Qu'est-ce que le patrimoine de pays ?
La notion de patrimoine
Le patrimoine est l'ensemble de tous les biens qui se transmettent de génération en génération. Au delà du domaine privé, il désigne depuis la Révolution un bien commun de la Nation, à la fois témoignage physique de son histoire et image de son identité.
C’est un bien reçu et à transmettre dont la propriété intéresse tout le groupe social, il est l'héritage commun.
Le patrimoine de pays se définit principalement par opposition d'une part au patrimoine urbain, « savant », industriel, citadin, d'autre au patrimoine protégé au titre des monuments historiques.
La notion de patrimoine s'est élargie au cours des siècles. Elle couvre aujourd'hui un ensemble de biens matériels et immatériels ( les langues locales, les savoir faire, les traditions, les contes et légendes) créés par l'homme (on parle alors de patrimoine culturel) ou naturels (les sites, la faune et la flore)
Un patrimoine des campagnes ?
Le patrimoine de pays est composé de tous les éléments constitutifs de l'Histoire et de l'identité des campagnes.
- Les paysages façonnés par l'homme au fil des siècles avec leur faune et leur flore liées à l'agriculture
- Les édifices et leur rapport à l'environnement (mode d'implantation des constructions, formes des villages, architectures des bâtiments, matériaux régionaux)
- Les édicules témoins des modes de vie et de pensée (fontaines, lavoirs, oratoires...)
- Les techniques, outils et savoirs-faires nécessaires à leur entretien (toitures, enduits...)
- Les traditions culturelles, religieuses, sociales et culinaires
- Les produits du terroir
- Les documents relatifs à ces différents aspects (archives, photos, cartes postales...)
- La mémoire orale
Le patrimoine rural est donc fortement lié au territoire et à l'environnement.
C'est souvent un patrimoine récent, rarement antérieur au 17e siècle, le plus souvent créé au 19e siècle, voire au début du 20e siècle en raison du fort développement des campagnes à cette époque (essor démographique, développements de l'agriculture, de l'artisanat et du commerce, amélioration du cadre de vie et des transports...)
Un patrimoine non protégé
Peu d'éléments du patrimoine rural sont protégés par la loi, la notion de monument historique ne s'étant élargie que récemment aux patrimoines ethnologique, industriel, technique et naturel.
Les objets et les immeubles sont protégés au titre des monuments historiques quand ils présentent un intérêt du point de vue de l'histoire, de l'histoire de l'art, de la science ou des techniques. Ils peuvent être classés quand ils présentent un intérêt national et inscrits quand cet intérêt est de niveau local.
Le fait de ne pas être protégé monument historique rend le patrimoine de pays encore plus fragile, le propriétaire n'étant pas tenu par la loi de le conserver et de l'entretenir.
Pourtant ce patrimoine intéresse tout le groupe social : habitants qui y trouvent une expression de leur identité propre, touristes qui apprécient ses spécificités et le comparent avec les autres régions.
Décret du 20 juillet 2005 – article 8 : le patrimoine rural non protégé est constitué par les édifices, publics ou privés, qui présentent un intérêt du point de vue de la mémoire attachée au cadre bâti des territoires ruraux ou de la préservation de savoir-faire, ou qui abritent des objets ou décors protégés monuments historiques situés dans des communes rurales ou des zones urbaines de faible densité.
Un patrimoine fragile !
De tous temps, les modes de vie ont dicté les modifications de notre environnement.
La notion de patrimoine n'existant alors pas dans le sens moderne où nous l'entendons, seul ce qui était utile ou qui correspondait au goût du moment était conservé, y compris dans les monuments qualifiés aujourd'hui d'historiques. Le bâtiment vétuste laissait place à une nouvelle construction, les tableaux, les boiseries et le mobilier démodés du château était souvent vendus, jetés ou abandonnés dans un grenier.
Le patrimoine rural à lui aussi évolué au fil du temps : les ruines de la chapelle ont fourni les matériaux pour la construction du lavoir, l'éolienne a remplacé la pompe à bras, certains murets ont été supprimés pour faciliter le travail des engins, le four à pain communal a disparu au profit de l'agrandissement de l'école.
Il est toutefois essentiel que les éléments les plus significatifs de ce patrimoine de proximité puissent être conservés sans hypothéquer pour autant les possibilités de développement des villages.
Avec l'évolution de plus en plus rapide des modes de vie et de l'uniformisation, l'urbanisation croissante mais aussi le dépeuplement de certaines régions, ce patrimoine est aujourd'hui menacé, la plupart des éléments ayant perdu leur utilité et leur sens.
Le vandalisme et la négligence n'épargnent pas le patrimoine rural.
Les enjeux de la sauvegarde du patrimoine de pays
- Préserver le cadre de vie
Le patrimoine de pays fait appel aux matériaux locaux et à leurs techniques de mise en œuvre traditionnelles. Les formes architecturales sont adaptées au climat local et aux modes de vie, en harmonie avec le paysage (couleur des pierres et des enduits, volumétrie, intégration). Il est important de respecter des caractéristiques locales lors de travaux.
- Conserver la mémoire
Le patrimoine de pays témoigne d'une histoire locale, des savoir-faire, des techniques, des modes de vie et de pensée et de leurs évolutions. Il aide les jeunes générations à percevoir les mutations de la société, tout comme les nouveaux habitants.
- Construire une identité
Le petit patrimoine fait la particularité des campagnes. Si les grandes familles de bâtiments se retrouvent partout (chapelles, lavoirs, croix, pigeonniers...) formes et matériaux varient selon les régions.
Une mise en valeur peut renforcer la cohésion sociale (souscriptions populaires, chantiers de bénévoles, opérations nettoyage, animations festives...).
- Contribuer au développement du territoire
Dimension touristique, attractivité par la restauration du patrimoine, la mise en valeur des sites et des bourgs.
Pour en finir avec quelques idées fausses
- Un patrimoine construit sans architecte ?
Si les constructions en pierre sèche ou en schiste ont pu être bâties par leurs utilisateurs, de nombreux autres édifices dont des lavoirs, des fontaines et des chapelles ont été conçus par des architectes.
- Faut-il supprimer les enduits et rendre la pierre apparente ?
Tout le monde est sensible au charme de la pierre apparente. Pourtant les murs étaient presque toujours enduits pour les protéger. Seuls les bâtiments utilitaires étaient laissés en pierre apparente par économie et pour les distinguer du bâtiment noble de l'habitation. Supprimer l'enduit nuit à la conservation de la construction. Il faut donc maintenir un enduit à la chaux quand celui-ci existait.
- Des goûts et des couleurs
Par le passé, les enduits des murs comme les peintures des portes et des volets étaient colorés avec des pigments naturels le plus souvent minéraux trouvés dans la région. Ainsi la couleur des badigeons dépendait de celle des sables mélangés à la chaux. Les couleurs étaient donc rarement vives et toujours en harmonie avec le paysage.
- Rustique...
Au-delà de sa qualité architecturale, artistique ou technique, c'est comme témoin de modes de vie passés que le patrimoine présente un intérêt. Mieux vaut éviter de faire du faux, en particulier pour de petits éléments du patrimoine de pays utilisés à des fins décoratives. Cela n'a pas beaucoup de sens et présente souvent une esthétique contestable. Par contre, un élément contemporain peut souvent mettre en valeur le patrimoine ancien.
Connaître et inventorier le patrimoine de pays ? Pourquoi réaliser un inventaire du patrimoine de pays ?
La réalisation d'un inventaire poursuit plusieurs objectifs :
- La sensibilisation des habitants : la connaissance permet aux habitants de s'identifier et de s'approprier leur patrimoine. L'inventaire favorise également la transmission du patrimoine aux générations futures.
- La protection et la sauvegarde du patrimoine : l'inventaire permet de déterminer les sites et éléments qui représentent un intérêt majeur et qui seraient susceptibles de faire l'objet d'une action de protection.
- La mise en valeur du patrimoine : l'inventaire permet de mettre en évidence des éléments du patrimoine qui pourraient être valorisés sous différentes formes. Cest un outil de mise en lumière.
La recherche scientifique permet d'effectuer des recherches sur les architectures traditionnelles et d'étudier plus en détail les éléments du patrimoine ainsi que leur histoire dans le but de constituer une base documentaire.
À partir du recensement, une classification est définie :
- Patrimoine lié à l'eau : fontaine, pont, puits, aqueduc, lavoir, moulin, abri de source, vannage , installation piscicole
- Patrimoine religieux : statue, calvaire, tombe, tombeau, tumulus, oratoire, chapelle, niche, croix de chemin, cimetière, vitrail, cloche, stèle
- Patrimoine lié aux activités agricoles, artisanales et industrielles : attache-animaux, abreuvoir, meule, pressoir, pigeonnier, enclos, manège, four, moulin, minoterie, filature, scierie
- Patrimoine bâti ou lié à l'habitat : maison, détail architectural, rempart, tour, tourelle, éléments de ferronnerie, portail, porche, détail de façade vitraux
- Patrimoine lié à la vie courante : borne, croix de carrefour, chasse-roue, inscriptions, cadran solaire, kiosque
- Patrimoine commémoratif : croix de justice, tombe, monument aux morts
- Patrimoine mobilier : objets du culte, objets des institutions, objets agricoles...
- Autre : gare, relais de poste
Sur la place du village, le long des rues
Par le passé, l'espace public de la rue avait une place importante dans la vie du village. C'était le lieu de la vie sociale.
Des maisons anciennes possèdent encore en façade des bancs de pierre à côté des perrons. D'anciennes boutiques conservent leur devanture caractéristique. On trouve le long des routes de nombreuses bornes, panneaux, indications anciennes.
Ressources / bases de données :
Base POP (plateforme ouverte du patrimoine) du ministère de la Culture
Des contacts pour vous aider :
- CAUE – conseil architecture, urbanisme et environnement
Christophe Élise BOUCHER
Chargée de mission architecture et patrimoine
02 40 35 04 23 - MOBILE : 06 83 63 48 77
- DRAC Pays de la Loire – conservation régionale des monuments historiques
Mme Solen Peron-Bienvenu – 1 rue Stanislas-Baudry 44035 Nantes cedex 1
02 40 14 23 20 – solen.peron@culture.gouv.fr
- Service patrimoine du Département de Loire-Atlantique
Aurélie BENOÎT
Département de Loire-Atlantique
Chargée du patrimoine - Direction culture - Service action culturelle et patrimoine
Tél. 02 40 99 13 29
Port. 06 71 59 54 64
aurelie.benoit@loire-atlantique.fr
- Service patrimoine de la région Pays de la Loire et son centre de documentation
Joël Guilloizeau
Conseil Régional / Direction de la Culture, du Sport et des Associations
Pôle Développement et valorisation / Service Patrimoine
Bibliothèque / Inventaire
Tel : 02-28-20-51-87
- Association Tiez Breiz
georges.lemoine@tiez-breiz.bzh02 99 53 53 03
- Pour le patrimoine mobilier et le « petit patrimoine, la conservation des antiquités et objets d'art de Loire-Atlantique
02 28 56 78 60 / 06 80 30 86 66
Article de l'éclaireur sur la Matinée découverte du Patrimoine de Pays :
Plus d'infos sur la Conservation des Antiquités et Objets d'Art de Loire-Atlantique, voir également le site :
Valoriser le petit patrimoine ou patrimoine de proximité
Conservation des antiquités et objets d'art de Loire-Atlantique – novembre 2021
Le patrimoine est au cœur de notre quotidien, en particulier le patrimoine de proximité, plus communément appelé petit patrimoine.
Mais s'il peut être petit par sa taille, il témoigne pourtant d'un passé commun pas si lointain (activités sociales, économiques et culturelles du quotidien) qu'il est important de préserver et réhabiliter au même titre que le patrimoine plus monumental.
Il constitue les racines de l'identité culturelle des territoires d'hier, d'aujourd'hui et de demain.
Définir le petit patrimoine
Si définir le patrimoine n’est pas chose aisée, cela n’est pas plus simple quand il s’agit du "petit patrimoine".
Que ce soit dans les ouvrages, dans la bouche des spécialistes ou dans celle des novices, personne n’emploie les mêmes termes pour désigner des réalités pourtant communes, à savoir : le lavoir, la croix de chemin, le four à pain, l’abreuvoir ou le pigeonnier situé dans un village ou un hameau.
On parle de patrimoine rural, de patrimoine vernaculaire ou encore de patrimoine de pays ou de patrimoine local, mais des caractéristiques communes peuvent toutefois être dégagées.
Ces appellations désignent des édifices à l’architecture souvent sommaire, liés aux activités humaines qu’elles aient été religieuses (croix, calvaires, statues…), agricoles (bornes de limites, métiers à ferrer, granges…), artisanales (outillage, moulins…), domestiques (lavoirs, abreuvoirs, fontaines, puits…) ou destinées à la mesure du temps (cadrans solaires…) et à la commémoration (tombes, monuments aux morts).
Ces éléments sont tantôt à proximité des habitations, tantôt plus isolés. Certains sont ou ont été privés mais ont répondu le plus souvent à un usage collectif comme les lavoirs par exemple.
Ils sont les témoins de la vie quotidienne locale, beaucoup plus que certains éléments de "grand" patrimoine comme peuvent l’être les châteaux. Ils font rarement l'objet d'une protection juridique au titre du code du patrimoine d'où l'appellation proposée de petit patrimoine non protégé.
Pourquoi valoriser le petit patrimoine bâti ? Quelques pistes
Parce qu’il comporte un intérêt architectural, historique ou identitaire, le petit patrimoine est une richesse à transmettre aux générations futures. Les usages auxquels ils renvoient tendent à se perdre aujourd’hui.
Le préserver est nécessaire à la transmission des savoir-faire et des pratiques anciennes ainsi qu’au maintien de l’identité et à l’attractivité du territoire.
Est-ce un patrimoine lié à l’eau, à caractère religieux, lié à la frontière, lié une activité économique… ? Où est-il situé ? Quels étaient ses usages ?
Quels sont les matériaux et les coloris employés ? A-t-il subi des évolutions ? Comment sont aménagés les abords de l’édifice ? Le mettent-ils en valeur ?
Comment le petit patrimoine peut-il devenir un point d’accroche dans les futurs aménagements afin d’améliorer le cadre de vie ?
Avant d’intervenir sur les éléments du patrimoine il est important d’acquérir une bonne connaissance de l’ouvrage et de ses spécificités (matériaux employés, histoire…).
Ceci afin d’établir un diagnostic permettant de définir les priorités du projet de restauration, selon les désordres occasionnés et leurs causes.
Le petit patrimoine doit bénéficier d’un entretien courant pour prévenir des interventions plus lourdes et onéreuses, en vérifiant chaque année les couvertures et le hors d’eau et en entretenant la végétation environnante.
Dans le cas de désordres, il est important de s’attaquer à leur cause avant d’entreprendre les travaux de restauration.
Lors de la restauration, la priorité est de respecter et de préserver l’authenticité de l’ouvrage. Toute la difficulté réside dans le remplacement des éléments détériorés, dans la restitution des éléments disparus et dans la remise à l’état originel.
La restitution d’éléments manquants ne se justifie que si elle est indispensable à la compréhension de l’ouvrage. Il est important de rendre lisible l’évolution de l’édifice et les interventions contemporaines tout en préservant son identité et celle du site.
Comment bien choisir les matériaux de restauration ?
Comme pour le bâti ancien, privilégier la conservation et le réemploi des matériaux encore en place et l’utilisation de matériaux anciens.
Dans le cas de mise en œuvre de matériaux neufs, ceux-ci devront respecter les gabarits anciens ainsi que leurs couleurs et leur conférer un aspect fini.
Le recours au sablage est à proscrire sur les matériaux tendres comme la brique et à utiliser avec retenue sur la pierre de pays afin de ne pas l’altérer. Préférer plutôt un nettoyage à l’eau chaude sous pression.
L’épaisseur, la teinte et le traitement des joints participent à l’aspect définitif d’un parement et peuvent changer radicalement la perception d’une maçonnerie. Seul le mortier de chaux est à utiliser, le mortier de ciment est à proscrire.
Lorsqu’une charpente présente de graves désordres nécessitant une dépose complète, seuls les bois irrécupérables seront remplacés si possible par des pièces de sections identiques. Il se peut que certaines d’entre elles, encastrées dans les maçonneries, soient dégradées en about. Il est possible, dans ce cas, de les reprendre à l’aide de résine. Cette technique offre une résistance et un aspect similaire aux éléments conservés.
Comment intégrer le petit patrimoine ?
L’intégration du petit patrimoine rural se fait à travers le traitement des abords. Pour cela, il est important de supprimer tous les éléments pouvant gêner la lisibilité de l’ouvrage, afin de dégager des vues et des perspectives sur l’édifice depuis la voirie (clôtures le long de la voie publique, signalétique, postes EDF, lignes aériennes, espaces de stationnements...).
Le mobilier urbain est à éviter, souvent l’édifice se suffit à lui-même. S’il est indispensable, une harmonie avec la construction sera recherchée.
En milieu urbain, pour le traitement du sol, l’enrobé à la base de l’édifice est à éviter ainsi que les bordures béton et les pastiches de murets en réemplois de pavages.
En milieu rural, il est important d’assurer la continuité de l’engazonnement ou de la végétation entre le bas-côté de la voirie et les abords de l’ouvrage et d’en assurer une gestion régulière.
Conservation des antiquités et objets d'art de Loire-Atlantique – novembre 2021
Associations représentées pour la Matinée Patrimoine de Proximité
Bouvron : Association Bouvron Patrimoine : Vincent Guiné
Châteaubriant : HIPPAC : Christian Bouvet
Derval : Association Sauvegarde Tour St Clair : Michel Leroi
Guémené-Penfao : Beslé/Vilaine Patrimoine : Liliane Couvreur
Guenrouët : Association du Patrimoine de Guenrouët : Pierre Millet
Héric : Amis de l’Histoire : Monique Launay, André Thébaud
Le Gâvre : Maison de la Forêt : Roland Leray
Massérac : Histoire et Patrimoine de Massérac : Michel Jaudou, Dominique Lérault, Gérard Thévenin et Maryse Jaudou.
Moisdon-la-Rivière : Amis de Forge-Neuve : Ronan Pérennès
Nort/Erdre : Honort : Yves Pasgrimaud, Daniel Gadbled
Plessé : Mémoires d’un Pays : Francis Blin, Armand Martin
Sion les Mines : Amis des Forges de la Hunaudière : Yannick Goinard
Treffieux : Treffieux Histoire et Patrimoine : René Bourrigaud
Treillières au Fil du Temps : Gérald Pelan, Liliane Baud
Treillières : Renaissance du Haut-Gesvres : Mireille Jousse
Vay, Le Gâvre, Blain : Chemins d’Avenir : Laurent Joulain
Vay : Mémoires de Vay : Jeanne Daniel
Vay : PEPITES44 : Liljana Baron, Samuel Baron, José Teffo, Didier Teffo
18 associations représentées à la Matinée découverte du Patrimoine de Proximité
28 personne inscrites
6 associations soulignées assistent au repas du midi avec Laurent Delpire
5 Associations contactées non disponibles pour cette matinée du Patrimoine de Proximité :
Blain : Association Essor Blinois : Alexis Flageul Président
La Grigonnais : Génération Mouvement : Marcel Bodineau Président
Nozay : ASPHAN : Paul Segalen
Sion-les-Mines : Maison de la Ruralité : Marinette Urvoy
10 autres associations contactées :
Avessac : Avessac Histoire et Patrimoine : Yvonnick Aubin
Campbon : Association historique du Pays de Campbon : Patrice Maillard
Châteaubriant : Association St Patern : Serge Suteau
Fay-de-Bretagne : Fay de Bretagne Histoire et Patrimoine : Gérard Portais
Le Gâvre : Chapelle de la Madeleine : Christian Badin
Les Touches : Histoire et Patrimoine : Christian Marchand
Massérac : Les Fours de Massérac … : Thierry Perrin
Puceul : Puceol : Sylvain Thouvenot
Treffieux : Amis de Gruellau : Huguette Charlier
Treffieux : CICPR : Michel Haulbert