Etang de la Courbetière (St Aubin des Châteaux) Observation de la Nature
L’étang de la Courbetière
est un site qui illustre parfaitement comment il est possible d’associer la préservation d’un étang sauvage et la fréquentation du public ainsi que la pratique de la pêche. La moitié de l’étang est
très aménagé et chacun peut accéder au bord sans végétation et l’autre moitiè inaccessible et en pente douce permet le développement de paysages agréables et d’une faune et d’une
flore exceptionnelle. Les oiseaux peuvent s’y dissimuler pour faire leur nid, les libellules abondent, les amphibiens s’y développent à l’abri des prédateurs et égaient l’étang de leurs chants alors
que de nombreuses végétations différentes s’égrainent au fil des différents niveaux d’humidité de la pente, allant des orchidées aux carex en passant les préhistoriques prèles.
Guide sorties nature 2010 www.pays-chateaubriant.fr
DÉNOMBREMENTS DES OISEAUX DES ZONES HUMIDES HIVERNANT EN LOIRE-ATLANTIQUE - JANVIER 2011
Synthèse
et illustrations : François DIEMERT, Martine MAILLARD & Sébastien REEBER Résumé :
Un total de près de 280 307 oiseaux d’eau a été dénombré en Loire-Atlantique à la mi-janvier
2011, dans le cadre de l’enquête annuelle de WETLANDS INTERNATIONAL. Cet effectif est le plus important jamais décompté. Le contexte climatique en est évidemment la première raison.
Une vague de froid intense
a sévi en décembre dernier sur l’Europe du nord, jusque dans le nord et l’est de la France.
La Loire-Atlantique a été plus épargnée et a accueilli nombre d’oiseaux chassés par le froid.
Sont copiés à suivre les chiffres du dénombrement de la colonne de la Courbetière sur la page 32 « étangs du nord » (voir photocopie) Comparaison Mi Janvier 2011, mi janvier 2010, mi
janvier 2009.
Canard siffleur (3 en 2011, 2 en 2009), canard chipeau (5 en 2011), Sarcelle d’hiver (39 en 2011, 25 en 2010, 31 en 2009), canard colvert (25 en 2011, 30 en 2010, 32 en 2009), canard souchet (3 en 2011, 12 en 2009), Fuligule milouin
(15 en 2011, 6 en 2009), Fuligule morillon (6 en 2011),
Grèbe huppé (3 en 2010, 3 en 2009), Grèbe castagneux (1 en 2009)
Héron cendré (1 en 2011, 3 en 2009), Grande aigrette (1 en 2009)
Poule d’eau
(1 en 2011), Foulque macroule (41 en 2011, 50 en 2010, 100 en 2009), Bécassine des marais (150 en 2011, 100 en 2010, 34 en 2009),
Mouette rieuse (2 en 2011, 17 en 2010, 3 en 2009)
http://loire-atlantique.lpo.fr/docs%20telechargeable/Rapport_wetlands2011.pdf
la pêche en Loire-Atlantique 2010 GUIDE PRATIQUE Plans d'eau dont les AAPPMA assurent la gestion halieutique
Gardon d’Herbe castelbriantais (nom de la société de pêche) La Courbetière
8 ha Châteaubriant Bateau interdit
http://www.powercarp.com/nuit/gp44.pdf
Zones Naturelles d'Intérêt Ecologique, Floristique et Faunistique de
Type 1 (2ème génération)
"ETANG DE LA COURBETIERE" Altitude : 70 - 73 m Surface déclarée : 45 ha
Etang en voie d'atterrissement bordé de zones marécageuses (cariçaies, saulaies, roselières)
,de prairies et de landes humides. Intérêt floristique: Intéressante végétations de prairies et de landes humides abritant une flore rare, dont plusieurs espèces végétales protégées sur le
plan régional. Intérêt avifaunistique:Cet étang accueille une avifaune nicheuse intéressante dont deux oiseaux rares et localisés dans notre département. Il joue d'autre part un rôle complémentaire
en relation avec les autres étangs de la région pour l'accueil de l'avifaune aquatique migratrice et hivernante. Intérêt entomologique: Présence d'un lépidoptère peu commun dans la région des Pays de la
Loire. Site de la DREAL Direction Régionale de l’Environnement de l’Aménagement et du Logement
http://www.donnees.pays-de-la-loire.developpement-durable.gouv.fr/fiche.php3?type=10&id_regional=00001062
L’étang de la Courbetière à Saint Aubin des Châteaux
Situé juste à la sortie de Châteaubriant, à cheval sur les communes de Saint Aubin les Châteaux et
Châteaubriant, cet étang est visible de la route de Saint-Nazaire.
Etant dans sa moitié ouest, aménagé pour la promenade et la pêche et resté très sauvage dans sa moitié est, il constitue
un formidable exemple de cohabitation entre nature sauvage et activités humaines.
Ses rives en pente extrêmement douces et ses niveaux d’eau importants en hiver, en font un site botanique exceptionnel, très pédagogique
quant à l’influence de l’humidité sur les végétaux.
Etangs Vivants en Pays de Châteaubriant
L’Orchis laxiflora Les différents niveaux d’eau, au
fil des saisons, favorisent une flore exceptionnelle.
Un bonheur pour les botanistes. En avril vous pourrez ainsi observer l’Orchidée à fleurs lâches, caractéristique des prairies humides.
Mais attention fragile,
ne pas cueillir bien-sûr.
Le Grèbe huppé Le grèbe huppé n’est pas un canard. Il a les pattes plus en arrière pour mieux naviguer, ce qui l’handicape sur la terre ferme. C’est pourquoi vous l’observerez
toujours sur l’eau. Ce qu’il ne faut absolument pas manquer, aux premiers jours du printemps, ce sont les parades nuptiales avec danses et offrandes puis la promenade des poussins sur le dos des parents.
Le Fuligule milouin Le fuligule milouin
a disparu de nombreux étangs où il ne peut plus nicher faute de tranquillité et d’une suffisante végétation en périphérie. Mais l’étang de la Courbetière possède encore des parties
sauvages où ce très joli canard plongeur peut dissimuler son nid.
La Bécassine des marais Petite et discrète, la Bécassine des marais que l’on ne repère souvent que lorsqu’elle s’envole, trove
ici les prairies détrempées et tranquilles. http://www.cdt44.com/images/stories/pdf/profitez_des_atouts/loire_bocagere/EtangsPaysChateaubriant_A_Boureau.pdf
Parc du Plessis (St Aubin des Châteaux) Observation de la Nature
Voir aussi Château
du Plessis p 43
Un architecte paysagiste offre des visites guidées du parc du Château du Plessis à St Aubin des Châteaux. Sur réservation. Tél. 02 40 28 40 05.
Guide Siloë 2002.
Le Petit-Futé
2009-2010 Loire-Atlantique p123 Le Parc du Plessis Compter 5€ pour l’accès
au site
Les jardins qui se visitent entourent des bâtiments classés des XVIIe et XVIIIe siècles.
A côté des jardins, les potagers et tout autour une jolie ceinture de bois. Un but de promenade fort apprécié
où l’on peut pratiquer le croquet.
Si l’on ne veut pas marcher, des poneys sont disponibles sur réservation (3€)
Le Parc du Plessis ouvre ses portes plusieurs dimanches dans l'année : découvrez
l'harmonie de la nature, le charme des jardins et l'histoire des lieux en suivant la visite guidée par Jean-Pierre Prime (architecte-paysagiste et créateur des jardins).
A voir : jardin à l'anglaise, jardin à la française,
potager, bois, roseraie, terrasses des jonquilles, bâtiments datant des XVè et XVIIè siècles
http://www.jardinez.com/Parcs-et-jardins-Parc-du-Plessis_Saint-Aubin-des-Chateaux_Loire-Atlantique_Pays-de-la-Loire-France_fr_14505.html#
Le Parc du Plessis ouvre régulièrement ses portes au public tout au long de l'année. Vous êtes invités à découvrir le site par le biais d'une visite guidée par Jean-Pierre
Prime, architecte-paysagiste et propriétaire du Plessis : jardin à l'anglaise, jardin à la française, potager, bois, terrasses des jonquilles, bâtiments historiques datant du XVe au XVIIIe siècle...
http://www.familiscope.fr/fiche-parc-du-plessis.htm
Le parc du Plessis, c'est… 12 hectares de jardins et bois, incluant : • Un jardin à l’anglaise • Un jardin à la française • Quatre terrains de croquet • Un potager •
Un théâtre de verdure • Une roseraie • Un verger • Des terrasses de jonquilles • Un bois de 6 hectares
Les lieux sont rachetés en 1988 par Jean-Pierre Prime. Il s’attache depuis à retrouver les traces
des aménagements antérieurs en terrasses qu’il restitue tout en respectant l’environnement, le site et son histoire.
site internet : http://www.parcduplessis.fr
Visite guidée des jardins à la Française et à l'Anglaise, du potager, du théâtre de verdure... au milieu d'un parc boisé en bordure de rivière.
http://www.aupaysdechateaubriant.com/Activites/ST-AUBIN-DES-CHATEAUX-Le-Parc-du-Plessis-activites
Le Parc du Plessis ouvre ses portes plusieurs dimanches dans l'année : découvrez l'harmonie de la nature, le charme des jardins et l'histoire des lieux en suivant la visite guidée par Jean-Pierre Prime (architecte-paysagiste
et créateur des jardins).
A voir : jardin à l'anglaise, jardin à la française, potager, bois, roseraie, terrasses des jonquilles, bâtiments classés Monuments Historiques et datant des XVè et
XVIIè siècles
http://www.annuaire-weekend.com/parc-du-plessis-a-saint-aubin-des-chateaux-44110-week-end-insolite-et--s579.html
Les visiteurs sont invités à découvrir l'histoire du site et la signification des jardins à travers une visite du parc, guidée par Jean-Pierre PRIME, architecte-paysagiste et créateur
des jardins du Plessis. Amoureux de la nature, des jardins et de l'Histoire seront totalement captivés et charmés par le calme et la beauté sauvage du site. Plusieurs activités sont aussi proposées pour petits et grands avec
: promenades à poney pour les enfants, attelage à travers la campagne aubinoise, initiation au jeu de croquet, repas champêtre et goûter sur place
Eléments végétaux : Arbres remarquables, Fleurs annuelles,
Arbres remarquables: Cèdres de l'Atlas
Fleurs annuelles: Jonquilles et dahlias Végétaux très variés, et changeant au fil des saisons. Jardin à l'anglaise avec un espace modelé par les végétaux.
Jardin à la française caractérisé par sa symétrie. Potager-fleuri avec légumes de saison. Roseraie avec une large variété de roses : délicates ou plus sauvages…
http://www.parcsetjardins.fr/pays_de_la_loire/loire_atlantique/parc_du_plessis-1255.html
Bâtiments des XVII et XVIIIème siècle avec leurs jardins en terrasses (jardin à la française, potager...) au milieu d'un parc boisé. Visites guidées par un architecte paysagiste
(dates sur demande),
http://www.gralon.net/tourisme/sports-et-loisirs/info-parc-du-plessis-saint-aubin-des-chateaux-3342.htm
Le Parc du Plessis s'étend sur plus de 12 hectares de jardins et bois . Plusieurs jardins, structurés en terrasses, autour de bâtiments datant du XVè au XVIIè siècle, sont visitables : jardin à
l'anglaise, jardin à la française, potager, roseraie, bois en bordure de rivière, terrasses des jonquilles et théâtre de verdure.
http://www.loire.visite.org/FR/visite-parc-du-plessis-croquet-club-_8413.html
Végétaux très variés, et changeant au fil des saisons. Jardin à l'anglaise avec un espace modelé par les végétaux. Jardin à la française caractérisé
par sa symétrie. Potager-fleuri avec légumes de saison. Roseraie avec une large variété de roses : délicates ou plus sauvages…
http://www.parcsetjardins.fr/pays_de_la_loire/loire_atlantique/parc_du_plessis-1255.html
Etang de la Blisière (Soudan) Observation de la Nature
A la lisière nord de la forêt
de Juigné, l’étang de la Blisière, plan d’eau artificiel de soixante hectares, aménagé en 1677 pour alimenter en énergie un haut fourneau à fer, est aujourd’hui un site de loisirs nautiques.
Guide Siloë 2002 p169
La Blisière : Plan d’eau (environ 60 hectares), activités nautiques (barque, canoë, planche à voile) (location de pédalos l’été)
Pays de Châteaubriant
1990 .
p342 Au sud (de la forêt de Juigné), l’étang de la Blisière est un plan d’eau artificiel qui a été aménagé en 1677 afin d’alimenter en énergie un haut-fourneau
à fer. Cet établissement a été fondé en 1672 par René Saget, fondateur et propriétaire des forges de Martigné-Ferchaud.
En contrebas de la digue subsistent les vestiges du Haut-fourneau, qui a
été béni le 1er octobre 1678 et a fermé en 1749.
Autour de l’étang, la faune et la flore sont remarquables.
p346 - L’apparition de la technique de la métallurgie en deux temps, venue de la
Principauté de Liège, comprenait, après la production de fonte dans le haut-fourneau, l’affinage de la fonte dans la forge hydraulique pour donner du fer. Cette technique a permis un essor considérable de la métallurgie
au bois.
Dans cette région, c’est au XVIe siècle que les grands établissements métallurgiques, employant la force hydraulique, voient le jour, opérant une véritable concentration industrielle : la Hunaudière
vers 1630, Moisdon en 1668 et la Blisière en 1678. Ces usines sont la propriété de grandes familles (les maîtres de forges). La Blisière, dépendant de la baronnie de Châteaubriant, fait exception : elle appartient
à René Saget, également maître de forges de Martigné-Ferchaud.
P 332 Durant tout le Moyen-âge, l’industrie métallurgique, née à l’époque celtique, prospère dans les
milieux forestiers.
Mais c’est au XVIIe siècle, avec l’adoption de la technique des hauts fourneaux, que naissent les grandes forges : la Hunaudière (1630), Moisdon (1668), la Blisière (1678).
Guide Gallimard
1992
ZNIEFF 520006619 - ETANGS DE LA BLISIERE ET DU HAUT-BREIL ET LEURS ABORDS
Année de description: 1984 Année de mise à jour: 2003 Année de validation nationale: 2010 Superficie (ha): base:
331 hectares
Commentaires généraux
Ensemble formé de deux principaux étangs (la Blisière et le Haut Breil) avec ceintures de végétations périphériques (grèves à litorelles,
roselières, cariçaies, zones tourbeuses, landes, etc) et d'une zone forestière attenante.
Intérêt floristique : Ces deux étangs abritent une flore particulièrement intéressante, dont plusieurs espèces
végétales rares, certaines protégées sur le plan régional ou national. Belles étendues de chênaies-hêtraies aux abords des étangs abritant une flore originale.
Intérêt avifaunistique
: L'étang de la Blisière est principalement utilisé comme site d'accueil pour l'avifaune hivernante de la région en relation avec les autres étangs du secteur (étang de Tressé, du Fourneau, etc)
Commentaires
sur la délimitation
Le périmêtre de la zone enlobe deux étangs et une zone forestière adjacente abritant des habitats présentant un intérêt sur le plan floristique et faunistique.
http://inpn.mnhn.fr/zone/znieff/520006619
Juigné-des-Moutiers (330 hab., 2 465 ha dont 1 494 de bois) est un petit village très près de la limite départementale; son finage englobe la grande forêt de Juigné; l'étang de
la Blisière, ancien site de forges à l'orée septentrionale (65 ha), est partagé avec Soudan
Trésorsdesrégions.mgm.fr
L’étang de la Blisière à Juigné les
Moutiers
Seul étang privé cité ici, il est toutefois libre d’accès.
Ses particularités sont d’être un étang en milieu forestier et de posséder une grande partie de
son
rivage encore inaccessible.
www.cdt44.com/...des.../EtangsPaysChateaubriant_A_Boureau.pdf
Aux confins de l'Anjou et de la Bretagne,
Juigné-Les-Moutiers est presque totalement recouverte par la forêt. Au sud, l'étang de la Blisière, plan d'eau artificiel, a été aménagé en 1677. Ce dernier alimentait en énergie un haut fourneau
de fer. Ses vestiges de ce dernier subsistent d'ailleurs en contre bas de la digue. Les balades autour de l'étang s'annoncent douces et sereines et promettent de belles surprises.
Loire-atlantique.fr
22 espèce(s) déterminante(s)
recensée(s) dans cette ZNIEFF.
Insectes » Odonates » Brachytron pratense (Aeschne printanière) Orthetrum coerulescens (Orthétrum
bleuissant)
Insectes » Odonates » Erythromma najas (Agrion à yeux rouges) Erythromma viridulum (Agrion vert)
Lestes sponsa (Leste fiancé)
Reptiles » Vipera berus (Vipèra péliade)
Ptéridophytes » Filicinophytes
(fougères) » Pilularia globulifera (Pilulaire globuleuse)
Angiospermes » Monocotylédones » Neottia nidus-avis (Néottie nid-d'oiseau)
Alisma ranunculoides (Flûteau fausse-renoncule) Potamogeton perfoliatus
(Potamot perfolié)
Convallaria majalis (Muguet) Calamagrostis canescens (Calamagrostis à feuilles lancéolées)
Najas marina (Grande naïade)
Dicotylédones » Dicotylédones »
Asperula odorata (Gaillet odorant) Drosera intermedia (Rossolis intermédiaire)
Elatine hexandra (Elatine à six étamines) Genista anglica (Genêt d'Angleterre)
Galium odoratum (Gaillet odorant) Pulicaria vulgaris (Pulicaire
vulgaire) Salix repens (Saule rampant)
Trapa natans (Châtaigne-d'eau) Ranunculus lingua (Grande douve).
33 autre(s) espèce(s) recensée(s) dans cette ZNIEFF. Dont :
Oiseaux » Circus aeruginosus (Busard des
roseaux) Anser anser (Oie cendrée) Anas crecca (Sarcelle d'hiver)
Anas platyrhynchos Anas clypeata (Canard souchet) Anas acuta (Canard pilet) Anas penelope (Canard siffleur)
Aythya ferina (Fuligule milouin) Pandion haliaetus (Balbuzard
pêcheur) Vanellus vanellus (Vanneau huppé)
Melanitta nigra (Macreuse noire) Aythya fuligula (Fuligule morillon) Mergus merganser Acrocephalus scirpaceus
Egretta alba (Grande aigrette)
Zones Naturelles d'Intérêt
Ecologique, Floristique et Faunistique de Type 1 (2ème génération) Liste d'espèces
DREAL Pays de la Loire
www.donnees.pays-de-la-loire.developpement-durable.gouv.fr/com…
Etang de Choisel (Châteaubriant) Pêche, Promenade
PARC DE CHOISEL
Situé
à quelques pas du centre-ville, le Parc Municipal de Choisel constitue un espace de rencontres et de détente où règnent tranquillité et sérénité.
Enfants, adultes ou personnes âgées,
pêcheurs, joggers du dimanche ou sportifs confirmés, chacun trouve dans cet espace de loisirs un lieu privilégié de promenade, de divertissement ou d’entraînement. A pied, à vélo et Vtt ou encore sur roulettes,
les possibilités de balades sont en effet nombreuses et variées et permettent à tous les amoureux de la nature de s’aérer tout en profitant d’un cadre verdoyant et très arboré.
http://www.mairie-chateaubriant.fr/se-divertir/parc-de-choisel/
CHATEAUBRIANT - 4 étangs Etangs de Choisel, la Courbetière, du Chêne au Borgne. Pêche autorisée.
http://www.aupaysdechateaubriant.com/Randonnees/Idees-de-balades
25/06/07 Etang de choisel
Au nord de la ville, il y a trois étang. Voici le plus grand qui fait 1 km 5 de tour. Il est réservé pour la promenade et pour la pêche
Les poissons péchés
sont les carnassiers
http://chateaubriant-daily-photo.blogspot.fr/2007/06/etang-de-choisel.html
Concours de pêche à
l'étang de Choisel - Châteaubriant mercredi 09 mai 2012
Organisé par le GHC (Gardon d'herbe castelbriantais) le concours de pêche a réuni 100 à 110 participants ce mardi 8 mai.
http://www.ouest-france.fr/actu/actuLocale_-Concours-de-peche-a-l-etang-de-Choisel
CHOISEL Localité: Châteaubriant Superficie:6ha
Classement: 2ème c Cours d’eau voisin: Chère Date d’ouverture: Toute l‘année
Pêche au lancer: OUI Pêche
en barque: NON Pêche de nuit: OUI Poisson dominant: brochets, gardons, sandres, carpes
http://pecheur.auvergnat.free.fr/loire-atlantic.htm#CHOISEL
Ci-dessous, la liste des lots de pêches par AAPPMA. Pour connaitre en détail la localisation du site, il convient de contacter directement les AAPPMA.
Le Gardon d’Herbe Castelbriantais
Bassin versant de la Brutz Etang de
Rougé
Bassin versant de la Chère Etang de la Torche à Châteaubriant
Etang de Choisel à Châteaubriant
Etang de la Courbetière à Châteaubriant et Saint-Aubin-des-Châteaux
Etang du bas du Tertre à Saint-Aubin-des-Châteaux
Etang communal de Soudan
Plan d’eau du Chêne au Borgne à Châteaubriant
Bassin versant du Don Etang de la Touche d’Erbray à
http://www.federationpeche44.fr/spip.php?article149
La Loire-Atlantique propose des milieux variés pour la pratique de la pêche amateur
en eau douce : Fleuve, rivières, étangs, réseaux de canaux, de marais etc.
La pêche agréée est praticable sur de nombreux plans d’eau. La liste suivantes les énumères par secteurs en indiquant
la commune. Voir la carte des plans d’eau agréés.
Bassin versant du Don, de la Chère et de la Brutz Etang de Choisel
http://www.federationpeche44.fr/spip.php?article135
Liste des Associations Agréées de Pêche et de Protection du Milieu Aquatique (AAPPMA)
Lorsque vous prenez une carte de pêche chez un dépositaire (vendeur), vous adhérez automatiquement
à l’Association Agréée de Pêche et de Protection des Milieux Aquatiques dont dépend ce dépositaire. Le prix de la carte de pêche permet entre autre aux Associations de remplir leurs missions : surveillance
de la pêche, négociation et exploitation des droits de pêche au profit d’un grand nombre de pêcheurs, la gestion piscicole et le repeuplement ainsi que la protection des espèces et des milieux aquatiques (Les AAPPMA reçoivent
leur agrément par voie préfectorale).
Le Gardon d’herbe castelbriantais est l’une des 32 Associations Agréées de Pêche et de Protection du Milieu Aquatique (AAPPMA) de Loire-Atlantique (source : tableau
de la liste des AAPPMA).
http://www.federationpeche.fr/44/associations.php?
Le Bas du Tertre (St Aubin des Châteaux) Pêche, Promenade
Des hauteurs de St Aubin des Châteaux, la petite rivière dévoile ses atouts, fine et discrète, au creux d’une
vallée boisée. Née dans la forêt de Juigné, à l’est, elle traverse le département pour rejoindre l’estuaire de la Vilaine.
Guide
des éditions Siloë 2002.
DIREN Pays de Loire Atlas des zones inondables du Don, de la Chère et de l’Isac
La Chère prend sa source sur la commune de Soudan au Nord de la forêt de Juigné,
et parcourt 67 km avant de se jeter dans la Vilaine sur la commune de Pierric (à cote 3 mètres NGF). Sa pente moyenne est relativement faible (0.14 %) ce qui favorise un tracé en méandres accompagné d’un faible transport
solide. Guidé par les caractéristiques géologiques et morphotectoniques régionales, son bassin versant présente une forme allongée que l’on peut qualifier "de type peuplier " (c'est-à-dire étiré,
avec un réseau hydrographique secondaire de faible linéaire qui suit peu ou prou l’orientation du cours d’eau principal)
Parmi ces affluents, le ruisseau de l’Aron est le plus important (28 km), suivi des ruisseaux de
Néant et de Pas Guillaume (respectivement 12 et 13 km).
Par ordre chronologique on rencontre les formations suivantes. Terrains Primaires
Les terrains les plus anciens affleurent au Nord du bassin versant de le Chère,
il s’agit de grès et de conglomérats datant du Briovérien (Précambrien). Ces terrains protérozoïques ainsi que les schistes et grès attenant datant de l’Ordovicien appartiennent à l’unité
Centre-Armoricaine.
Le Sud du bassin versant se caractérise par la présence de roches cristallophylliennes. Les micaschistes et amphibolites sont le résultat du métamorphisme de roches sédimentaires et les orthogneiss
sont issus de roches granitiques. Ces formations cristallines d’âge paléozoïque reprises par un métamorphisme de haute pression chevauchent les unités peu métamorphisées précédemment décrites.
Hydrogéologie Sur les terrains du socle primaire, largement dominants sur l’ensemble des bassins versants, le ruissellement prédomine sur l’infiltration sur de faibles pas de temps. Au sein de ces roches dures qui ne présentent
pas de porosité d’interstice, l’eau ne circule qu’à la faveur de la fissuration et le long des grandes failles cisaillantes, c’est pourquoi on ne recense que très peu de réserves souterraines.
Conclusions
:
Les crues contemporaines (1995 et 2001) ont mobilisés des volumes tout à fait exceptionnels suite à des épisodes pluvieux à répétition. Ces évènements ne sont pas à l’origine
de débits extrêmes de part l’intensité des épisodes pluvieux, mais ont engendrés des durées de submersion très longue.
Cette analyse met en exergue l’importance de la saturation des sols préalables
dans la formation des grandes crues de ces cours d’eau.
Cette saturation des sols sera favorisée (cf paragraphe1.2.1) sur les deux bassins du Don et de la Chère par le substrat sous-jacent qui a plutôt tendance à être
imperméable. .
1.5 SYNTHESE
Le Don et la Chère, dont les débits centennaux dépassent les 200 m3/s, apportent une contribution non négligeable au débit de la Vilaine à Rieux. Les inondations semblent
plus fréquentes sur l’ensemble du Don et de la Chère, que sur l’Isac notamment à cause des aménagements du canal de Nantes à Brest.
Les crues du Don, de la Chère et de l’Isac sont des crues
lentes (temps de concentration supérieur à 12h), les eaux pouvant rester plusieurs jours (15 jours par exemple en 1995 sur le Don). Les vitesses atteintes dans les lits majeurs sont faibles (entre 0.10 et 0.25 m/s en général sur
la partie aval du Don, d’après la modélisation de la crue centennale), à l’exception des tronçons présentant une certaine étroitesse (exemple des gorges en amont de Guéméné-Penfao).
Les lits majeurs de ces trois rivières représentent des champs d’expansion qui sont tous actifs pour les grandes crues. L’absence de lit moyen les rend fonctionnels dès que le débit de plein bord est atteint
DIREN
Pays de Loire
Atlas des zones inondables du Don, de la Chère et de l’Isac
Ecrit le 28 mars 2007 : Le Syndicat de la Chère
Créé en 1977, le syndicat mixte regroupe 14 communes et une communauté
de communes, soit un ensemble de 18 communes sur les 25 que compte le bassin versant de la Chère qui ignore les frontières administratives : 1/4 des 225 km2 du bassin se situe en Ille et Vilaine et 3/4 en Loire Atlantique. Le bassin de la Chère
s’inscrit dans celui de la Vilaine qui recouvre 11000 km2.
L’aménagement hydraulique du bassin de la Chère relève de la compétence du Syndicat qui n’a pas vocation à intervenir sur l’assainissement
ni sur la distribution de l’eau potable. Au départ, l’action du Syndicat a porté principalement sur les cours d’eau, restaurant plus de 50 km de rivière depuis 1997 et initiant un projet de lutte contre les inondations
dans le secteur de Châteaubriant
Ecrit le 31 octobre 2007 Restauration et entretien de la Chère
La Chère est une rivière qui fonctionne mal. De nombreux obstacles empêchent les eaux de s’écouler
et de s’oxygéner : la rivière s’asphyxie et la vie piscicole s’appauvrit. Les terrains riverains ne jouent plus leur rôle de stockage des eaux pendant les crues et les marais ne remplissent plus leur fonction d’éponge,
rôle mal connu qui permet de retenir et d’épurer les eaux.
Pour y remédier, un Contrat Restauration Entretien a été signé le mardi 16 octobre entre le Syndicat Mixte pour l’Aménagement du Bassin
Versant de la Chère, l’Agence de l’Eau Loire-Bretagne et le Département d’Ille et Vilaine.
Il s’agit d’un programme d’actions pour la période 2007-2011 qui fait la suite du contrat 1999-2004 :
en plus d’intervenir sur les cours d’eau, il s’intéresse aussi aux étangs comme celui de la Hunaudière, aux marais comme ceux de Sainte-Anne sur Vilaine et aux nombreux ouvrages hydrauliques et seuils répartis
le long de la Chère
http://www.journal-la-mee.fr/19601-la-chere-origine-restauration#outil_sommaire_2
2.2 COMMENTAIRE
DES CARTOGRAPHIES 2.2.1 Bassin de la Chère
2.2.1.1 De la Source à Châteaubriant
La Chère prend sa source sur
la commune de Soudan, en amont de la Rivière-sous-Bois dans un paysage vallonné. Elle a dégagé une petite vallée ouverte, dont le fond plat se raccorde en pente douce aux versants. De quelques dizaines de mètres en
aval de sa source, la vallée s’ouvre progressivement pour atteindre une largeur moyenne de 150 m sur ce tronçon.
2.2.1.2 De Châteaubriant à St-Aubin-des-Châteaux
Châteaubriant est implanté sur
le cours de la Chère, à environ 12 km de la source. La ville constitue le principal enjeu du bassin versant et plus largement de la zone d’étude.
En amont, la plaine alluviale de la Chère, assez large, atteint près
de 300 m, notamment du fait d’un raccordement très progressif en rive gauche entre le lit majeur et le substrat pliocène. . En aval de la RD 178, le lit majeur présente un secteur particulièrement marécageux. En amont
de l’étang de la Torche, la vallée se resserre subitement (de 300 à 100m de large), . En aval du verrou engendré par l’affleurement d’un pointement rocheux en rive gauche, une large partie du centre ville de Châteaubriant
est construite dans la vallée de la Chère, au niveau de deux confluences : Dans la traversée du centre ville, la Chère possédait autrefois au moins deux bras qui se séparaient dès l’étang de la
Torche comme le montre le plan ci-dessous, pour dessiner plus en aval des sinuosités complexes A partir de la Rue Denieul et Gastineau, la Chère se scinde aujourd’hui en deux bras, sud et nord. Le bras sud rejoint le chenal du ruisseau
du Rollard, qui réemprunte l’ancien bras de la Chère. De Châteaubriant au Moulin Neuf où se dessine un verrou, la Chère s’écoule dans une large plaine régulière, inscrite entre des terrasses
avec lesquelles elle se raccorde progressivement. Entre le Moulin Neuf et St-Aubin-des-Châteaux, la vallée traverse un substrat hétérogène d’argilite, siltites et grès dont l’érosion fournit de vastes
couvertures de colluvions qui rendent les limites de la zone inondable particulièrement floues. Le hameau de Chère représente l’unique zone à enjeux exposée aux crues de la rivière.
2.2.1.3 De St-Aubin-des-Châteaux
à la Hunaudière
Au droit de Meudais, la vallée s’infléchit vers le sud-est, pour pénétrer sur un substrat différent, plus résistant, dans lequel elle va s’encaisser profondément.
La plaine alluviale étroite (environ 60 m) forme des petites « gorges » et peut donc connaître des hauteurs d’eau importantes. La partie aval de ses « gorges » est occupée en totalité par le lac du barrage
de la Hunaudière. Sur ce tronçon, la Chère reçoit son premier affluent important : le Néant. Il prend sa source au sud-ouest de Châteaubriant, dans l’Etang de la Courbetière, puis parcourt un petit vallon
très peu marqué dans le paysage, d’où un champ d’inondation assez large malgré la petitesse du bassin versant considéré. Ce n’est que quelques kilomètres avant la confluence que la vallée
s’encaisse, en traversant le substrat résistant dans lequel la Chère a creusé comme des « gorges » plus au nord.
2.2.1.4 De la Hunaudière à la Robinais
En aval de la Hunaudière s’amorce
un tronçon intermédiaire où la Chère s’écoule sur un substrat plus résistant au nord et plus tendre au sud. Progressivement le fond de vallée s’élargit. Au droit de la Robinais, la rivière
infléchit son cours vers le sud-ouest.
2.2.1.5 Du Robinais à la confluence de l’Aron
Ce tronçon assez court est caractérisé par une vallée parfois étroite, en liaison avec la traversée
de schistes et grès plus résistants au niveau de Mouais. La vallée s’encaisse de nouveau dans l’encaissant d’environ 40 m.
La confluence avec l’Aron marque la transition progressive vers le tronçon
aval de la Chère, où l’influence de la Vilaine commence à se faire sentir. La vallée s’ouvre très progressivement, sans jamais atteindre une largeur importante.
L’Aron est l’affluent le plus
important de la Chère. Long de 26 km, cet affluent s’inscrit dans un substrat homogène qui se traduit par la formation d’une petite vallée encaissée et bien individualisée dans un paysage vallonné.
2.2.1.6 De la confluence avec l’Aron à la confluence avec la Vilaine
A partir de la confluence avec l’Aron, la vallée de la Chère adopte une direction et une morphologie régulière.
Jusqu’à
Triguel, elle atteint environ 300 m de large. Grossie par les apports de l’Aron, puis du Pas Guillaume, la Chère devient plus dynamique, et les annexes hydrauliques se multiplient dans le lit majeur . . Ce secteur est caractérisé
par la faiblesse de la pente du lit mineur, et des problèmesd’évacuation des eaux.
Sur ce tronçon, la Chère reçoit son dernier gros affluent, le Pas Guillaume. Celui-ci prend naissance au sud de Derval, dans
un relief faiblement dénivelé : le vallon est peu incisé, et ses limites sont peu nettes jusqu’au hameau du Pas Guillaume où il traverse un filon géologique résistant (pélites silteuses ardoisières)
formant un verrou marqué. Au niveau de Pierric, cette traversée des pélites se traduit par un resserrement important en amont duquel la plaine s’élargit, d’autant que deux affluents viennent rejoindre le Pas Guillaume.
En aval de Pierric où l’on ne recense aucun enjeu particulier, le ruisseau poursuit son cours vers la Chère à travers un substrat couvert de lambeaux de terrasses. Sa vallée reste étroite, et peut être inondée
par des hauteurs d’eau non négligeables.
En aval de Triguel après un dernier resserrement de la vallée lié à un pointement rocheux, la plaine aval de la Chère s’ouvre. Sur ce tronçon aval,
des débordements sont possibles sur l’encaissant, si de trop grandes hauteurs d’eau affectent le lit majeur en liaison avec le contrôle aval exercé par la Vilaine. Les secteurs potentiellement concernés sont représentés
par le chevron bleu qui longe la limite de la plaine alluviale (cf aussi § 2.1.2.3)
Atlas des zones inondables du bassin versant des affluents de la VILAINE,
la Chère, le Don et l’Isac par la méthode hydrogéomorphologique
Maître d'ouvrage : DIREN Pays de la Loire/Préfecture de Pays de la Loire
La Chère et ses moulins Ecrit le 7 février
2007
Les moulins, créés autrefois pour fournir de l’énergie hydraulique, ne jouent plus ce rôle : ils servent actuellement d’étangs de loisir. De ce fait les vannes ne sont plus levées, les biefs
ne sont plus vidés, l’eau ne circule plus entre les barrages. Cela se voit très nettement quand on examine les poissons : actuellement, dans la Chère, ce sont des poissons d’étang et non plus des poissons de rivière
.
L’eau, en ne circulant plus, provoque des dysfonctionnements : uniformisation des cours d’eau, envasement. A l’étang de la Torche, par exemple, il peut y avoir un mètre de hauteur de vase. En aval de la ville, les vases
peuvent s’accumuler et comporter des phosphates et des métaux lourds (heureusement sans atteindre un seuil de toxicité) provenant des activités humaines.
L’envasement des étangs se remarque particulièrement
au « Bas du Tertre » à St Aubin-des-Châteaux où existe un barrage en béton avec une ouverture réduite et difficilement maniable. Et la vase s’accumule. A certaines périodes l’aspect visuel est
mauvais.
http://www.journal-la-mee.fr/19600-la-chere-et-ses-moulins
Entre 2005 et 2006, une étude diagnostic a été menée
sur la rivière la Chère, sur les deux principaux affluents : l’Aron et le Néguéry, les marais, les ouvrages hydrauliques, les seuils et les étangs du bassin versant.
Cette étude a permis de faire un état
des lieux et un diagnostic, de définir les enjeux et des objectifs et d’aboutir à la programmation d’un ensemble d’actions qui forment un plan de gestion équilibré et durable des cours d’eau et zones humides
du bassin versant
de la Chère : le Contrat Restauration Entretien 2007-2011
http://www.saintaubindeschateaux.a3w.fr/Donnees/Structures/40606/Upload/264042.pdf
La Chère est une rivière française qui prend sa source à proximité de Soudan (au nord-ouest de la forêt de Juigné en Loire-Atlantique) et qui se jette dans la Vilaine non loin de
Sainte-Anne-sur-Vilaine dans le département d' Ille-et-Vilaine, à la limite du département de la Loire-Atlantique.
Géographie
Après avoir effectué de nombreux méandres, la rivière adopte
une orientation ouest, direction qu'elle ne quitte plus tout au long de son parcours de 65,1 kilomètres1. Elle termine son parcours en se jetant dans la Vilaine sur le territoire de Sainte-Anne-sur-Vilaine.
Localités traversées[modifier]
La Chère traverse les communes de Soudan, Châteaubriant, Saint-Aubin-des-Châteaux, Sion-les-Mines, Mouais, Pierric, Derval, Grand-Fougeray et Sainte-Anne-sur-Vilaine.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Ch%C3%A8re
Plans d'eau dont les AAPPMA assurent la gestion halieutique
Étang du bas du Tertre 2 ha St-Aubin-des-Châteaux Bateau interdit. Ponton Handicapés
Châteaubriant Gardon d’herbe Castelbriantais
Adhérent à l'Union des Pêcheurs Nord 44
Le G.H.C. gère aussi la pêche sur 9 autres plans d’eau, le plan d’eau de la Courbetière avec ponton handicapés, de Choisel et le plan d’eau du château
à Châteaubriant, le plan d’eau du Chêne au Borgne, celui du Bas du Tertre à St-Aubin-des-Châteaux et les deux étangs de Soudan et l’étang des vallées à Rougé,
www.federationpeche44.fr
Etang du Chêne au borgne (Châteaubriant) Pêche, Promenade
ETANG DU CHENE AU BORGNE
Localité: Chateaubriant Superficie:14ha
Ci-dessous, la liste des lots de pêches par AAPPMA.
Le Gardon d’Herbe Castelbriantais
Bassin versant de la Chère Etang de la Torche à Châteaubriant
Etang de Choisel à Châteaubriant
Etang de la Courbetière à Châteaubriant et Saint-Aubin-des-Châteaux
Etang du bas du Tertre à Saint-Aubin-des-Châteaux Etang communal de Soudan Plan d’eau du Chêne au Borgne à Châteaubriant
http://www.federationpeche44.fr/spip.php?article149
La pêche agréée est praticable sur de nombreux plans d’eau. La liste suivantes
les énumères par secteurs en indiquant la commune. Voir la carte des plans d’eau agréés. Bassin versant du Don, de la Chère et de la Brutz Plan d’eau du Chêne au Borgne Chateaubriant
http://www.federationpeche44.fr/spip.php?article135
ETANG DU CHENE AU BORGNE Localité: Chateaubriant Superficie:14ha
Classement: 2ème c Court d’eau voisin:Chére Date d’ouverture: Toute l‘année Pêche au lancer:OUI Pêche
en barque:NON Pêche de nuit:OUI
Poisson dominant: brochets, gardons, sandres, carpes Nombre de cannes autorisées:4
http://pecheur.auvergnat.free.fr/loire-atlantic.htm#ETANG DU CHENE AU BORGNE
Dénombrement
des oiseaux d’eau hivernant en Loire-Atlantique (janvier 2011-2010-2009) lpo.fr Etang du Chêne au Borgne 2011 2010 2009
Canard siffleur (18) 0 0 Canard colvert (116) 95 106 Canard souchet (22) 18 4
Fuligule milouin (52) 0 24 Fuligule
morillon (19) 8 10 Total anatidés 227) 121 144
Grèbe huppé (9) 7 4 Total Grèbes (9) 7 4
Grande aigrette (1) 1 0 Héron cendré (3) 0 1 Total Hérons Aigrettes (4) 1 1
Poule d’eau (3)
2 0 Foulque macroule (55) 80 65 Total Rallidés (58) 82 65
Mouette rieuse (750) 0 260 Goéland brun (0) 0 1 Goéland cendré (1) 0 0 Total Laridés Sternidés (751) 0 261
Total (1049) 211 475
Nombre
d’espèces (13) 8 10 loire-atlantique.lpo.fr/docs%20telechargeable/WI%202010.pdf
Mais il y a encore bien d’autres étangs à découvrir sur le Pays de Châteaubriant et ils ne représentent
pas qu’un patrimoine faunistique.
L’histoire y est extrêmement présente comme à l’étang des Forges de la Hunaudière et même encore visible architecturalement aux Forges de Moisdon-la-Rivière,
où le patrimoine floristique est également exceptionnel. Citons encore les étangs de Gruellau ou du Chêne au Borgne., et bien d’autres encore.
Les étangs du Pays de Châteaubriant représentent
donc une richesse écologique qu’il est nécessaire de respecter mais ils sont aussi un patrimoine considérable aussi bien en termes d’histoire.
Etang du Chêne-au-Borgne à Châteaubriant
Aux portes
de Châteaubriant, l’étang du Chêne-au-Borgne accueille en hiver des grèbes et des canards.
Le Héron cendré, mais aussi l’aigrette garzette, viennent s’y nourrir pendant que le Bruant des roseaux
explore les saules.
http://www.loire-atlantique-tourisme.com/images/stories/pdf/profitez_des_atouts/loire_bocagere/EtangsPaysChateaubriant_A_Boureau.pdf
Etang de la Torche (Châteaubriant) Pêche, Promenade
Devant-nous
le grand donjon dresse son imposante masse cubique dont les murs, de quatre mètres d'épaisseur à la base, reposent, sans fondation, sur un rocher aplani et qui dominent les eaux de la Chère transformée, en cet endroit, en
étang de la Torche, vaste miroir où se reflète le château.
http://www.paysdechateaubriant.fr/Le-Chateau-de-Chateaubriant_a3698.html
Le château fort était idéalement protégé au nord par la Chère qui alimente un étang artificiel, la Torche, autrefois environné de terrains marécageux.
http://www.flickr.com/photos/chateaubriant/452616023/
La ville s'est construite dans une cuvette par laquelle passe la rivière, la Chère, dans laquelle se jettent le Rollard, le Choisel et le ruisseau du Pont Pirraud (limite nord-ouest).
http://fr.wikipedia.org/wiki/Ch%C3%A2teaubriant
Ci-dessous, la liste des lots de pêches par AAPPMA. Le Gardon d’Herbe Castelbriantais: Bassin versant de la Chère, Etang de la Torche à Châteaubriant (1,5 ha Châteaubriant Bateau interdit.),
Etang de Choisel à Châteaubriant, Etang de la Courbetière à Châteaubriant et Saint-Aubin-des-Châteaux.
http://www.federationpeche44.fr/spip.php?article149
carte de pêche. Elle matérialise votre adhésion à une Association Agréée pour la Pêche et la Protection du Milieu Aquatique (AAPPMA)
http://www.federationpeche44.fr/IMG/pdf/guide2013-fd44-bd.pdf
Là coule la Chère, blottie derrière les jardins des belles propriétés. 500 mètres plus loin, elle se jette dans l'étang de la Torche, près du château.
http://www.ouest-france.fr/actu/actuLocale_-Ils-veillent-sur-les-eaux-de-la-ville-souterraine
La visite du château permet de découvrir l’antique logis médiéval qui domine la ville et l’étang de la Torche
http://tourisme-chateaubriant.fr/chateaubriant.html
Autrefois, on arrivait à Châteaubriant par ce qui est maintenant la "Rue des Déportés Résistants" et la Rue de Rigale. (la Rue du Château n’existait pas) . Venant de Paris, la route
descend et fait un coude au niveau de l’étang du Château, ce qui présentait un grand danger pour les voyageurs. D’où la nécessité de placer, en entrée de ville, une torche pour signaler le danger.
D’où le nom : l’étang de la Torche.
La Torche, c’était à Châteaubriant, le symbole, la gloire de la Confrérie des Maitres Peigneurs de Laine Cette confrérie, créée en 1678,
et qui avait choisi St Blaise pour patron, portait une "torche" en procession, le jour de la Fête-Dieu., entre les années 1680-1730..
C’était un cierge colossal, "comme le Cèdre du Liban", sculpté sur quatre faces,
décoré à la base de franges d’or, d’étoffes de satin à fleurs, et de brocard., et abrité sous un dôme.
La Torche, de nos jours, n’est plus le cierge des peigneurs de laine, c’est
un paisible étang au pied du château et qui ne se fait menaçant que lorsque les eaux du ciel gonflent la rivière en amont.
Jusqu’en 1991, la ville n’était propriétaire que de la rive sud de l’étang
de la Torche (et donc de la moitié de la rivière). Désormais, grâce à l’amabilité des propriétaires, la ville a pu acquérir une bande de 5 m de large, sur l’autre rive (300 mètres de
long environ). Le nettoyage de la berge a été fait, une barrière rustique en croisillons de bois a été posée et les castelbriantais peuvent se promener sur cette rive nord et profiter d’un point de vue inconnu
sur le Château et sur la Chère.
http://www.chateaubriant.org/50-Histoire-de-La-Torche
La Chère prend sa source sur la commune
de Soudan et parcourt 66 km avant de se jeter dans la Vilaine au niveau des marais de Sainte-Anne-sur- Vilaine. La superficie de son bassin versant est de 450 km².
Les cours d’eau ont été progressivement transformés en
une succession d’étangs par la présence de petits barrages ou suite à l’arrêt de la manipulation des moulins à eau. Le bassin de la Chère présentant un sous-sol imperméable, il n’y a
pas de nappe souterraine. Ainsi, il existe naturellement de grandes variations de débit entre l’hiver et l’été. Plaquette : « le bassin de la Chère : mode d’emploi »
Journal-la-mee.fr
aménagement hydraulique nécessaire pour réguler les crues en amont de la Chère. Ce sont des travaux envisagés par le Syndicat d’Aménagement du Bassin Versant de la Chère
Comme cela s’était fait de façon empirique en 1997, il s’agit de mettre en place des sites représentant une capacité de stockage de 303 000 m3 d’eau (un m3 c’est 1000 litres), soit 303 millions de litres
d’eau. En même temps des aménagements sont envisagés à Châteaubriant .
1.- l’étang de la Torche serait aménagé (coût 300 000 F) en créant dans l’étang un déversoir
de 10 m de long permettant d’accroître le débit de fuite des vannages existants tout en limitant le rehaussement du plan d’eau et les inondations des habitants du côté de Chécheux.
Enfin il est question,
sans qu’un chiffrage ait été fait, d’une retenue d’eau en amont de l’étang de la Torche avec des digues de 2,30 m de haut sur 110 mètres de long pour pouvoir stocker 20 000 m3 d’eau
http://www.journal-la-mee.fr/1960-la-chere
Depuis le 25 août 2008, les travaux d’aménagement destinés à protéger les secteurs sensibles de Soudan et Châteaubriant contre les inondations ont démarré.
Le
programme est axé sur le ralentissement des crues. Des sites de retenue temporaires seront aménagés sur des terres agricoles, qui permettront d’écrêter les débits de la Chère et de l’Aujuais dans
la limite d’une crue décennale. Le programme prévoit par ailleurs la modernisation des vannages de vidange de l’étang de la Torche,
http://www.eptb-vilaine.fr/site/index.php?option=com_content&view=category&id=48&layout=blog&Itemid=4