enterrer.

Louis Guerry meurt le 21 novembre 1809 dans sa maison de la rue du château à Nozay.

Notre notaire ne bénéficie pas d’obsèques religieuses à la paroisse de Nozay ni à Saffré.

L’épitaphe qu’on peut encore lire sur sa pierre tombale nous laisse face à une interrogation. Il en avait rédigé le texte qui fut gravé sur commande de ses héritiers, trois de ses sœurs et son neveu  en l’absence d’enfants. Ce texte indiquait notamment « Il fut bon parent et bon mari – Que lui manquerait-il pour être bon chrétien ».

Il aurait laissé un testament pittoresque qui regarde ses obsèques. C’est du moins ce qu’affirme Alfred Gernoux sans toutefois en montrer la pièce.

Louis Guerry aurait souhaité que soient déposés en sa bière cinq louis d’or et que son corps soit porté en son enfeu par cinq hommes prénommés louis. Ce testament fantaisiste fut-il exécuté à la lettre ? Une chose est certaine, les pièces d’or-si elles furent jamais- ne sont plus dans la tombe depuis belle lurette. Dans les années 1950, au cours de travaux, la dalle soulevée ne laissa entrevoir ni cendres ni or.

Plaquette « La Chapelle Guerry » (jean Bouteiller février 2003) (extraits)

 

Châteaux, Manoirs, Architecture civile

 

Balade au cœur de Nozay (Nozay)  Epoque gothique et Renaissance

 

Bretagne Loire-Atlantique 1999 :

p 164

…, on peut, en revanche, voir dans la petite cité un certains nombre de manoirs et de logis nobles.

Qu’il s’agisse de l’hôtel du Grand Monarque, du Prieuré St Saturnin, des manoirs du Coudray, des Grées, de la Naulière ou de Rosabonnet, tous ont été édifiés ou agrandis au 16ème siècle.

Ils présentent de nombreuses similitudes, tant techniques que stylistiques.

Le matériau le plus souvent employé pour leur construction est le schiste, et, dans la plupart des cas, une tour, ronde, carrée ou rectangulaire, abrite l’escalier permettant d’accéder aux étages.

 

De l’enclos primitif du vieux-bourg à l’hôtel du Grand Monarque, lieu d’escale supposé de François Ier, cette petite balade urbaine vous dévoile, le long des rues du bourg, les richesses architecturales et historiques de Nozay. Le berceau de la pierre bleue.

Aupaysdechateaubriant.com/randonozayaucoeurdenozay.pdf

 

 

Aujourd’hui … subsistent … de beaux exemples d’architecture rurale en appareillage de pierre bleue. La pierre bleue a également été utilisée en architecture, à l’extérieur, en encadrements des ouvertures, comme à l’intérieur pour les cheminées et les escaliers à vis.

Les nombreux petits manoirs de la région témoignent de cette manière de bâtir qui caractérise le pays de la Mée.

Guide Gallimard (1992) p 352 (extraits)

 

Le schiste bleu des carrières des environs porte le nom de « pierre de Nozay ».

C’est dans cette zone que l’on trouve la plus forte concentration de maisons en schiste et de palis.

La visite de la partie ancienne du bourg révèle de nombreuses constructions intéressantes, comme l’église St Saturnin …

Guide Bleu (2003) Pays de la Loire p 156

 

Hôtel du Grand Monarque : Façade est à baies en tuffeau sculpté, impostes soutenus par des personnages (XVIe siècle) Lucarnes en tuffeau, style Henri II.

Place de la beurrerie : sur la place, cour précédée d’un porche cintré, accosté d’une porte piétonne.  

Chapron (1901)

 

Hôtel le Grand-Monarque (XVe XVIe siècle) (tuffeau) ruelle des perrons.

Percé d’ouvertures ouvragées et décoré d’accolades ornementées, ce bâtiment comprend, dans sa cour intérieure, une tour hexagonale. La tradition rapporte que François Ier logea au Grand-Monarque, domaine digne de le recevoir. La route de Marsac n’existait pas et le logis s’étendait jusqu’à l’hôtel de la Motte avec sa porte romane et son portillon. Prieuré St Saturnin (XVIe siècle) (schiste) rue du vieux-bourg

Avec sa tourelle quadrangulaire, ses fenêtres à meneaux et son escalier intérieur à l’italienne, ce bâtiment est aussi appelé la vieille cure. A l’origine, il sert probablement d’habitation aux moines du prieuré ST Saturnin. Il est ensuite utilisé comme presbytère, avant de devenir une maison d’habitation.

Ancien Château de la Ville-au-Chef (XVe siècle) schiste. Ancien rendez-vous de chasse de la famille de Rieux, puis des Laval, les garennes de la Ville-au-Chef étaient aussi célèbres que celles de Clisson. Jean de Laval, seigneur de Châteaubriant, gouverneur de Bretagne, en fait une maison de plaisance, au temps de Françoise de Foix, maîtresse de François Ier. La cour y séjourne en 1532 pendant un mois, de grandes chasses à courre et des fêtes diverses y sont données. Toutes les Gentilhommières de la périphérie sont alors occupées par les courtisanes et les courtisans.

Les Rohan, seigneurs de Blain, détenteurs de meutes pour le gros gibier et les loups, se rencontrent, avec les Laval et les Montmorency, au parc de la Ville-au-Chef, entouré d’abondantes réserves de faisans et de perdrix …

Editions Flohic (1999)

 

Les manoirs renaissance 

A Nozay, il existe une dizaine de manoirs qui ont été construits ou embellis pour la plupart au début du XVIème siècle avec la vague de construction de la Renaissance sous François 1er. Le mouvement a été particulièrement marqué à Nozay par la présence de Jean de Laval, gouverneur de Bretagne, à la Ville-au-chef et par Pierre Pirault, son secrétaire, au château de La Touche, tous deux étant des personnages très puissants. Ces manoirs étaient destinés à accueillir leurs invités. On dit que la cour passa un mois à Nozay en 1532.

Ces manoirs se caractérisent par la présence d'une tour qui peut être située devant ou derrière le bâtiment. Cette tour, qui loge un escalier en pierre, peut être carrée, hexagonale ou ronde

Les encadrements de fenêtre et de porte sont souvent chanfreinés, les linteaux parfois sculptés et on y trouve des fenêtres à meneaux

Toutes les maisons qui s'édifièrent alors sont construites sur le même modèle qui demeure en usage, sauf quelques variantes, jusqu'au début du XVIIe siècle. Elles sont généralement simples et présentent un rez-de-chaussée surmonté d'un premier étage divisés l'un et l'autre en deux grandes pièces

Un escalier en forme de vis construit en pierre du pays, placé le plus souvent non pas à l'intérieur, mais à l'extérieur, dans une tourelle au toit aigu tantôt ronde, tantôt quadrangulaire, tantôt hexagonale, met en communication le rez-de-chaussée avec l'étage supérieur et le grenier. Une porte placée dans l'escalier donne accès dans le jardin, ou le verger entouré de palis ou de murs en pierres sèches.

Le rez-de-chaussée est composé de deux vastes pièces aux soliveaux élevés aux poutres énormes, aux cheminées monumentales, appelées dans les vieux titres, l'une la salle basse, l'autre la cuisine.

Nozay44.com

 

 

 

Communs du Château de la Touche (Nozay)  Architecture du 17e au 19e siècle

 

Guide Pratique Accueil Loisirs 2008

p 10 (châteaux)

Le Château de la Touche (Nozay) : visite des communs en juillet et en septembre (12h00-18h00) . 1€ par personne (gratuit moins de 16 ans) .

 

Bretagne Loire-Atlantique 1999 :

p164

D’autres bâtiments, plus tardifs, retiennent également l’attention et, notamment, les deux Châteaux situés sur le territoire communal.

Construit en tuffeau sous la Restauration, celui de la Touche perpétue le modèle classique qui s’était imposé sous l’Ancien Régime.

Il s’agit d’une construction très simple, de cinq travées de façade, élevée d’un étage et dont le seul ornement est un fronton triangulaire orné d’un oculus.

On accède à cette propriété par deux portails, chacun flanqué d’une porte piétonne, de construction plus ancienne ainsi que les communs, terminés par un pavillon dans le toit duquel s’ouvrent deux lucarnes à frontons triangulaires.

La magnifique charpente qui les couvre a justifié l’inscription de cet ensemble à l’Inventaire Supplémentaire des Monuments Historiques.

 

Château privé

Bâti en tuffeau sous la Restauration, il est accessible par 2 portails de construction plus ancienne.

Les Communs, inscrits à l’inventaire des Monuments Historiques possèdent une magnifique charpente.

Visite guidée des Communs  En juillet et en septembre : tous les jours de 12h à 18h.

Site OT région de nozay

 

. L'ancien château de la Touche-Cornulier n'existe plus. Le 17 février 1790 il fut envahi par une troupe de soi-disant patriotes qui le mirent à sac et faillirent l'incendier sous prétexte d'y détruire les titres féodaux. Il est actuellement remplacé par une habitation moderne, propriété de la famille du Bois de Maquillé. Le parc entourant cette maison est fort beau et on y pénètre par un intéressant portail du XVIIème siècle surmonté d'écussons aux armes de Cornulier d'azur au rencontre de cerf d'or, surmonté d'une moucheture d'hermine d'argent entre les bois

Infobretagne.com

 

Façades et toitures des communs ; mur de clôture avec son portail (cad. AK 98, 100, 101) : inscription par arrêté du 13 octobre 1988

© Monuments historiques | Base Mérimée

 

A la fin de la révolution  le château commença sa lente dégradation. En 1815, il fut occupé par les Prussiens qui y firent de considérables dégradations ce qui acheva de le rendre inhabitable

Il était dans un tel état de délabrement  en 1821  que François de Monti de Rezé le fit raser pour construire en 1827 l'actuel château de La Touche. Il fut ravagé par un incendie le 6 avril 1987. Il est aujourd’hui complètement restauré.

Château de la Touche 44170 Nozay, les dépendances sont ouvertes à la visite en juillet et en septembre et en particulier pendant les journées du patrimoine.

Chateauxdefrance

 

Porte d'entrée monumentale faite pour frapper le visiteur qui la franchit avec une ouverture cochère et une piétonnière . Surmontant cette porte une rangée de faux mâchicoulis uniquement ornementaux, symboles de puissance. Splendide blason sculpté.L'allée d'honneur passe au milieu des communs qui abritent une magnifique charpente. Ces bâtiments servaient à loger l'importante domesticité des propriétaires

Gralon

 

Le château de la Touche, situé au nord du centre-bourg, est inscrit par arrêté du 13 octobre 1988.

Jean de Laval, Seigneur de Châteaubriant, gouverneur de Bretagne accueille la cour de François I à la Ville-au-Chef pendant un mois en 1532. Toutes les gentilhommières de la périphérie sont alors occupées par les courtisanes et courtisans. Pierre Pirault, son secrétaire, est le nouveau propriétaire du château de La Touche, avant de le céder aux Montmorency.

Wikipedia

 

Le château de la Touche est perché sur une élévation dans un parc de 40 hectares qui descend jusqu’à l’église de Nozay. Le château actuel a été reconstruit en 1827 à coté de l’ancien château et d’importantes dépendances. Ces communs sont inscrits sur l’inventaire des monuments historiques.

La porte d'entrée monumentale est faite pour frapper le visiteur qui la franchit avec une ouverture cochère et une piétonnière . Cette porte est surmontée par une rangée de faux mâchicoulis uniquement ornementaux, qui symbolisent la puissance. Le portail est construit en tuffeau, matériau traditionnellement utilisé dans le Val de Loire. L'ornementation est sobre et inspirée de l'antiquité. De fausses colonnes qui sont posées en légère saillie et le fronton décoré qui est surmonté d'une niche de faîtage, rappellent le pouvoir religieux comme le blason seigneurial rappelle le pouvoir aristocratique.

Nozay44

 

Château de Saffré (Saffré)  Architecture du 17e au 19e siècle

 

Guide Pratique Accueil Loisirs 2008

p 10 (châteaux) :          

Le Château de Saffré : Accès libre au parc . 

 

Le premier seigneur connu de Saffré semble avoir été Alain de Pierrefeu, en 1097. Un premier château existait au Moyen Âge (XIe-XIIe siècle). L’un de ses successeurs offrit en 1223 un fief aux chevaliers du Temple de Nantes. Plusieurs générations de Tournemine ont ensuite occupé les lieux, pendant plus d'un siècle. En 1542, les d’AVAUGOUR, descendants des Ducs de Bretagne leur succédèrent. Cette famille restera aussi longtemps propriétaire du château de Saffré (jusqu'au début du XVIIIe siècle). Dans un aveu de 1679, le château est décrit ainsi : « le château de Saffré avec ses tours, cernoyé de ses douves et pont-levis, avec les bastiments en dehors, fuie, estang, bois, vignes, prés… »

Les O’RIORDAN succédèrent aux d'AVAUGOUR. Leur fille épousa un riche et ambitieux marin, Jacques-Edme COTTIN, originaire de Saint-Domingue, qui acheta un titre de noblesse et devint à son tour l'un des propriétaires du château - et le dernier seigneur du lieu.

A partir de 1824, Hubert Le Loup de Beaulieu, nouveau propriétaire du domaine (et maire de Saffré 1825 à 1830), fait effectuer de nombreuses modifications, architecturales et paysagères. Il cède la forêt de Saffré, fait creuser un nouveau lit à l’Isac et détruire tout ce qui pouvait donner l’aspect d’une forteresse (douves, pont-levis, vers 1840). Le château de Saffré devient à cette époque une habitation « moderne ». Alexis Ricordeau (maire de 1902 à 1931) acheta le château en 1895. Il fit abattre l’aile ouest (suite à un incendie ?) et réaménagea le bâtiment selon les goûts de l’époque. Son fils Maurice en fut le dernier habitant, avant l’occupation allemande durant la Seconde Guerre mondiale. En 1990, la commune de Saffré a acquis cette propriété, inoccupée depuis lors. C'est sur le site du château que s'est déroulé pendant 10 ans le festival "le Champ du rock". Le lieu est toujours utilisé pour de nombreuses manifestations associatives (on peut également y visiter un joli potager, des mares), en attendant un usage plus régulier…

Wikipedia

 

 le château de Saffré (XIXème siècle). Propriété de Hugues le Loup de Beaulieu, maire de Saffré de 1825 à 1830, puis de la famille Bretault-Billou en 1850, d'Alexis Ricordeau (avocat nantais) en 1895. Ce dernier et son fils sont maires de Saffré de 1902 à 1945. Durant la Seconde Guerre Mondiale, les Allemands installent au château le siège de la Kommandantur. Ce château devient ensuite la propriété de la commune de Saffré ;

infobretagne.com

 

Venez admirer le château et son cadre verdoyant de 30 ha. Maison bourgeoise, autrefois château fort entouré de douves et conservant un pavillon du XVIIè siècle. Accès libre au parc. Visible de la route.

Créafrance.org

 

Depuis 2005, l’Association « Saffré Joli Tout Fleuri » conclut la saison estivale par une fête des plantes dans le jardin associatif du Château de Saffré

Pulceo

 

Douves (XIIIe XIVe XVIe siècles) Le Château (Saffré) A l’emplacement du château actuel se dressaient autrefois un véritable château-fort avec des tours entourées de douves. On y accédait par un pont-levis, détruit vers 1840 par Hubert Le Loup de Beaulieu. Au XIIIe siècle, Alain de Saffré et Hamelin sont les premiers seigneurs des lieux. Les seigneurs de Tournemine et les d’Avaugour qui descendent, par la branche maternelle, des Ducs de Bretagne, leur succédent aux siècles suivants. Anne de Bretagne, leur cousine, fait de fréquentes visites au château.

Par l’étendue de leurs biens, les d’Avaugour sont immensément riches et en vue à la Cour de Bretagne, puis à la cour de Louis XII et François Ier. Louis d’Avaugour épouse Anne Descartes, fille du célèbre philosophe. Au XVIIIe siècle, la seigneurie est acquise par les O’Riordan, famille d’origine irlandaise ayant acheté une charge d’officiers de la marine royale. Leur fortune a été acquise par le commerce du bois d’ébène. En effet, les O’Riodan sont trafiquants d’esclaves. Le dernier seigneur du lieu est Jacques Edmé Cottin en 1785, époux d’Elisabeth d’O’Riordan. Il se retire à Saffré en 1799 devient maire, et y meurt en 1823.

Flohic 1999

p831 janvier1999.

Château de Saffré. Le Château (XIXe siècle)

En 1824, Hugue Le Loup de Beaulieu acquiert l’ancien château seigneurial et toutes les terres en dépendant.

Il détourne le lit de l’Isac entre la fuie et le château et fait disparaître tout ce qui conférait à la construction l’aspect d’une forteresse.

Il est maire de Saffré de 1825 à 1830.

En 1850, un commerçant nantais, Bretault-Billou achète le château, qui devient une demeure à un seul étage et dont la façade nord est percée de 30 ouvertures.

En 1895, célèbre avocat nantais, la transforme considérablement. Il fait abattre le pavillon Ouest et aménage l’intérieur.

Lui et son fils sont successivement maires de Saffré de 1902 à 1945.

Pendant la seconde guerre mondiale, devenue siège de la Kommandantur, cette demeure est pillée et saccagée.

Ses boiseries intérieures sont arrachées. Le château appartient ensuite à la commune de Saffré.

Flohic p831 janvier1999

 

Le château accueillera la bibliothèque au rez-de-chaussée  et le pôle multiculturel - La commune envisage de faire du 1 er étage un lieu axé sur le culturel sous toutes ses formes (musique, danse, arts plastiques...). La première phase des travaux de la future bibliothèque devrait débuter entre 2013 et 2014.

La commune a acquis la propriété en 1990. Entre 2002 et 2003, la toiture a été refaite afin de protéger l'édifice, muré en attendant sa nouvelle vie.

http://www.ouest-france.fr/actu/actuLocale_-Le-chateau-accueillera-la-bibliotheque-et-le-pole-multiculturel-_44149-avd-20121127-64082763_actuLocale.Htm

 

 

En 1570, René d’Avaugour, était châtelain de Saffré. Par sa mère, il déscendait des Ducs de Bretagne, ce qui explique la parenté des seigneurs de Saffré avec Anne de Bretagne, et les fréquentes visites qu’elle leur rendit (par le chemin de la Duchesse qui existe encore). …Histoire du Château de Saffré

(note dactylographiée non datée).

 

 

Agriculture, Industrie, Communications

 

Musée Agri-Rétro (Abbaretz)  Fer et Forges, Mines et carrières

 

Guide Pratique Accueil Loisirs 2008

p 12

Deux cents Tracteurs et plus d’une centaine d’autres machines agricoles (batteuses, moissonneuses batteuses, ensileuses, charrues …) et une collection unique de machines Huard de Châteaubriant (autre que la charrue) …

Ouvert de fin avril à début octobre du mardi au dimanche (4€) . L’hiver sur rendez-vous. Adresse : Le Houx 44170 Abbaretz Tél : 02 40 55 19 71 .

 

Guide Routard 2005 :

Musée Agri-Rétro (Abbaretz) p 547

A 8 km d’Abbaretz, sur la route entre Nort et Issé (D 69). Ouvert de Pâques à début Octobre du mardi au dimanche. Sur rendez-vous hors saison (entrée 4 €)

Quelques 150 tracteurs, batteuses, charrues, matériel de traite, outil d’exploitation en tout genre réunis

et exposés sur 2300 m2 par un passionné, Rogatien Mortier, depuis … bien longtemps.

Vous saurez tout ou presque sur le machinisme agricole de la région de 1910 à 1960.

 

Bretagne Loire-Atlantique 1999 :

p166 Enfin, il convient de mentionner l’existence du musée agricole rétro, constitué à partir de la collection Rogatien Mortier, et qui, sur le site du Bas-Houx, présente des collections d’anciens engins employés dans l’agriculture.

 

Le Musée Agri Rétro donne une bonne idée de l’histoire de la mécanisation dans les campagnes du Pays de Châteaubriant.

 Son intérêt ne se limite pas à sa collection de tracteurs, pourtant unique avec plus de 220 spécimens.

Machines à vapeur, moteurs industriels, tour à sabots, trieurs, batteurs, batteuses, moissonneuses batteuses, scie forestière, outils de forgeron, matériels de traite, et de très nombreux outils en usage dans nos campagnes autrefois…

Beaucoup sont ignorés dans les campagnes d’aujourd'hui !

Voilà de quoi susciter de multiples questions.

 Bref, le visiteur doit avoir le temps… surtout si Rogatien Mortier dirige la visite !

Agriretro.unblog.fr

 

 Le but de cette association est de montrer à toutes les personnes intéressées par la vie paysanne et la vie des campagnes d’hier et d’aujourd’hui, une large gamme de matériels agricoles utilisés dans la région de Châteaubriant depuis un siècle.

Les premiers matériels Huard ont été acquis par Rogatien Mortier dans les années 1970.

Au milieu des années 1990, un projet d’un musée Huard à Châteaubriant a été discuté, sans aboutir.

Cette volonté n’est pas morte et elle a été ravivée par la dynamique de l’association Huard Burzudus, la forte demande de voir rassemblés des matériels Huard et les liens tissés entre les deux associations.

Ainsi, en avril 2007, un musée Huard s’ouvre dans une extension spécialement conçue du Musée Agri Rétro à Abbaretz.

Il rassemble du gros matériel Huard.

Le Musée Agri Rétro donne une bonne idée de l’histoire de la mécanisation dans les campagnes du Pays de Châteaubriant.

Son intérêt ne se limite pas à sa collection de tracteurs, pourtant unique avec plus de 220 spécimens.

Machines à vapeur, moteurs industriels, tour à sabots, trieurs, batteurs, batteuses, moissonneuses batteuses, scie forestière, outils de forgeron, matériels de traite, et de très nombreux outils en usage dans nos campagnes autrefois…

Beaucoup sont ignorés dans les campagnes d’aujourd'hui !

Bref, le visiteur doit avoir le temps… surtout si Rogatien Mortier dirige la visite !

Chateaubriant-huard.fr

 

Quatre-vingt-dix pour cent de ses tracteurs sont en état de marche.

Même si parfois, il lui faut bien deux machines pour en remettre une en état.

Unique, sa collection est aussi très locale : la plupart de ses protégés ont œuvré dans les champs du département.

Ils creusent ici le sillon de l'histoire.

En 2007, le musée s'est enrichi d'un deuxième hangar qui accueille une exposition sur la constructeur Huard, avec 66 charrues de 1905 à 1975.

Balado.fr

 

Le musée Agri Rétro a été créé en 1994, et est géré depuis 1997 par l' Association "La Goutte d'huile", dont le président est Rogatien Mortier.

Le but de cette association est de montrer à toutes les personnes intéressées par la vie paysanne et la vie des campagnes d'hier et d'aujourd'hui, une large gamme de matériels agricoles utilisés dans le Pays de Châteaubriant depuis un siècle.

Pays-chateaubriant.fr

 

 

 

Carrière du Parc (Nozay)  Fer et Forges, Mines et carrières

 

Guide Pratique Accueil Loisirs  2008

p 15, 25 :

Terre de Schiste. La carrière du parc (Nozay)                    

GP 2009 : idem .

La carrière du parc retrace le savoir-faire des carriers qui ont depuis des siècles exploités et travaillés la « pierre bleue » .

La végétation qui recolonise le site est typique des landes schisteuses. Venez découvrir cet écosystème riche et surprenant.

Ouverture du 14 juin au 20 septembre les mercredi, vendredi, samedi et dimanche de 15h00 à 19 h00. Visite libre gratuite . Visite guidée : 2€ .

En dehors de ces créneaux sur réservation. La Carrière du Parc (près des étangs de loisirs) : Le Petit-Grandjouan (route de Rennes) Tél : 02 40 79 34 29 .

 

Loire-Atlantique 1998 :

Celle que l’on nomme la Pierre Bleue : du latin schistus, « que l’on peut fendre », le schiste n’est pas un matériau facile à travailler et se débite en blocs.

Selon sa longueur et son épaisseur, on l’utilise de diverses façons, tant dans l’architecture savante que populaire.

De très belles pièces ont été choisies pour les colonnes ou la galerie italienne du château Renaissance de Châteaubriant. Le schiste est appareillé au grès armoricain, pour la construction des murs, borde souvent les trottoirs et encadre joliment portes et fenêtres, aussi bien des gentilhommières que des fermes.

Escaliers de schiste, cheminées et éviers : l’intérieur des habitations donne dans le même ton (l’escalier du château de la Motte-Glain est un très bel exemple).

Les clôtures traditionnelles de palis (larges dalles de schiste) sont caractéristiques du paysage rural, par tradition sûrement, par esthétisme de plus en plus.

La mode est au bleu dans ce coin de Loire-Atlantique...sobre e subtile, à l’image du pays.

Cassitérite, minerai essentiel à la fabrication de l’étain, et schiste : les richesses du sous-sol de Nozay et d’Abbaretz ont fortement marqué l’histoire de la région, comme en témoigne l’architecture locale. Pratiquée depuis la période gallo-romaine, l’exploitation du schiste voit sa fin venir : il ne reste en effet qu’un seul carrier à Nozay ( propos illustrés de la photographie du tailleur de pierre de Nozay, M Poitevin).

 

Siloë 2002 :

p 174 Berceau des carrières de schiste, la ville (Nozay) a donné son nom à la pierre qui habille le bâti local.

Du latin schistus, « que l’on peut fendre »,la pierre de Nozay se débite en blocs.

Selon sa longueur et son épaisseur, elle est utilisée de diverses façons, tant dans l’architecture savante que populaire. En témoignent les nombreux manoirs des hameaux environnants, les fontaines, les clôtures de palis (larges dalles), les ponts et les croix de chemin, caractéristiques du paysage rural.

 

Guide Routard 2005 :

p 547Anciennes carrières de schiste bleu (Nozay) Nozay : petit bourg localement célèbre pour ses anciennes carrières de schiste bleu, appelé communément ardoise.

C’est en fait au vieux bourg qu’il faut se rendre pour découvrir ces singulière haies en ardoise, les « palis », et le revêtement de schiste des maisons.

 

Pays-châteaubriant.fr Le centre d'interprétation du patrimoine en schiste de Nozay se veut un lieu d'animation, de restauration et de promotion du patrimoine en schiste typique du Pays de Châteaubriant, Pays de la Pierre Bleue.  Il est animé par l' Association de Sauvegarde du Patrimoine Historique et Artistique de Nozay et sa région (ASPHAN) qui oeuvre depuis 30 ans à la valorisation de ce patrimoine, de ces savoir faire et du travail de la pierre de schiste, et regroupe plus de 120 bénévoles passionnés du territoire. Il s'organise sur deux sites remarquables :

- L'enclos paroissial du Vieux Bourg de Nozay avec église du XVème, cure du XVIème, et deux maisons accueillant expositions temporaires et ateliers de sculpture du schiste ;

- La carrière du Parc, ancien site d'extraction du schiste sur 1,2 hectares, aménagé avec sentier de découverte, et animations de plein air.

Ce projet a évolué progressivement vers un Centre d'Interprétation du Patrimoine reliant le site de l'Enclos du Vieux Bourg à celui de la Carrière du Parc. Cet ancien site d'extraction de la pierre bleue racheté par la municipalité de Nozay en 1999 a été réhabilité et aménagé par l'ASPHAN.

Couleursaison-tourisme.com

 

CARRIERE DU PARC – Nozay – Petit Grand Jouand (rte de Rennes)

Tous les mercredis & samedis de mi-juin à mi-septembre - 15h à 19h

Visite retraçant le savoir-faire des carriers qui depuis des siècles ont exploité la « pierre bleue ». La végétation de la lande schisteuse égaiera votre visite à chaque saison. Groupe maxi 30 pers

Tourisme-nozay.fr

 

Sur cet ancien site d’exploitation du schiste, communément appelée « Pierre Bleue », découverte du savoir-faire des anciens carriers et tailleurs de pierre dans une végétation de lande schisteuse.

Berceau des carrières de schiste, la ville de Nozay a donné son nom à la pierre qui caractérise le bâti local. La Pierre de Nozay se débite en blocs et est utilisée de diverses façons, tant dans l'architecture savante que populaire. Elle habille de bleu les nombreux manoirs, les demeures plus modestes, les fontaines, les clôtures de palis (dalles de schiste dressées), les ponts et les croix des chemins, caractéristiques du paysage rural.

France voyage.com

 

Les principales carrières de Nozay étaient situées près des villages de la Villatte, des Grées et de la Ville-au-chef. Vers 1870, l’ingénieur alsacien Frank dirige l’extraction de schiste dans la commune. En 1914 l’exploitation des carrières dynamise l’économie et fournit quelques 300 emplois

Flohic (1999)

 

La carrière, qui longe le parc du château de la Touche, a été fermée voilà 50 ans. Rachetée par la commune en 1999, elle a attendu 8 ans qu’on s‘occupe d’elle...

L’activité industrielle, liée à la pierre, a été si florissante dans la région de Nozay qu’on dit encore « pierre de Nozay » ou « pierre bleue » à la place de « schiste ». Plus de 300 personnes y travaillaient avant guerre. Mais elle a aujourd’hui presque totalement disparu. Il ne reste plus qu’une seule carrière en activité où les carriers ont totalement changé de méthode d’extraction.

Chateaubriant.org

 

 

Patrimoine de Pays, Commémorations

 

Oratoire des Brées (Saffré)           La Résistance de 1939 à 1945 dans le Pays de Châteaubriant

 

Guide Pratique Accueil Loisirs 2008 : 

A voir à proximité, l’oratoire, souvenir de la ferme des Brées, la bouillée d’ajoncs et le Chêne à Chaumeil. Sentier d’interprétation .

GP 2009 : idem .

 

Le Maquis de Saffré.

Bien connu depuis la Guerre, il cacha beaucoup de résistants. Enfoncez-vous à l’intérieur des terres par les petites routes pour découvrir l’oratoire des Brées et la pieta, un endroit au charme surprenant, plus loin le monument du maquis au Pas du Houx inauguré par le Général de Gaulle le 11 juin 1950.  Beaucoup de solennité règne dans ces lieux.

Le Petit Futé de Loire-Atlantique 1995 p76

 

Editions Flohic 1999

p 834 Oratoire du maquis de Saffré (1944)

Ferme des Brées (Maquis de Saffré).

Au lendemain du débarquement des Alliés en Normandie, le 6 juin 1944, la Résistance décide de constituer un maquis.

C’est la vaste forêt de Saffré qui est choisie. Le 18 juin 1944, ce maquis compte environ 350 jeunes gens venus de la commune et de ses environs, ainsi que des Nantais. Ils préparent notamment une piste destinée aux parachutage d’armes et de vivres. Les Anglais leur en livrent environ une tonne.

Le commandement Allemand décide d’attaquer le maquis, et, le 28 juin au petit matin, l’offensive est déclenchée.

Après une résistance courageuse contre plusieurs milliers d’Allemands et de miliciens venus de Nantes, les maquisards parviennent à se replier au prix de lourdes pertes. Treize d’entre eux sont finalement tués ou blessés sur place, 27 sont fusillés le 29 juin à la Bouvardière, deux sont executés par les miliciens le 13 juillet et vingt neuf personnes arrêtées et déportées ne reviendront pas des camps de la mort. Selon leurs propres sources, les occupants subissent des pertes s’élevant à cent quatre-vingts morts et environ deux cents blessés.

A la ferme des Brées, incendiée pendant l’attaque, cet oratoire est aménagé dans les dépendances et rappelle la violence de cette bataille.

 

 Oratoire : Chapelle de dimensions restreintes

(larousse.fr)

 

Cet oratoire est aménagé dans les dépendances de la ferme des Brées, quartier général du Maquis de Saffré, assiégé par les nazis le 28 Juin 1944.

Tourisme-nozay.fr

 

Pietà : Sens Peinture ou sculpture sur laquelle la Vierge est représentée avec le corps du Christ sur les genoux [Religion].

La Pietà, ou Vierge de Pitié, est un thème artistique de l'iconographie de la peinture chrétienne représentant la Vierge Marie en Mater dolorosa (expression latine), mère pleurant son enfant qu'elle tient sur ses genoux, en l'occurrence Christ descendu mort de la Croix avant sa mise au tombeau, événement placé avant sa Résurrection, précédant son Ascension. La scène de la Déploration du Christ est quant à elle traitée de manière plus ample et représente, en plus du Christ et de sa Mère, les autres personnages qui étaient auparavant au pied de la Croix.

 

Oratoire du maquis de Saffré (1944). Le 6 juin 1944, la résistance décide d'établir un maquis dans la forêt de Saffré. Ce maquis compte environ 350 jeunes, le 18 juin 1944, qui sont mal ou peu armés et qui attendent un parachutage allié. Les Allemands décident d'attaquer le maquis le 28 juin 1944. Devant la supériorité des Allemands, les maquisards sont obligés de se replier laissant derrière eux de lourdes pertes : 13 tués sur place, 27 fusillés le 29 juin 1944 à la Bouvardière, deux sont exécutés par les miliciens le 13 juillet 1944 et 29 personnes sont arrêtées et déportées. Côté allemand, on dénombre 180 morts et environ 200 blessés. Le PC du maquis est dans la ferme des Brées, incendiée par les allemands, et laissée en l'état après guerre. La grange, qui fait face au corps de ferme, est convertie en oratoire.

http://lafrancedesclochers.xooit.com/t212-Saffre-44390.htm

 

 

Le maquis de Saffré comprenait donc à ce moment environ 310 hommes, à savoir: une compagnie de 160 hommes à la ferme des Brées, P.C. du maquis, une compagnie de 110 hommes au Pas du Houx, La Volante (20 hommes), l’état-major, l’intendance, et des aviateurs récupérés, soit encore une vingtaine d'hommes ainsi que cinq officiers parachutistes qui ont rejoint le maquis.

En fait le maquis de Saffré, installé dans une forêt de moins de 500 ha au Nord de Saffré, se compose de 130 hommes armés et 170 hommes désarmés et attend toujours en vain un parachutage d'armes. Et le 28 juin 1944 au petit matin à 5h45 précisément, 1.500 SS et quelques 600 miliciens Français débarquent des camions avec des canons légers et commencent l'assaut de la ferme des Brées à partir des Gouvaloux. pendant que le commandant Yacco et les officiers présents représentant la D.M.R qui l'accompagnait depuis la chute du maquis de Saint-Marcel, suivent l'ordre, donné par le commandant Willk, dit Olivier, d'évacuation et de dispersion des autres camps du maquis.

Pendant que les maquisards de la ferme des Brées soutenus par leur camarades résistent pendant plus de deux heures aux assaillants, qui tirent au canon de 37, plusieurs centaines de maquisards passent en silence dans un sentier qui longe la ferme à 400 mètres de là en direction du Nord. Les 13 hommes qui se sont sacrifiés, trouveront tout de même le moyen de tuer 180 Allemands assaillants et d'en blesser environ 200 avant d'avoir épuisé leurs munitions. Quatre des défenseurs sont morts. Les autres plus ou moins blessés sont achevés à coups de gourdins et de bottes.

Ww2-derniersecret.com

 

En attendant le moment d’intervenir, les jeunes maquisards font de l’éducation physique et du maniement d’armes, et préparent le terrain de parachutage dans la plaine des Gouvalous, à proximité de la ferme des Brées : arbres abattus, fossés comblés, terrain nivelé. La piste fait 1800 mètres, le parachutage est attendu pour le 28 juin 1944.

Journal-la-mee.fr

 

Nuit du 16 au 17 juin 1944. Regroupement d’une centaine d’hommes dans la forêt de Saffré en vue d’un parachutage destiné à armer la résistance locale. Les hommes sont chargés d’aménager le terrain dit « des Gouvallous » et de s’exercer au maniement des armes (en nombre très insuffisant)

18 juin 1944. Attaque du maquis de St Marcel (Morbihan) par les Allemands : 30 Français tués, 60 blessés, 15 prisonniers, 300 à 500 Allemands tués

Les échappés du Maquis de St Marcel se retrouveront pour partie au Maquis de Saffré.

A Saffré, le terrain des Gouvalous est défriché, les fossés sont comblés, la piste d’atterrissage mesure 1800 mètres mais le parachutage est retardé en raison des conditions atmosphériques défavorables.

22 juin 1944, le groupe de Teillay est attaqué par les Allemands qui n’osent cependant pas s’aventurer en forêt. Décision est prise de regrouper les hommes dans la forêt de Saffré. Le transfert s’effectue les 23 et 24 juin dans un camion du minotier LEBEC de Nort sur Erdre.

Le maquis de Saffré comprend environ 310 hommes : une compagnie de 160 hommes à la ferme des Brées, P.C. du maquis, une compagnie de 110 hommes au Pas du Houx, La Volante (20 hommes), l’état-major, l’intendance, et des aviateurs récupérés, 20 hommes.

L’attaque du Maquis de Saffré

Le 28 juin 1944, vers 5 heures du matin, plus de 2.000 Allemands et miliciens équipés d’armes automatiques et de canons légers tentent d’encercler la forêt de Saffré mais n’y parviennent pas tout-à-fait : la limite nord reste ouverte car une partie des assaillants s’est perdue dans le dédale des petites routes.

Du côté du maquis, 60 hommes seulement sont armés.

Les victimes du Maquis de Saffré

En plus des 13 maquisards tués sur place, on compte : 27 fusillés à la Bouvardière à Saint-Herblain, le 29 juin 1944 , 2 fusillés à la prison Lafayette le 13 juillet 1944 , 18 personnes arrêtées par la milice et la Gestapo, seront arrêtées peu après, en raison de leurs liens réels ou supposés avec le maquis de Saffré

 Au total 60 victimes.

Chateaubriant.org

 

Le Maquis de saffré Entre le 20 et 27 juin 1944, les maquisards aménagent la prairie des Gouvallous en terrain de parachutage. En raison des conditions atmosphériques défavorables, le parachutage est retardé.

Le 27 juin 1944, le Maquis de Saffré comprend environ 310 hommes, répartis comme suit : une compagnie de 160 hommes aux Brées, P.C. du Maquis, une compagnie de 110 hommes au Pas du Houx, la Volante 20 hommes, l'état-major et l'intendance 20 hommes.

Le mercredi 28 juin 1944, vers 5 heures du matin, la forêt de Saffré est encerclée par plus de 2000 Allemands et miliciens équipés d'armes automatiques et de canons légers. Du côté du Maquis, 60 hommes seulement sont armés.

Prévenus par les guetteurs, de l'arrivée des Allemands, les chefs ont ordonné la position de combat à ceux qui sont armés, et le repli immédiat aux autres.

Un convoi Allemand qui devait prendre position an Nord-Est de la forêt, s'égara et pris un chemin inverse, un autre convoi qui se dirigeait vers le Nord-Ouest de la forêt, demanda à un fermier la route pour aller à la forêt, celui-ci indiqua la direction opposée. La forêt n'ayant pas été complètement cernée, surtout au Nord,cela permis à environ 200 résistants de s'enfuir.

Malgré la résistance des postes de garde, l'issue est fatale. Après 2 heures de combats, les Allemands sont maîtres du terrain.

Treize maquisards sont tués au combats, vingt-sept seront fusillés au Château de la Bouvardière à Saint-Herblain, deux seront exécutés à la prison Lafayette à Nantes, vingt-et-un décèderont en camp de concentration, neuf seront tués dans les combats de la libération, portant le nombr total des victimes du Maquis à soixante-douze.

Le jeudi 29 juin 1944, peu avant minuit, des avions survolent la forêt de Saffré, au bout des parachutent, des caisses d'armes, des munitions et des vivres tombent du ciel. . .

Larousse.fr

 

Le 27 juin 1944, le Maquis de Saffré comprend environ 310 résistants répartis comme suit : une compagnie de 160 hommes aux Brées, Poste de Commandement du Maquis, une compagnie de 110 hommes au Pas du Houx, la Volante composée de 20 hommes, et l'état major, l'intendance, les aviateurs récupérés constituant également 20 hommes.

Le 28 juin 1944, la forêt de Saffré est encerclée par plus de 2 000 soldats allemands et miliciens équipés d'armes automatiques et de canons légers. De côté du Maquis, seulement 60 hommes sont armés.  Malgré la résistance des postes de garde, l'issue est fatale. Après 2 heures de combat, les Allemands sont maîtres du terrain. 13 maquisards furent tués au combat, 27 ont été fusillés à la Bouvardière à St Herblain. 29 personnes arrêtées par la Milice et la Gestapo seront déportées dans les camps et n'en reviendront pas.

Monument accessible au public tous les jours.

Pays-chateaubriant.fr

 

Monument du Maquis de Saffré (Saffré) La Résistance de 1939 à 1945 dans le Pays de Châteaubriant

 

Guide Pratique Accueil Loisirs 2008

p 14 (Lieux de mémoire)

Le maquis de Saffré (Saffré)

Sculpture monumentale signée des Seiz Breur en hommage au combat héroïque des maquisards (28 juin 1944).

A voir à proximité, l’oratoire, souvenir de la ferme des Brées, la bouillée d’ajoncs et le Chêne à Chaumeil. Sentier d’interprétation .

GP 2009 : idem .

 

Siloë 2002 :

p 174. Au lendemain du débarquement des Alliés, le 6 juin 1944, les maquisards de Saffré décident de préparer une piste dans la forêt de la commune pour le parachutage d’armes et de vivres. L’offensive allemande entraina la mort et la déportation des Résistants.

Edifié en 1950, le monument du Maquis de Saffré porte le souvenir des événements. A côté les tombes de treize maquisards.

Guide Accueil du Pays des trois Rivières (2002) p 7. Haut lieu du souvenir de la Seconde Guerre Mondiale, le mémorial du Maquis de Saffré témoigne de l’épisode douloureux du 28 juin 1944 où, vers 5h00 du matin, la forêt de Saffré est encerclée par plus de 2000 Allemands et miliciens.

Face à eux les 60 hommes du maquis ne peuvent résister à cette attaque.

On dénombre ainsi 13 maquisards tués, 27 fusillés à St Herblain et 29 personnes arrêtées par la milice et la Gestapo pour être déportées dans les camps et qui n’en reviendront pas. Le Monument du Pas du Houx est érigé en hommage aux héros du Maquis de Saffré.

 

Editions Flohic 1999

p 834 Monument du Maquis de Saffré (1950) Granit

D’une hauteur de huit mètres, ce monument, construit grâce à la collecte d’un comité local, représente la France, enchaînée sur la croix de Lorraine, délivrée par les maquisards qui la débarrassent de ses chaînes, l’arment d’une épée et d’un bouclier et la coiffe d’un casque; à ses pieds gît un maquisard.

Il contient la dépouille d’un jeune Nantais, le plus jeune des maquisards, Robert Geffrraud, dix-sept ans, pupille de la nation.

Ce monument, érigé pour maintenir le souvenir du sacrifice des résistants face aux nazis, est inauguré par le général de Gaulle le 11juin 1950, en présence du général Audibert, chef de la Résistance dans l’Ouest.

A côté, treize tombes à la simple croix de bois sont érigées dès le 29 juin par les Saffréens pour ensevelir les résistants tombés au combat.

 

Le drame de Saffré : Après le 6 juin 1944, la résistance constitue un maquis dans la forêt de Saffré près de Nozay.

Mais le 29 juin, les 350 jeunes gens qui le composent sont attaqués par les Allemands : 13 résistants sont tués et 35 sont faits prisonniers, dont 29 seront fusillés. Une stèle a été inaugurée le 11 juin 1950.

Guide Gallimard 1992 p 339.

 

L’attaque par la Gestapo et des miliciens fut préparée à Nantes. Les assaillants se composaient de SS de Rennes et d’Angers. …

Mille allemands au moins furent employés pour ce coup de surprise et transportés par des voitures et des camions. …

C’est en plusieurs colonnes qu’ils se rendirent sur les 3 h du matin, en la forêt de Saffré.

Fort heureusement, une des colonnes qui se dirigeait vers la gare de Saffré-Nort s’égara, ce qui permit la retraite de nombreux jeunes gens.

On a parlé de  200 morts Allemands et de 170 blessés. Au soir du 29 juin, trop tard, onze avions anglais survolèrent la forêt de Saffré et le butin fut pour les Allemands. Dès le soir du 29 juin après un simulacre de jugement 27 maquisards de Saffré durent monter en camions (à Nantes) pour être conduits sur un terrain d’exécution. Ainsi moururent pour la France 27 jeunes dont l’âge variait entre 19 et 24 ans.

Annales de Nantes et du Pays Nantais 1964 p18.

 

L'attaque du Maquis de Saffré, le mercredi 28 Juin 1944, vers 5 heures du matin, la forêt de Saffré est encerclée par plus de 2000 allemands et miliciens équipés d'armes automatiques et de canons légers. Du côté du Maquis, 60 hommes seulement sont armés. Prévenus par les guetteurs, de l'arrivée des Allemands, les chefs ont ordonné la position de combat à ceux qui sont armés, et le repli immédiat aux autres.

Un convoi Allemand qui devait prendre position au Nord-Est de la forêt, s'égara et pris un chemin inverse, un autre convoi qui se dirigeait vers le Nord-Ouest de la forêt, demanda à un fermier la route pour aller à la forêt, celui-ci indiqua la direction opposée. La forêt n'ayant pas été complètement cernée, surtout au Nord, cela permit à environ 200 résistants de s'enfuir.

Malgré la résistance des postes de garde, l'issue est fatale. Après 2 heures de combat, les Allemands sont maîtres du terrain.

Le jeudi 29 Juin 1944, peu avant minuit, des avions survolent la forêt de Saffré, au bout des parachutes, des caisses d'armes, des munitions et des vivres tombent du ciel...Les Victimes du Maquis de Saffré, 13 maquisards sont tués au combat, 27 seront fusillés au Château de la Bouvardière à Saint-Herblain, 2 seront exécutés à la prison Lafayette à Nantes, 21 décèderont en camp de concentration, 9 seront tués dans les combats de la libération, portant le nombre total des Victimes du Maquis de Saffré à 72.

Webunited.info

 

Le maquis de Saffré comprend environ 310 hommes : une compagnie de 160 hommes à la ferme des Brées, P.C. du maquis, une compagnie de 110 hommes au Pas du Houx, La Volante (20 hommes), l’état-major, l’intendance, et des aviateurs récupérés, 20 hommes.

Le 28 juin 1944, vers 5 heures du matin, plus de 2.000 Allemands et miliciens équipés d’armes automatiques et de canons légers tentent d’encercler la forêt de Saffré mais n’y parviennent pas tout-à-fait : la limite nord reste ouverte car une partie des assaillants s’est perdue dans le dédale des petites routes.

Du côté du maquis, 60 hommes seulement sont armés.

http://www.chateaubriant.org/540-Livre-Ceux-des-Maquis-Teillay

 

 

Menhir de Coisbrac (Nozay)  cultes anciens et christianisation

 

 

Guide Gallimard 1992 :

p 48 Histoire de la Bretagne (La Préhistoire)

Entre 3000 et 1800 av. J.C., la chasse et la cueillette cèdent la place à l’agriculture et à l’élevage. La civilisation mégalithique apparaît.

Ses populations, organisées à l’abri de camps fortifiés, donnent naissance à l’art des pierres levées, qui s’accompagne d’un extraordinaire culte des morts.

De très nombreux menhirs, dont certains pèsent 100 tonnes, des cairns qui peuvent atteindre 70 m de longueur et des dolmens constitués de dalles de 20 t, sont érigés sur l’ensemble de la région.

La fin de cette période se traduit par une ouverture sur le monde, le long de la vallée de la Loire ou par la mer.

 

Bretagne Loire-Atlantique 1999 :

p163

Qu’il s’agisse du menhir de Coisbrac, des traces laissées par l’industrie minière, d’une forteresse gauloise, de sépultures ou de bijoux, nombreux sont les indices témoignant d’une très ancienne occupation humaine sur le site de Nozay.

 

Vue Est du Menhir

Ce beau menhir de quartz blanc mesurant 2m80 de hauteur se dresse au milieu de la lande sur un promontoire de schiste contourné par le ruisseau de la Villatte.

Classé monument historique, il témoigne de l’occupation du site par l’homme dès la période néolithique.

Cependant, comme celui de la Drouetterie à Vay, ce menhir se trouve dans un secteur où le mégalithisme est plus diffus par rapport au littoral et au pourtour de la Brière

 

Plus diffus par rapport au littoral ou au pourtour de la Brière, les menhirs présents dans la région témoignent d’une occupation humaine dès le Néolithique.

Tourisme-nozay.fr

 

Le Néolithique («âge de la pierre nouvelle») se caractérise surtout par un changement économique radical, la chasse et la cueillette cèdent la place à l’agriculture et à l’élevage, et la civilisation mégalithique apparaît.

Loire-atlantique.fr

 

En témoigne ce gros bloc de de 2m80, classé Monument Historique, dressé au milieu de la lande sur un promontoire de schiste.

De quelle roche était fait le menhir de Coisbrac (schiste, granit, quartz, ou grès) ?

 

Les dolmens sont des sépultures collectives

Les menhirs (pierres dressées) sont plus énigmatiques car leur environnement est rarement fouillé : isolés, ils sont interprétés comme des bornes repères ou des monuments commémoratifs

Ces puissantes constructions ont nécessité une population nombreuse, fortement hiérarchisée et organisée, la connaissance des matériaux et la maîtrise de la manipulation des charges lourdes.

Loire-atlantique.fr

 

Elles témoignent d'une vie spirituelle très développée, dans laquelle les pierres dressées, mêlées au monde des vivants, pouvaient jouer un rôle important.

 

Avec des conditions climatiques plus favorables, des agriculteurs et des éleveurs rompent, peu à peu, l’équilibre entre les chasseurs et leur territoire, en déboisant pour créer des pâturages et des champs.

Loire-atlantique.fr

 

 

Ses populations, organisées à l’abri de camps fortifiés, donnent naissance à l’art des pierres levées, qui s’accompagne d’un extraordinaire culte des morts.

http://gebete29.wordpress.com/2011/03/18/histoire-de-la-bretagne-prehistoire/

 

 

 

Ces puissantes constructions ont nécessité une population nombreuse, fortement hiérarchisée et organisée, la connaissance des matériaux et la maîtrise de la manipulation des charges lourdes

http://www.loire-atlantique.fr/jcms/cg_19202/du-neolithique-au-chalcolithique

 

 

 

 

Fontaine St Pierre  (Nozay)                                  cultes anciens et christianisation

 

Les fontaines Les fontaines étaient souvent à l’origine de l’installation des premières communautés (St Pierre à Nozay, St Clair à Puceul). Certaines d’entre elles avaient des vertus curatives : l’eau de St Germain à Vay était réputée pour guérir fièvres et maladies de peau, celle de St Clair à Puceul les maladies des yeux.

Tourisme-nozay.fr

BL 1999 : p163        La première communauté chrétienne serait due à la présence d’un ermite. Quoiqu’il en soit, la localité existe en 1076 et est citée dans le cartulaire de St Florent.

la fontaine Saint-Pierre. C'est près de cette fontaine qu'au VIème siècle un ermite est venu évangéliser Nozay. Elle est surmontée par une statue de Saint Pierre aux Liens du XIXème, patron de la paroisse de Nozay. Au 1er août, les mamans venaient y baigner leurs petits enfants et l'on adressait des prières à Saint Pierre ;

infobretagne.com

 

Le lavoir attenant, tout en schiste, est alimenté par la fontaine Chaque quartier avait son ou ses lavoirs, et une quinzaine de lavandières étaient continuellement employées à Nozay. Le linge était apporté dans un baluchon, une cuvette ou une brouette avec du bois qui servait à faire bouillir l'eau dans de grandes chaudières posées sur des petits murets. Le linge était plongé dans l'eau bouillante et était lavé au savon de Marseille. Lorsque certains lavoirs étaient vidés, les enfants se précipitaient au fond pour ramasser les pièces de monnaie tombées des poches lors des lavages.

Nozay44

 

La fontaine Saint Pierre existerait depuis le VIIIe siècle, quand un ermite est venu évangéliser Nozay. Elle est surmontée par une statue de Saint Pierre-aux-liens du XIXe siècle, patron de la paroisse de Nozay. Le linteau en anse de panier est orné de fines sculptures . La tradition rapporte que les années de sécheresse, on venait de très loin pour puiser de l’eau à cette fontaine. La fontaine Saint Joseph, située sur l’île au milieu de l’étang, daterait du XVIe siècle.

Nozay44

 

On attribua donc souvent des pouvoirs de guérison à ces fontaines. Ce qui explique que les sources qui apportent mystérieusement le liquide salvateur ont été sacralisées dès les époques les plus anciennes. Avec le christianisme, les fontaines se parent de statues de saints et de croix. A Nozay, la fontaine Saint Pierre, près du vieux bourg a été à l'origine de la création de la ville au VIème siècle. Le lavoir attenant témoigne de l'animation continue de ce lieu jusqu'au milieu du XXème siècle.. 

Nozay-44

 

Histoire de la fontaine St Pierre Les fontaines étaient souvent à l’origine de l’installation des premières communautés (St Pierre à Nozay, St Clair à Puceul).

Les eaux de certaines de ces fontaines avaient des vertus curatives (celles de St Clair à Puceul étaient réputées soigner les maladies des Yeux)

C’est près de la fontaine St pierre à Nozay qu’un ermite est venu au 6ème siècle évangéliser Nozay.

La source est aujourd’hui enfermée dans une tourelle fermée par une porte de bois en ogive.

L’ensemble est surmonté d’une statue du 19ème siècle représentant le saint patron de la commune de Nozay : St Pierre aux liens.

Un lavoir proche est alimenté par cette fontaine.

Le 1er Août, les mamans venaient à cette fontaine baigner leurs petits enfants, et l’on adressait des prières à St Pierre.

Fontainesdefrance.info

 

Christianisée au 7ème siècle par un ermite, la fontaine St Pierre alimentait en eau le dernier lavoir de Nozay.

Jardin public à proximité.  Aire de jeux pour enfants

Tourisme-nozay.fr

 

Les Bretons arrivent d’Angleterre accompagnés de moines, certainement plus pour leurs besoins que dans une volonté de diffusion de leur religion. Mais, ils durent sans conteste participer à l’évangélisation sur place. En effet, si le christianisme fait son apparition au IIIè siècle et est prêché dès lors, les paysans y résistent en grande majorité jusqu’au VIè siècle. On date d’ailleurs à peu près de ce moment l’évangélisation de Nozay.

Un ermite à Nozay ! D’après la tradition orale, un ermite venu des bords de la Loire se serait installé à cette période près d’une source pour prêcher les évangiles. Une première communauté chrétienne se forme aux abords de la fontaine qui est placée sous la protection de Saint Pierre-aux-Liens. Par la suite, une chapelle aurait été fondée à l’abri des zones marécageuses. Nous sommes là face à l’origine de l’enclos du Vieux Bourg

Asphan.fr

 

C'est au VIème siècle qu'un ermite se serait fixé sur le territoire de Nozay, auprès de la fontaine Saint-Pierre, afin d'évangéliser le pays.

Lafrancedesclochers

 

la chapelle Saint-Germain (XIII-XVème siècle), située au boulevard Saint-Germain

L'eau de la fontaine avait jadis la réputation de guérir les enfants des coliques, des fièvres et des maladies de la peau.

site infobretagne.com

 

 

 

Fontaine St Clair (Puceul)                                  cultes anciens et christianisation

 

Les fontaines Les fontaines étaient souvent à l’origine de l’installation des premières communautés (St Pierre à Nozay, St Clair à Puceul). Certaines d’entre elles avaient des vertus curatives : l’eau de St Germain à Vay était réputée pour guérir fièvres et maladies de peau, celle de St Clair à Puceul les maladies des yeux.

Tourisme-nozay.fr

 

Située au Sud de Nozay, la commune Puceul se situe en Loire-Atlantique et se rattache à la communauté de commune de la région de Nozay. Historiquement, l’origine du nom provient du latin puteus qui signifierait le petit puits. Ce nom est une référence à la fontaine Saint-Clair présente dans la commune qui aurait des vertus de guérison (notamment pour les maladies des yeux).

Pulceo.com

 

Les fontaines étaient souvent à l’origine de l’installation des premières communautés (St Pierre à Nozay, St Clair à Puceul). Les eaux de certaines de ces fontaines avaient des vertus curatives (celles de St Clairà Puceul étaient réputées soigner les maladies des Yeux)

Fontainesdefrance.info

 

Fontaines SAINT CLAIR Puceul

Christianisée par le 1er évêque de Nantes au 1er siècle (?), l’eau de la fontaine St Clair est réputée pour guérir les maladies des yeux

 Panneau d’interprétation  Jardin de plantes aromatiques  

Sentier de randonnée Tourisme-nozay.fr

 

Histoire de la fontaine St Clair

Puceul serait la traduction de petit puits en latin. La paroisse existe dès le 12ème siècle, et se serait constituée près d’une source renommée. Au 1er siècle ( ?) , l’ancien culte druidique est christianisé sous le vocable de St Clair, 1er évêque de Nantes.

En venant boire à la fontaine, il aurait laissé, au cœur de la pierre, l’empreinte du sabot de son cheval.

 

La fontaine st clair que l’on peut voir aujourd’hui date du 19ème siècle, elle est située à la Bourdinière.

Dans le jardin d’herbes médicinales, proches de la source sacrée, on retrouve la mémoire des plantes de légende et l’énergie des cultes anciens.

 

Les processions persistent jusque dans les années 1980, on vient s’y laver les yeux et le visage, on y amène aussi les enfants qui présentent un retard à marcher. A l’automne, une semaine après la St Clair, a lieu la bénédiction des semences de blé.

Pour l’assomption, le 15 août et à l’occasion des communions solennelles, la statue de la vierge est portée en procession : les villageois partent de l’église St Martin précédés des croix et des bannières. Avant le retour à l’église, le prêtre prononce son homélie du haut du monticule surplombant la fontaine. Aujourd’hui, les processions ont disparu. Toutefois certains souhaitent renouer avec la tradition et offrent une fleur à la fontaine.

Fontainesdefrance.info

 

Puceul vient du latin "Puteus" (le puits).

La paroisse de Puceul existe dès le XIIème siècle. Elle se serait constituée près d'une source renommée (la fontaine saint Clair) où saint Clair, premier évêque de Nantes, se serait arrêté pour faire boire son cheval et une pierre aurait longtemps gardé la marque d'un sabot.

Patrimoine la fontaine Saint-Clair (XIXème siècle), située à La Bourdinière ;

Infobretagne.fr

 

Puceul, traduction de petit puits en latin, s’est constitué autour d’une source renommée : La Fontaine Saint-Clair dont les eaux étaient réputées pour soigner les maladies des yeux.

cc-nozay.fr

 

Au 3ème siècle, Nantes est christianisée et son premier évêque, Saint Clair participe activement à la conversion de toute l'Armorique.

http://www.guide-site-touristique.com/nantes.php

 

 

Christianisée vers le IIIe siècle, la source est le lieu d’une légende. St Clair, le premier évêque de Nantes, s’y serait arrêté pour faire boire son cheval. Une pierre aurait longtemps gardé la trace de son sabot. Son eau est réputée pour guérir certaines maladies des yeux.

La fontaine actuelle n’est construite qu’au XIXe siècle avec, dressée sur un monticule de pierre, une statue de pierre blanche surplombant une autre statue, plus petite. Toutes deux représentent St Clair.

Flohic 1999.

 

Au 3ème siècle, Nantes est christianisée et son premier évêque, Saint Clair participe activement à la conversion de toute l'Armorique. Ce n'est cependant qu'après la reconnaissance du christianisme par Constantin que cessent les persécutions et qu'un premier édifice religieux est construit.

http://www.guide-site-touristique.com/nantes.php

 

SAINT-CLAIR est regardé comme le premier évêque de Nantes.

On croit qu'il vivait vers l'an 280, sous l'empereur Probus, et qu'il mourut à Reguini, dans le diocèse de Vannes.

http://www.infobretagne.com/nantes-eveques.htm

 

 

Liste des évêques du diocèse de Nantes

•vers 280 : saint Clair, premier évêque de Nantes

http://fr.mobile.wikipedia.org/wiki/Liste_des_%C3%A9v%C3%AAques_de_Nantes

 

 

Le premier évêque de Nantes, St Clair, arriva de Rome au IIIè siècle avec, dit-on, un clou de la croix de St Pierre. Cette précieuse relique fut vraisemblablement abritée à cette époque dans un oratoire, que St Clair aurait alors dédiée à St Pierre et à St Paul. Il ne s'agissait pas alors d'une cathédrale au sens propre.

La première véritable cathédrale date du VIè siècle. Sa construction fut entreprise par l'évêque Evhémérus II autour du premier édifice de St Clair, puis achevée (et somptueusement décorée par son successeur St Félix (540-582), qui la consacra.

http://nantescathedrale.free.fr/historique.htm

 

 

disciple de saint Pierre et premier apôtre de Bretagne ou, selon le martyrologe romain, au IVe siècle...

"Le diocèse de Nantes fut fondé par Saint Clair, premier évêque de Nantes au IIIe siècle arrivé par la Loire, qui joua un rôle important dans l'évangélisation de la Haute-Bretagne." (Une histoire riche - Eglise catholique en Loire Atlantique)

A Nantes, au IVe siècle, saint Clair, vénéré comme le premier évêque de la cité.

http://nominis.cef.fr/contenus/saint/9939/Saint-Clair.html

 

 

Mgr Richard a remis en lumière, dans ses notices sur les Saints de l'Eglise de Nantes, l'éphéméride que le Grand Chantre de la cathédrale notait, à l'Ordinaire de 1263, sous la date du 10 octobre : « Fête du bienheureux Clair, évêque et confesseur. Ce saint fut le premier évêque de l'Eglise de Nantes, qui, envoyé par le Pontife romain à cette même Eglise, apporta avec lui le clou que saint Pierre avait à la main droite durant son martyre, et que nous avons en grande vénération ».

Voilà, à peu de choses près, tout ce que nous savons sur saint Clair. Les anciens bréviaires manuscrits, échos d'une tradition constante, ajoutent qu'après avoir établi son siége à Nantes, bâti en l'honneur des Apôtres saint Pierre et saint Paul un oratoire dont la cathédrale actuelle occupe l'emplacement et déposé dans cet oratoire le clou qui perça la main du pécheur de Galilée, saint Clair, accompagné de son diacre Déodat, évangélisa les contrées qui sont devenues depuis les diocèses de Vannes et de Rennes.

 

Mais l'inexactitude de certaines dates et de quelques détails n'en laisse pas moins subsister la certitude que saint Clair a semé les vérités évangéliques dans toute la haute Bretagne. L'Eglise de Vannes est aussi affirmative sur ce point que celle de Nantes. Non seulement Réguiny (commune du canton de Rohan, entre Pontivy et Josselin) montre le tombeau et la fontaine de saint Clair ; le village de Kerbellec (mot à mot : la maison du prêtre) est encore indiqué comme le lieu où il résida, et les paroisses des environs, dédiées aux Apôtres Pierre et Paul, comme la cathédrale de Nantes et l'église de Réguiny, s'honorent de devoir leur fondation au même missionnaire.  …

N. Aurélien de Courson, qui ne parait pas avoir étudié, au moins à fond, la biographie de saint Clair et l'époque de sa mission, a donné, du tombeau de notre évêque, cette description sommaire : « Le tombeau de saint Clair, l'apôtre du pays nantais, se voit dans une petite chapelle, dite de saint Clair, près de l'église paroissiale de Réguiny (dans le cimetière)..... Sa statue, en costume d'évêque, avec la mitre et la crosse, est couchée sur une pierre plate supportée par quatre petits piliers polygonaux, qui reposent sur un socle peu élevé ».  … (Robert Oheix - 1876)

http://www.infobretagne.com/eveque-saint-clair.htm

 

 

La tradition veut que saint Clair, premier évêque de Nantes, meure à Réguiny le 10 octobre 96. L'église placée sous son vocable contient son tombeau, et ses reliques sont vénérées par les fidèles. Le tombeau de saint Clair se compose d'une pierre plate, supportée par quatre petits piliers polygonaux qui reposent sur un socle en pierre peu élevé. Cette pierre est ornée d'un bas-relief représentant le saint en costume d'évêque avec la mitre et la crosse.

Tombeau de saint Clair Adresse : Église Saint-Clair, Reguiny, France Classement Classé MH : 1925

http://fr.topic-topos.com/tombeau-de-saint-clair-reguiny

 

Le village de Réguiny appartient à l'arrondissement de Pontivy et au canton de Rohan.

 

 

Menhir de la Drouetterie (Vay)                 cultes anciens et christianisation

 

Bretagne Loire-Atlantique 1999 : p166

Placé sur la route de l’étain, le site de Vay est occupé par l’homme dès la période néolithique ainsi qu’en témoigne la présence du menhir de la Pierre qui tourne, autrement appelé grain de sable de Gargantua, sur le terrain de la commune.

 

Egalement appelé menhir de la pierre qui tourne, ce mégalithe semble marquer un ancien lieu de rassemblement, peut-être de culte.

Comme d’autres menhirs, celui-ci est récupéré par le clergé catholique, qui le christianise en plantant une croix à son sommet. Celle-ci a aujourd’hui disparu.

Vers l’an mille, après les invasions franques et les incursions des Normands, un hameau s’établit à proximité, à Bourruen, alors appelé Botruen ( signifiant tertre rouge en Breton) et marquant l’implantation des Bretons.

Pour accéder au menhir, suivre la direction de la Grigonnais et tourner à gauche lorsque la pancarte l’indique.

Flohic 1999

 

Haut de 2,70 m, monument classé (en 1928), d’origine néolithique (donc datant de plus de 4.000 ans). Une croix plantée sur son sommet lui donne une vocation religieuse.

Site officiel de Vay (vay.fr)

 

Le menhir de la Drouetterie, aussi appelé « menhir de la pierre qui tourne » datant du Néolithique est un monument historique classé depuis le 5 novembre 1928. Il est situé dans un bosquet au sud de la commune sur la route de La Grigonnais.

Il était autrefois nommé « le grain de sable de Gargantua »

Wikipedia

 

Ce terme a été construit à partir du breton maen, « pierre », et hir, « longue ».

Wikipedia.org (menhir en loire-atlantique)

 

Un menhir est une pierre dressée, plantée verticalement.

Il constitue l'une des formes caractéristique du mégalithisme en Europe au Néolithique jusqu'à la fin du Chalcolithique. La plupart ont été érigés en Europe entre 4500 et 2500 ans avant notre ère.

La culture populaire a souvent associé les menhirs aux Celtes, la vérité étant tout autre puisque les menhirs existaient plusieurs milliers d'années avant l'arrivée des Celtes en Europe. Wikipedia.org

 

 

Menhir veut dire en breton ” pierre longue “. Men/maen = pierre, et hir = long.

  Alorthographe.unblog.fr

 

 

A l'inverse des dolmens, les menhirs demeurent des monuments mégalithiques dont la signification profonde n'est pas identifiée.

La plupart des préhistoriens s'accordent pour leur reconnaître une fonction cultuelle.

Les menhirs sont de longues pierres dressées, de hauteur variable, allant de quelques centimètres à 20 mètres.

Nicole.rolin.pagesperso-orange.fr

 

 

Le Grand menhir brisé d'Er Grah, ou Men ar hroëc'h qui signifie « Pierre de la Fée » en Breton, situé sur le territoire de la commune de Locmariaquer, dans le Morbihan, est un menhir de dimensions exceptionnelles, le plus grand d'Europe : 18,5 m de hauteur lorsqu'il était dressé, 3 m de largeur, masse estimée à 280 t.

Le Grand menhir brisé d'Er Grah, à Locmariaquer (Morbihan), le plus grand du monde, érigé vers le milieu du Ve millénaire av. J.‑C.

Ce menhir, dont l'érection remonterait au milieu du Ve millénaire av. J.‑C. est aujourd’hui à terre et brisé en quatre morceaux,

wikipedia.org

 

 

 

Environnement, Sites Naturels

 

Châtaignier des Nonneries  (Abbaretz)                     Observation de la Nature

 

Loire Atlantique 1998 :

D’Abbaretz à la Meilleraye-de-Bretagne, la route est directe. Un châtaignier millénaire à mi-chemin.

 

Siloë 2002 :

p 173

Sur la D2 châtaignier des Nonneries : Classé neuvième parmi les plus vieux arbres de France.

Reste un tronc (imposant) incendié par la foudre en 1985. Classé par la Direction régionale de l’environnement.

 

Bretagne Loire-Atlantique 1999 :

p165

Le terroir d’Abbaretz serait-il propice aux records? On pourrait le croire à voir l’un des arbres qui y a poussé.

Il s’agit d’un châtaignier de plus de neuf mètres de circonférence, classé neuvième arbre remarquable de France.

Une ronde de douze enfants est nécessaire pour en faire le tour.

 

 

Le Châtaignier des Nonneries à Abbaretz en Loire-Atlantique est un arbre millénaire, classé neuvième plus vieil arbre de France sur la liste des Arbres Remarquables inscrits au Patrimoine Français.

 

Cet arbre est un châtaignier de plus de 1000 ans.

Sa hauteur est de 20 mètres.

Sa circonférence est de 8 mètres à 1 mètre du sol et de 10,60 mètres au maximum.

Sa particularité est le marcotage naturel, rare et exceptionnel, qui s'est produit. Cinq branches ont atteint le sol à 7 et 8 mètres de distance du tronc, elles ont pris racine et ont formé cinq arbres importants, dont deux mesurent 3 mètres de circonférence à 1,50 mètre du sol. 

Site classé   06/09/1933

L'arbre principal est mort suite à un incendie le 31 juillet 1985 mais des travaux de sauvegarde et de conservation ont été réalisés en Mai 1995 : tiges métalliques à l'intérieur du tronc creux et chevilles de bois dans l'écorce. Quatre arbres issus du marcotage sont également morts, un d'eux a dû être coupé en 2003. L'autre arbre issu du marcotage est toujours vivant et productif.

Aujourd'hui, un espace accueil avec tables de pique-nique y a été créé.

Chataignier_abbaretz.monsite-orange.fr

 

Site classé   06/09/1933

Ecologie.gouv.fr

 

Ce châtaignier millénaire offre un exemple rare de marcottage naturel : certaines de ses branches, fortement recourbées se sont enracinées en prenant contact avec le sol et ont ainsi donné naissance à de nouveaux arbres, véritable colonie implantée tout autour du sujet d’origine.

Tourisme-nozay.fr

 

Le Châtaignier des Nonneries à Abbaretz est un arbre millénaire (classé 9ème plus vieux arbre de France) qui était d'une hauteur de 20 mètres et de plus de 8 mètres de circonférences à 1 mètre du sol. Jadis sa frondaison couvrait près de 1 500 mètres carrés.

Pays-chateaubriant.fr

 

En Loire-Atlantique, 3 arbres ont d’ores et déjà été labellisés “ Arbres Remarquables” en octobre 2000 : le châtaignier des Nonneries à Abbaretz et celui de l’Eraudière à Nantes, et le chêne Louis XIII de Corcoué-sur-Logne.

Caue44.com (arbres remarquables en Loire-Atlantique)

 

 

 

Etang de Bout de Bois  (Saffré)  Observation de la Nature

 

Guide Pratique Accueil Loisirs 2008

p 18 (Etangs) Site de Bout de Bois (Saffré) .        

Lieu de détente, de loisirs, de découverte de la faune et de la flore. Canal de Nantes à Brest .

 

Pêche (cliquez ici pour plus d’informations sur la pêche )                        

Tables de pique-nique (à l’ombre et au soleil)

 Sentier de randonnée (cliquez ici pour plus d’informations sur la randonnée)  Parcours de santé                        Jeux pour enfants                        Zone ornithologique

 Site de Bout de Bois, site affilié à la Fédération départementale de pêche

Tourisme-nozay.fr

 

La pêche en fête à Saffré ! Publireportage publié le lundi 15 juin 2009

Début juin à l’occasion de la journée nationale de la pêche, la fédération de pêche de la Loire-Atlantique organisait la seconde édition de la fête départementale de la pêche sur l’étang de Bout de Bois à Saffré.

L’occasion de découvrir la pêche en eau douce sous toutes ses formes et d’inciter les visiteurs à pratiquer ce loisir. Plusieurs animations étaient programmées : pêche sur simulateur, démonstrations de pêche à la mouche, à la carpe, au coup, au carnassier, lâcher de truites, etc.

Une cinquantaine de bénévoles étaient présents pour accompagner les néophytes en initiation de pêche.

Cette manifestation a également été l’occasion de communiquer sur les missions de la Fédération qui représente les 24 000 pêcheurs en eau douce du département et qui œuvre pour la protection des rivières de Loire-Atlantique. Prochaine édition en 2010….”

Pulceo.com

 

Base de Loisirs de Bout de Bois > 44390 SAFFRE

> Location de canoë, barque, buvette, minigolf (juillet / août). > Parking, toilettes, aire de pique-nique avec barbecue, jeux pour enfants

> Base d’observation ornithologique >

Sentiers de randonnée

cc-nozay.fr

 

"ETANG DE BOUT-DE-BOIS" Année de 1ère description : 1989  Année de mise à jour : 2003  Année de validation MNHN : 2006 

Altitude : 20 - 0 m Surface déclarée : 36 ha

Etang artificiel situé sur le cours d'une petite rivière, avec ses ceintures de végétations constituées de roselières et de cariçaies bordées de prairies humides inondables. Intéressantes végétations aquatiques et amphibies, avec notamment certaines plantes d'intérêt patrimonial.

Ecologie.gouv.fr

(Pays de la Loire)

 

Lundi 30 mai 2011 à 13:48 par Manuel Rodriguez

Pour la quatrième année consécutive, la fédération départementale organise la fête de la Pêche autour du grand étang de Bout de Bois. Une journée, de portée nationale, entièrement dédiée à ce loisir nature qui séduit plus de 30 000 adhérents en Loire-Atlantique chaque année.

Près d’une centaine de bénévoles des associations de pêche du département seront ainsi mobilisés pour satisfaire la foule des curieux à travers un nombre varié d’animations ludiques. La prise en charge du public se fera canne en main tout au long de cette journée, entrecoupée de temps forts (prise de grosses carpes, démonstrations de pêche à l’électricité, démonstrations de débardage-débusquage par traction animale…). Les tout-petits pourront prendre leur premier poisson dès deux ans, encadrés par leurs aînés.

Leclaireurdechateaubriant.fr

 

L’étang de Bout de Bois (256 000 m3) complète le dispositif hydraulique et alimente en début de saison le bief de partage.

Valderdre.fr

 

SAFFRE - Site de Bout de Bois Lieu de détente, de loisirs, de découverte de la faune et de la flore (cabane d'observation ornithologique, panneaux d'informations). Canal de Brest à Nantes.

Aupaysdechateaubriant.com

 

Le site de Bout de Bois situé, sur la commune de Saffré le long du canal de Nantes à Brest est un endroit plaisant oú les promeneurs sont nombreux les dimanches ensoleillés. Des aires de pique-niques ont été aménagées ainsi que des espaces de jeux pour les enfants et une petite plage.

Bzh.44.free.fr

 

Ce site, aménagé aux abords du canal de Nantes à Brest, offre de nombreuses activités de loisirs : pêche, promenades, baignade, mini-golf, parcours de santé, aires de pique-nique. Espace éminemment écologique, il propose également des réserves botanique et ornithologique, une frayère et une hutte d’observation de la faune aquatique.

Escapades.loireatlantique.fr

(15mai2011)

 

La Loire-Atlantique compte 29198 adhérents pêcheurs en 2010 ce qui la positionne dans les 5 premiers départements français en nombre de pêcheurs .

Federationdepeche44.fr

 

 

 

Etang de Gruellau (Treffieux)                  Observation de la Nature

 

Guide Pratique Accueil Loisirs 2008

p 18 (Etangs) Site de Gruellau (Treffieux) .

Espace naturel constitué d’un plan d’eau de 30 hectares et de 35 hectares de bois et prairies. Pêche . Aire de Pique-nique .

Accueil de juin à septembre dans le cadre du dispositif Espaces Naturels du Conseil Général .

 

Siloë 2002 :

p 175

Etang de Gruellau : Berges de pins et de landes. Un observatoire permet de faire connaissance avec les oiseaux.

 

Espace naturel constitué d'un plan d'eau de 30 hectares et de 35 hectares de bois et de prairies.

Aire de nidification, abri pour l'observation des oiseaux, parcours sportif, sentier de randonnées, pêche…

Gralon.net

 

Espace naturel constitué d'un plan d'eau de 30 hectares et de 35 hectares de bois et de prairies.

Aire de nidification, abri pour l'observation des oiseaux, parcours sportif, sentier de randonnées, pêche…

Creafrance.org

 

Le site de Gruellau se situe sur la commune de Treffieux.

 

C’est un espace naturel de 65 hectares comprenant un plan d’eau de 30 hectares et 35 hectares d’éléments boisés et de prairies. C’est une vaste zone humide présentant une intéressante variété de milieux, ainsi qu’une diversité floristique et faunistique.

Le site de Gruellau présente un intérêt patrimonial et écologique : Intérêt floristique  :

végétation riche et diversifiée comprenant diverses espèces végétales d’intérêt patrimonial telle que l’Osmonde royale ou le Piment royal.

 Intérêt faunistique :

faune riche et diversifiée comprenant diverses espèces animales d’intérêt patrimonial telle que la Cordulie bronzée.

  Intérêt avifaunistique :

 site d’intérêt départemental pour l’avifaune aquatique au cours de l’hiver et lors des transits migratoires. 86 espèces d’oiseaux sont dénombrées dans l’inventaire ZNIEFF (Zone Naturelle d’Intérêt Ecologique Floristique et Faunistique).

 

Depuis 1984, l’association Les Amis de Gruellau assure la gestion, la protection et la valorisation du site de Gruellau.

 Elle œuvre sur le territoire du pays de la Mée pour l’éducation à l’environnement vers un développement durable.

La commune de Treffieux est propriétaire du site depuis 1982. L’association Les Amis de Gruellau propose des animations nature durant la période estivale à destination du grand public :

En bref, le site de Gruellau, c’est :  Un espace naturel  Des observatoires à oiseaux

 Une aire naturelle de Camping Une zone de Pêche  Un sentier pédestre/équestre  Un parcours Santé

 Des aires de Pique-Nique  Une aire de jeux pour enfants  Une buvette  Une halle polyvalente

Treffieux.fr

 

ZNIEFF 520006628 - ETANG DE GRUELLAU Etang artificiel ancien peu profond bordé de boisements divers et de landes humides, présentant d'intéressantes formations végétales, avec certaines plantes d'intérêt patrimonial.

Intéressante diversité faunistique et avifaunistique en particulier avec divers oiseaux nicheurs peu communs.

 Site de stationnement d'intérêt départemental pour les oiseaux d'eau au cours des transits migratoire et durant l'hiver

. L'intérêt ornithologique du site a considérablement régressé depuis les aménagements divers qui ont été entrepris et la fréquentation humaine, cause de dérangement pour l'avifaune.

Inpn.mnhn.fr

(zones / znieff)

 

Les cordulies sont des libellules de coloration vert-métallique dont l'identification est parfois délicate

Les taches jaune-orangé présentes sur la base de ses ailes, la forme en massue de son abdomen et la couleur bronze de l'extrémité de celui-ci ainsi que l'absence de marques sur le dessus de l'abdomen permettent néanmoins d'identifier à distance le mâle cordulie bronzée (Cordulia aenea).

http://odonates22.chez-alice.fr/anisopteres/cordulie_bronzee/cordulie_bronzee.html

 

 

La Cordulie bronzée est un insecte de l’ordre des Odonates,du sous ordre des Anisoptères,et de la famille des Corduliidés. Elle se reconnaît à son thorax vert métallique brillant et pourvu de petits poils clairs. Son abdomen est de couleur bronze foncé. Ses ailes sont safranées à la base. Ses yeux sont verts.

Taille : de 47 à 55 mm.

http://biodiversite.ville-larochesuryon.fr/biodiversite/pdf/cordulie_bronzee.pdf

 

 

 

 

 Etang de Clégreuc  (Vay)                            Observation de la Nature

 

Guide Pratique accueil Loisirs 2008

p18 (Etangs) Etang de Clégreuc (Vay) .

Ce superbe étang en bordure de la Forêt du Gâvre est une réserve ornithologique de grande qualité . 20 ha . Zone naturelle sensible.

Propriété du Conseil Général (Tél : 02 51 82 02 97) . Accueil de juin à septembre .

 

Bretagne Loire-Atlantique 1999 :

p166

Vay est aujourd’hui, du fait de la présence de l’étang de Clégreuc, devenu réserve de la faune et de la flore, une étape obligée des amateurs de tourisme vert.

 

La faune

L'étang offre un spectacle permanent aux promeneurs et aux amateurs de belle nature. Il abrite une avifaune très diversifiée. On peut y apercevoir la quasi-totalité des espèces de Loire-Atlantique, dont certaines, rarement observables, comme le Butor étoilé !

Loire-atlantique.fr

(espaces naturels départementaux)

 

Une des 150 espèces d'oiseaux présentes dans cet écosystème

Nantes.maville.com

 

Étang et ses ceintures aquatiques et marécageuses,bordé de prairies humides et de zones boisées diverses.

 Intérêt floristique :Végétation riche et diversifiée comprenant diverses espèces végétales d'intérêt patrimonial.

Intérêt avifaunistique : Site d'intérêt départemental pour l'avifaune aquatique au cours de l'hiver et lors des transits migratoires.

Nidification de divers oiseaux intéressants typiques des zones humides. (ardeidés, anatidés, rallidés, rapaces, passereaux paludicoles...).

Inpn.mnhn.fr

(zone / znieff)

 

La propriété départementale autour de l'étang de Clégreuc couvre une superficie d'environ 102 ha.

Elle comprend différents types de milieux naturels (étang, ceinture aquatique et marécageuse, prairies humides, zones boisées humides et inondables,¿) particulièrement favorable à l'hivernage et à la reproduction de nombreux oiseaux, ainsi qu'un ancien moulin à eau, un four à pain, un puits et un système de pêcheries lié à l'étang

Source CG44

Paysdechateaubriant.fr

 

L’étang de Clégreuc situé sur la commune de Vay

Du point de vue ornithologique : l’étang le plus riche du département.

De nombreuses espèces de canards vont trouver ici nourriture et tranquillité : Canard colvert, Fuligule milouin, Fuligule morillon, Canard souchet, Canard pilet, Sarcelle d’été et Sarcelle d’hiver.

Les Ardéidés (hérons) sont sans-doute la famille la plus remarquablement représentée sur le site : le héron cendré s’y reproduit tous les ans, l’Aigrette garzette y est commune alors que le très rare Butor étoilé est observée tous les hivers.

La grande Aigrette, encore très rare il y a quelques années, est présente régulièrement et le Héron Garde-boeuf y a été observée durant toute la belle saison en 2004. Même le crabier chevelu a été vu sur cet étang.

Les rapaces ne sont pas en reste avec la reproduction du Busard des roseaux et la présence régulière du Milan noir comme de la Bondrée apivore.

Enfin le Balbuzard pêcheur passe chaque année sur l’étang en mars comme en septembre.

Bien-sûr les fauvettes paludicoles (des marais) sont présentes également mais aussi les oiseaux des bois et de prairies humides.

L’étang est propriété du Conseil Général de Loire-Atlantique depuis 1994

Ohlaloireatlantique.com

 

 

Dénombrement des oiseaux d’eau hivernant en Loire-Atlantique (janvier 2011-2010-2009) lpo.fr Etang de Clégreuc 2011 2010 2009

loire-atlantique.lpo.fr/docs%20telechargeable/WI%202010.pdf

 

 

 

 

Etang communal  (Abbaretz)                  Pêche, Promenade

 

La Gaule Abbaroise  Marcel LERAY Le clos Robert - 44170 ABBARETZ Tourisme Pêche dans l'étang communal       

cc-nozay.fr

 

ETANG PUBLIC    Près de la salle polyvalente      L'avis du Petit futé : Carte de pêche à la journée à retirer sur place.  

Petitfute.com

 

La pêche au pays de la pierre bleue.

Guide pratique 2002 p 6, 7

Abbaretz : Etang d’Abbaretz. Société de pêche : « la Gaule Abbaroise » (président : Clément Perrinel)

Caractéristiques : 0,8 hectares Profondeur : 1,80m Site non affilié à l’Association Agréée pour la Pêche et le Milieu Aquatique.

Il existe des cartes de pêche indépendamment des sites affiliés (Entente Halieutique du Grand Ouest)

Carte en vente au Café des Sports, Café du Centre et à l’Auberge du Manoir à Abbaretz.

Tarifs des cartes de pêche A l’année pour les résidents : 13 euros A la journée : 4 euros.

Période d’ouverture du site : Ouvert toute l’année pour le poisson blanc à partir du 1er janvier et ouverture pour le carnassier à partir du 20 mai (sauf en période d’alevinage).

Type de poissons : Gardons, anguilles, tanches, brochets, perches, black-bass.

Les carpes « amour blanc » doivent  être remises à l’eau pour des raisons écologiques.

Accès : Dans le bourg, garez-vous sur le parking de la salle polyvalente. Suivez le panneau « sentier de la mine », à droite de la salle polyvalente. L’étang se trouve à quelques pas sur votre gauche. Aménagement : bancs, 3 tables de pique-nique.  L’étang de la mine, à proximité du site n’est pas un étang de pêche.

 

La carpe amour (ou amour blanc) est originaire du fleuve Amour en Chine. Elle a été introduite en France pour lutter contre les plantes aquatiques envahissantes (myriophylles, éludée, spirogyres, potamot...). Son solide appétit offre une solution écologique à l'envahissement des plans d'eau par les végétaux.

Ces poissons ne se reproduisent pas naturellement mais ont une croissance très rapide.

La carpe amour ne peut se reproduire que dans son milieu naturel. De ce fait en Europe, nous pouvons mieux contrôler son développement.

La carpe amour à une croissance 2 fois supérieure à la carpe commune.

Dans un milieu aquatique favorable, sa taille peut atteindre 1,50 m et peut peser jusqu'à 50 kg.

http://www.pisciculture-cardon.com/carpeHerbivore.htm

 

 

Ctenopharyngodon idella est un cyprinidé originaire des grands fleuves de Chine, et plus particulièrement du fleuve Amour qui lui a donné son nom. Dans son milieu d'origine la carpe Amour peut atteindre un poids de 50 kg. Ce poisson fut introduit en URSS dans les années 50, puis dans d'autres pays de l'Est et l'Europe, ainsi qu'aux états-Unis.

Le corps allongé, en forme de fuseau, de section circulaire est couvert de grandes écailles, de couleur gris à brun-vert sur le dos le ventre est blanc. Elle ressemble d'assez près au chevesne ou au mulet. 

Exclusivement herbivores, elles se nourrissent de la plupart des végétaux aquatiques supérieurs

En été, elles supportent des températures aussi élevées que 35°C et s'accommodent de très faibles taux d'oxygène dissous. Il existe une relation étroite entre la température de l'eau et l'appétit : Leur rôle de faucardeur est très efficace à des températures de 24 à 26°C, qui sont couramment atteintes à partir de la mi-juin et jusqu'à la fin septembre dans la plupart de nos plans d'eau. Elles peuvent absorber 80 % de leur poids par jour à des températures de 18 ou 20°C, et plus de 130% de leur poids au dessus de 24°C.

Les carpes herbivores fraient pendant la période des pluies d'été, dans des eaux chaudes (25 à 30° C), turbides, rapides et oxygénées. Ces conditions ne sont pas remplies en Europe et actuellement les alevins disponibles ne proviennent que d'écloseries piscicoles. La croissance est très rapide, mais intimement liée à la température : de 50 à 100 g à 1 été, il peut atteindre 500 g à 1000 g à la fin du 2 été. 

http://www.carpio-fr.com/PRODUITS/Carpes-Herbivores.htm

 

 

 

 

Etang de la Rinais (Puceul)                       Pêche, Promenade

 

VISITER et DECOUVRIR / 2008 / en Région de DERVAL et NOZAY 

SITES de PLEINE NATURE & RANDONNEES        ETANGS

PUCEUL                   Étang de la Rinais          Étang des Prés Flippes          Étang du Sauzay

Tourisme-derval.fr

 

Autres étangs           PUCEUL

Etang de la Rinais  Sentier de randonnée                 Pêche             tables de pique-nique (au soleil)

Etang des Prés Flippes   Pêche Etang du Sauzay  Pêche

 

Aires de pique-nique  sur PUCEUL  Ancienne carrière du Sauzais (en bordure de la RD 121 Nort-sur-Erdre-Nozay) (à l’ombre)

 Bois de la Savinais (à l’ombre)

 Etang de la Rinais (à l’ombre)

Tourisme-nozay.fr

 

La pêche au pays de la pierre bleue.

Guide pratique 2002 p14, 15

Puceul. Etang de la Rinais

Société de pêche : Association de Pêche Communale Puceuloise (Président : Alain Grimaud)

Caractéristiques : 1,20 hectare

Site non affilié à l’Association Agréée pour la Pêche et le Milieu Aquatique.

Il existe des cartes de pêche indépendamment des sites affiliés (Entente Halieutique du Grand Ouest)

La carte de pêche pour les sites non affiliés : Elle a une validité d’1 an ou d’1 jour.

Le prix et le type de carte diffèrent en fonction des sites de pêche. Carte en vente au café « Chez Tonton » à Puceul.

 Tarifs : Carte à l’année : 15 euros Carte à la journée (tout public) : 3 euros.

Site ouvert de février à décembre. Types de poissons : Brochets, sandres, gardons.

Accès : Dans le bourg de Puceul, prenez la direction de Nozay. Au calvaire (à 50 m), tournez à gauche. L’étang est à 100 m sur la gauche.

Aménagements : Parking, toilettes, tables de pique-nique.

 

Le sandre doré européen (Sander lucioperca), communément appelé sandre, est une espèce de poisson carnassier appartenant au genre des sanders, qui vit en eau douce mais peut s'adapter aux eaux saumâtres, et dont la taille peut dépasser les 100 cm.

Le nom vient de l'allemand Zahn, qui signidie dent, en référence à ses deux paires de canines proéminentes.

Les adultes mangent surtout d'autres poissons, mais contrairement au brochet ils doivent se limiter à ceux de petite taille : leur gueule est large, mais leur gosier étroit. Leurs proies favorites sont des ablettes, goujons, petits gardons de deux ou trois ans, ainsi que des écrevisses.

Certains le croient originaire uniquement du bassin du Danube ou du lac Balaton en Hongrie ; en réalité son aire de répartition d'origine (avant les introductions humaines) s'étendait de la rivière Elbe en Allemagne jusqu'au pied des monts de l'Oural.

Cette espèce a été introduite dans de nombreuses régions d'Europe, parfois au détriment d'espèces autochtones.

Le sandre aime les grands cours d'eau aux flots lents et aux fonds de sable ou de graviers, ainsi que les eaux calmes des lacs, étangs et réservoirs - à condition que le fond ne soit pas boueux et qu'ils soient d'une profondeur suffisante.

Poisson de fond, il aime avoir plusieurs mètres d'eau au-dessus de lui. Son excellente vision le rend efficace en faible luminosité. Il n'en est pas pour autant un chasseur nocturne, comme certains le pensaient, même s'il lui arrive de chasser pendant la nuit - surtout en été

Le sandre est un poisson de choix pour les pêcheurs sportifs. Il se pêche au ver, au vif et aux leurres. Du fait de la raréfaction du brochet, il devient un carnassier de plus en plus recherché. Les techniques de pêche du sandre peuvent être équivalentes à celles employées pour le brochet. Il mord aux poissons morts, aux vifs ou aux leurres souples animés par le pêcheur

http://fr.wikipedia.org/wiki/Sandre

 

 

Prédateur non autochtone en France, le sandre a colonisé en l'espace de 40 ans la quasi totalité de nos eaux de seconde catégorie, à l'exception de certains grands lacs, étangs et fleuves côtiers où il n'a pas été introduit. Si cette colonisation a été aussi rapide c'est parce que dans bien des cas elle a été largement favorisée par l'homme.

Il faut dire qu'en dépit de sa combativité plutôt médiocre, le sandre a des qualités indéniables : croissance rapide, fertilité importante, chair très savoureuse, et il s'accommode bien des eaux eutrophisées (1), due à un enrichissement excessif et artificiel en matières organiques, phosphates, nitrates, etc  dans les limites du raisonnable. Il est en mesure de repeupler des plans d'eau où le brochet est en situation précaire par manque de frayères (2) adaptées.

Règlementation : le sandre est soumis à une taille légale de 40 cm dans la plupart des eaux de 2ème catégorie, mais il y a des exceptions car certains départements n'ont pas de taille légale du tout.